Arabie Saoudite 2 – Algérie 0 : Test raté pour les locaux

 

Hier à Cadix en Espagne, les Saoudiens se sont baladés face à notre équipe nationale. Une maîtrise totale des poulains de Pizzi et cela à tous les niveaux.

En fait, ses joueurs ont réussi presque l’exploit de mettre en application toutes les consignes qui leur ont été données. Quand les Saoudiens ont voulu accélérer le jeu, ils l’ont fait, et lorsqu’ils ont préféré ralentir le rythme de cette confrontation et attendre notre équipe nationale en opérant notamment par des contre-attaques, ils l’ont fait à la perfection aussi. Deux fois seulement où ils ont été menacés par Chafaï et ses coéquipiers durant les 90 minutes. Il est clair qu’on ne s’attendait pas à ce que cette équipe nationale composée de locaux, exception faite pour Smaïl Bennacer lors de ce stage, qu’elle nous sorte un match extraordinaire au vu des très nombreux changements opérés à chaque fois par Rabah Madjer dans sa composante, mais on ne pensait pas non plus que cette équipe nationale allait perdre avec cette manière, sans rien tenter, notamment en deuxième période. Des choses positives à retenir de cette confrontation ? Il n’y en a pas. La seule satisfaction serait encore une fois la prestation du milieu de terrain d’Empoli qui a tout tenté dans ce match, défensivement, au milieu de terrain et parfois même devant en donnant des coups d’accélérateur.

 

Un vrai match d’entraînement pour les Saoudiens

Une grande désillusion donc pour cette équipe nationale dont Rabah Madjer veut faire une référence dans un avenir très proche, pourtant l’adversaire n’était que l’Arabie Saoudite, un mondialiste certes, mais pas une grande équipe non plus qui fait peur. Encore une fois, on dira que le football ne tient pas à grand-chose. A la 23’ de jeu, sur une accélération du milieu de terrain du CSC Abdennour Belkheir, ce dernier fut fauché dans la surface de réparation, mais l’arbitre ne bronche pas et demande de poursuivre le jeu. Une contre-attaque que les Saoudiens mènent à ce moment précis et qui se termine par un coup franc pas très loin de la surface de réparation. Salaman El-Faraj l’exécute et trompe Moussaoui, qui n’a pas vu grand-chose car il avait très mal placé sa barrière. Un tir qu’il aurait pu repousser vu qu’il était sur la trajectoire du ballon. Le premier but a donc été inscrit à la 24’ de jeu. Très mal inspirée et pas très organisée sur le terrain, notre équipe nationale a tenté de réagir mais de façon plutôt anarchique. Ce qui a rendu la tâche plutôt facile à l’équipe de l’Arabie Saoudite qui a réussi à repousser les rares actions dangereuses des Verts et avec la plus grande des sérénités. Après la pause citron, on pensait que la deuxième mi-temps allait être plus agréable surtout au niveau de la prestation et de la production du jeu, mais il n’en fut rien. Pire encore, cette deuxième période était encore plus mauvaise que la premières fournie par les joueurs de Rabah Madjer.

 

Seule satisfaction, Bennacer

Le coach national, qui a essayé d’y remédier en procédant à  plusieurs changements (6 au total), n’a pas changé grand-chose. Bien au contraire, la sortie de Bennacer a libéré encore plus d’espaces et a permis à Elchehri d’aggraver le score. Une contre-attaque bien menée, le joueur saoudien qui bizarrement n’a trouvé personne pour le stopper durant toute sa course a même eu la lucidité de placer son tir dans la cage du kepper du PAC, qui une fois de plus y était pour quelque chose. Ce fut à la 81’ de jeu.

 

La touche du staff, absente hier

Deux buts à zéro, tel a été le score final de cette confrontation. Un score qui aurait pu être plus large, n’était souvent la maladresse des Saoudiens qui ont raté plusieurs face-à-face. Un match amical qui était censé permettre à Rabah Madjer d’avoir une idée plus précise sur certains joueurs locaux capables de renforcer l’EN A en prévision du stage du 28 mai et les deux matchs amicaux au mois de juin prochain. Et bien, au moins maintenant, on l’espère en tout cas, l’entraîneur national a pris conscience que pour l’instant, et à un ou deux éléments près, dans l’immédiat, on ne peut pas attendre grand-chose de la part des joueurs locaux. Dans l’immédiat, et cela s’est confirmé encore hier, il ne faut pas espérer grand-chose. Mais il est important de signaler aussi que ces joueurs ne sont pas seuls responsables, car la touche de Rabah Madjer et son staff, hier, on ne l’a malheureusement pas vue.

