Zetchi : «Jouer la Centre Afrique au 5-Juillet ne veut pas dire qu’on ne reviendra pas à Constantine»

 

Le président de la Fédération algérienne de football, Kheireddine Zetchi, était présent hier à Constantine, il a été invité avec tous les membres du Bureau fédéral à la finale de la Supercoupe par le président de la LFP, Mahfoud Kerbadj.

Profitant de sa présence à Hamlaoui qui abritera dans moins de 10 jours un match des Verts, le dernière comptant pour les éliminatoires du Mondial 2018 en Russie contre le Nigeria, nous nous sommes rapproché de lui pour lui demander sa position concernant la domiciliation des futures rencontres de l’EN. La programmation du match du 14 novembre contre la République centrafricaine au 5-Juillet a rouvert le dossier de la domiciliation des matchs de l’EN, l’arrivée de Madjer semble avoir changé la donne, l’ancien numéro 8 de Porto serait plus chaud pour le grand stade de la capitale, qu’en est-il du boss de la FAF ? Zetchi affirme que ce retour à Alger n’est pas définitif : «Jouer contre la Centrafrique à Alger ne veut nullement dire qu’on a décidé d’abandonner Constantine», a-t-il laissé entendre hier. Rappelons que l’EN aura à disputer au mois de mars prochain un match en Gambie comptant pour la 2e journée des éliminatoires de la CAN 2019, et ne jouera à nouveau au pays qu’au mois de septembre contre le Benin pour le compte de la 3e journée des mêmes éliminatoires, cela laisse largement le temps à la FAF de prendre une décision définitive.

  1. G.

Après la lourde défaite concédée face au PSG

Hanni : «Je ne me sens pas bien sur le côté droit»

Le capitaine d'Anderlecht l’international algérien Sofiane Hanni  s'est montré quelque peu désenchanté après la cinglante défaite des siens sur le terrain du Paris Saint-Germain (5-0), mardi lors de la 4e journée de Ligue des champions africaine. « On est tous déçus », a-t-il raconté au terme de la rencontre. Premier joueur remplacé mardi soir à Paris, Sofiane Hanni paraissait particulièrement marqué par la lourde défaite. Il avait une petite mine, comme s'il était KO après cette gifle. «Franchement, ça fait mal. Il faudra une journée pour digérer ça mais on le fera et on se mettra dans le match pour Bruges dimanche.»

Au Parc des Princes devant toute sa famille, le capitaine anderlechtois a joué dans un rôle particulier, une sorte de faux neuf décalé. «Je devais jouer devant avec Henry (Onyekuru) et on devait écarter la défense au maximum pour permettre à Leander (Dendoncker) et Pieter (Gerkens) de s'infiltrer.»

Un plan clair qui n'a pas du tout fonctionné. La défense parisienne a même passé une soirée très paisible. «On n'a pas pu travailler ce système à l'entraînement après Eupen. Dimanche, c'était le décrassage et lundi, on n'a pas bossé ça», disait-il. «Nos intentions étaient les mêmes qu'à l'aller, jouer sans pression et tenter de montrer nos qualités, mais ça n'a pas du tout fonctionné cette fois-ci. On n'a pas eu beaucoup d'occasions, contrairement au match chez nous.»

Le joueur semblait frustré, notamment par ce rôle qui l'obligeait à se retrouver sur le côté droit. Lui qui préfère l'axe ou le flanc gauche. Dans un autre dispositif tactique, cela avait déjà été le cas samedi à Eupen. «Je n'ai jamais joué à droite de ma vie et je n'y sens pas très bien. Mais bon, ça fait partie de l'apprentissage. J'ai déjà joué à pas mal de positions depuis que je suis arrivé à Anderlecht et je vais maintenant devoir apprendre à évoluer sur le côté droit.»

Après quatre rencontres jouées, Anderlecht a le bonnet d'âne dans cette Ligue des champions, sans point et même sans but.

 

 

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