Asma H. A.

 

 

 

 

Stade Ramon de Carranza, Cadix

Buts : Al-Faraj  24’, Al-Shahri 82’

 

 

 

Arabie Saoudite

Al-Maiouf

Al-Mowaled

Hawsawi O. (c)

Al-Shahrani

Othman

Otayf

Al-Faraj

Al-Jassim

Babhir

Al-Dawsari

Al-Sahlawi 

Ent. : Pizi

 

Algérie

Moussaoui

Benmoussa

Chafaï (c)

Naâmani

Azzi

(Arous 63’) 

Boukhanchouche

(Benkhemassa 46')

Cherif El-Ouazzani

(Bourdim 72’)

Bennacer 

(Zouari 76’)

Belkheir

(El-Orfi 54’)

Abid

Lakroum 

(Bouguelmouna 58’)

Ent. : Madjer

 

Affluence faible, temps clément, arbitres : Juan Martinez Munuera, Raul Cabanero, Miguel Martinez (Espagne).

 

Averts : 

Algérie : Boukhanchouche 14', Benmoussa 22', Chafaï 52’ Bouguelmouna 69’, Naâmani 71’

Madjer : «Ne l’oubliez pas, ce n’est pas l’équipe A»

 

C’est sur le score de deux buts à zéro que notre équipe nationale a été battue hier à Cadix en Espagne par l’Arabie Saoudite. Rabah Madjer qui a tenu une conférence de presse à l’issue de ce match a d’abord affirmé : «Il ne faut pas oublier que cette équipe nationale est composée presque dans sa totalité de joueurs qui évoluent dans notre championnat. Il ne s'agit donc pas de l’équipe A. C’est vraiment important d’apporter cette précision qui est de taille», a fait savoir le coach national.

Une donne que bien évidemment tous les amateurs de la balle ronde en Algérie connaissent. Sauf que Rabah Madjer souhaite faire de cette équipe des locaux une assise et un vivier très important pour les A dans un futur très proche, il n’y avait qu’à voir la précédente liste face à l’Iran, d’où l’inquiétude des fans des Verts notamment après la prestation d’hier. Ces derniers qui souhaitent tout simplement voir les meilleurs en équipe nationale quels que soient le lieu de leurs championnats et leurs pays de résidence.

 

«La sortie de Boukhanchouche nous a déstabilisés»

Pour le coach national, l’équipe avait bien débuté la rencontre, n’était la première réalisation des Saoudiens qui a scié les jambes de ses poulains. «Je pense que nous avons bien débuté la rencontre. Malheureusement le but que nous avons encaissé à la 24’ de jeu nous a scié les jambes. Il y a eu aussi la sortie de Boukhanchouche qui a très sérieusement déstabilisé notre milieu de terrain. Mais malgré cette défaite, je tiens vraiment à féliciter tous mes joueurs pour les efforts qu’ils ont fournis lors de cette confrontation. Il est aussi très important de rappeler que c’est seulement le deuxième match de notre équipe nationale des locaux et cela depuis très longtemps, je dirais même des années», a signé Rabah Madjer.

Pour l’entraîneur des Verts, cette rencontre servira surtout de leçon et permettra aux joueurs d’acquérir une certaine expérience à la suite de ce genre de rendez-vous, notamment face à une équipe mondialiste comme celle de l’Arabie Saoudite. «Nos locaux vont beaucoup apprendre de ce match. Les Saoudiens qui jouent ensemble depuis un moment déjà ont beaucoup d’automatismes. Donc, des matchs amicaux comme ça, c’est toujours bon à prendre», a signalé l’entraîneur national.

 

«Nous avions des lacunes sur le couloir gauche»

Une expérience bonne à prendre pour des joueurs jeunes, mais pas pour une équipe dont le onze rentrant renfermait un joueur de 32 ans(Benmoussa), un autre de 31 ans (Lakroum), deux joueurs de 29 ans (Belkheir et Azzi) et enfin Naâmani et Chafai âgés de 28 ans. Six joueurs qui ont plus de 28 ans et qui étaient entrants hier contre l’Arabie Saoudite.

Rabah Madjer est aussi revenu sur le penalty non sifflé pour Belkheir à la 23’ de jeu. «Il y a eu beaucoup de fautes commises contre nous et qui n’ont pas été sifflées dont le penalty à la 23’ de jeu. Enfin, et pour ce qui est des lacunes constatées lors de ce match, et bien je dirais que nous avons remarqué qu’il n’y avait pas une bonne couverture sur le côté gauche, on va y remédier», conclut le coach national.

  1. H. A.

 

Boukhanchouche est sorti blessé

Contrairement aux fois précédentes, Salim Boukhanchouche le milieu de terrain de la JSK n’a pas été à la hauteur.

Visiblement, le peu de temps de jeu auquel il a eu droit dans son club a eu raison de sa fraîcheur physique et de son aptitude, puisque malgré sa volonté il n’a pas pu toucher beaucoup de ballons, finalement il n’a pas pu jouer plus d’une mi-temps, Madjer lui a quand même réitéré sa confiance malgré les statistiques, mais un coup reçu sur le genou gauche à la 39’ l’a fait souffrir durant les dernières minutes du premier half, on l’a vu grimacer avant de quitter le terrain à la mi-temps, remplacé par Benkhemassa. 

Boukhanchouche va devoir donner beaucoup plus que ce qu’il donne depuis mars dernier s’il veut revenir lors du stage des A et faire partie du groupe qui affrontera le Portugal le mois prochain.

  1. M. A.

 

 

 

Pizzi : «L’Algérie a bien commencé, puis il y a eu notre but…»

L’entraîneur espagnol de l’Arabie aoudite, Juan Antonio Pizzi, a affirmé que les Verts ont bien commencé avant d’encaisser le but par El-Faradj à la 24’, un but qui leur aura tout détruit. «J’ai apprécié le début du match des Algériens, ils étaient bien en place puis tout a changé après le but qu’on a marqué, en tout cas il nous a rassurés et nous a mis en confiance», a-t-il déclaré.

 

«On a dominé notre adversaire, cela me rassure»

Pizzi se félicite d’avoir réussi à dominer presque les trois quarts du match. «Je suis rassuré et on a confiance en nos joueurs, ils écoutent nos conseils et on va s’améliorer. Aujourd’hui, on a dominé et gardé le ballon après notre but.»

 

«C’était l’équipe d’Algérie, peu importe si ce sont des locaux ou des pros»

A la question de savoir si le fait d’avoir joué l’équipe locale algérienne ne diminue pas de l’importance de cette victoire, Pizzi rétorque : «Pour moi, il n’y a pas de 1re équipe et 2e équipe, on a joué l’Algérie et on était supérieurs, que ce soit en 1re mi-temps ou en 2e. Je respecte tous les joueurs, qu’ils soient locaux ou pros.»

 

«Madjer ? Je connais le joueur»

Sollicité pour donner son avis sur Madjer, le coach Pizzi avoue ne connaître que le joueur. «Je connais Madjer le grand joueur, pas forcément l’entraîneur, en tout cas le match d’aujourd’hui m’a permis de le connaître, et l’équipe algérienne a fait un bon début de match», s’est-il contenté de dire évitant de polémiquer.

  1. M. A.

 

 

 

Fébriles psychologiquement

Désordonnés tactiquement

Les locaux échouent dans leur examen

 

L’équipe nationale des locaux a raté l’occasion de donner raison à Rabah Madjer. Le sélectionneur national qui a fait du produit local son cheval de bataille n’a pas pu enchaîner une 2e victoire de suite avec cette catégorie.

Après le 4 à 1 contre la modeste équipe du Rwanda en janvier dernier, l’EN A’ a rejoué mais a échoué imitant ainsi les A qui ont reçu une claque le mois dernier contre l’Iran.

Les Verts pourtant dominateurs en début de match, et avec une équipe paraissant équilibrée, a complètement perdu son équilibre après le but d’Al- Faradj à la 24’.

Les attaques ont dès lors disparu et la défense a pris l’eau et les joueurs paraissaient perdus en l’absence d’un vrai meneur capable d’apporter l’ordre souhaité par le coach, sur le terrain.

Avec un Boukhanchouche à côté de la plaque, le milieu s’en est remis à Bennacer, il était le seul à bouger dans tous les sens, mais les autres éléments n’arrivaient pas à suivre sa volonté farouche de redresser la barre, les décisions de l’arbitre qui était un peu trop sévère avec nos joueurs ne les ont pas aidés, il a même eu un effet négatif sur leur moral déjà touché par le but saoudien, puisqu’ils ont fait preuve de beaucoup de nervosité, en témoignent les contestations des décisions de l’arbitre et l’état de panique générale qui a prévalu.

On s’attendait à la mi-temps à une touche du coach national, mais finalement ce dernier s’est contenté de renforcer son milieu en faisant sortir Lakroum qui était l’ombre de lui-même, l’entrée en jeu de Bouguelmouna qui devait apporter du punch n’a pas eu la réaction escomptée, puisque l’équipe n’a pas été efficace dans les offensives.

 

Fatigue

Que dire de la fatigue qui se voyait surtout en fin de match, le match intervient en fin de saison, mais le staff technique n’est pas exempt de tout reeproche, ses choix peuvent être contestés à l’image d’un Benmoussa qu’il fera jouer d’entrée, alors que le joueur de 33 ans sort d’un match plein en coupe d’Afrique disputé avec son club, idem pour Chafaï dont l’association avec Naâmani n’a pas été fructueuse.

Le match d’hier a montré les limites du groupe qui a raté l’occasion de donner raison à Madjer et ce lors de son dernier examen avant la reprise des éliminatoires de la CAN, Madjer va devoir tirer des enseignements.

  1. M. A.

 

Moussaoui rate ses débuts

Contre toute attente, Madjer a choisi de titulariser Moussaoui le gardien du PAC pour la première fois depuis son arrivée chez les Verts. 3e gardien après Chaouchi et Salhi, il a eu sa chance, mais il est passé complètement à côté de son match, il a une grosse responsabilité dans le 1er  but, en organisant mal son mur et en se positionnant au milieu de la cage, alors que sur le 2e but il n’a pas fermé son premier poteau, chose qu’on apprend aux gardiens dès leur jeune âge..En tout cas cette prestation va donner une leçon au gardien mais aussi à Madjer qui pourrait bien opérer un changement dans  ce poste dès le prochain stage.

Juan Martinez Munuera a privé Belkhir d’un penalty flagrant

L’arbitrage espagnol fait ‘’encore’’ des siennes

 

L’équipe nationale locale n’a pas réussi à imposer sa loi hier à Cadix contre l’Arabie Saoudite, les Saoudiens étaient largement supérieurs et nos joueurs étaient perdus et désordonnés sur le terrain.

Ceci dit, et pendant une bonne partie de la première période et surtout avant l’ouverture du score, l’EN avait imposé une petite domination dans le jeu qui pouvait bien se concrétiser sur le tableau d’affichage notamment si l’arbitre du match l’espagnol Juan Martinez n’avait pas privé Belkhir d’un penalty flagrant.

En effet, on jouait la 21’ soit 3 minutes avant l’ouverture du score par les Saoudiens, Saeed El-Mowaled accroche Belkhir et le prive d’aller marquer, le joueur algérien s’écroule, tout le monde s’attendait au penalty mais le referee a fait comme si de rien n’était devant l’étonnement du camp algérien et d’un Belkhir encore à terre et qui n’en revenait pas.

Pire encore, même Azzi à la suite d’un effort qui lui a permis de récupérer un ballon des pieds du latéral gauche saoudien dans sa propre surface a été taclé irrégulièrement et méritait un penalty, mais encore l’arbitre n’était pas de cet avis.

Cette prestation prouve encore une fois que l’arbitrage en Espagne souffre et reste fidèle à sa réputation d’arbitrage fébrile confirmée lors du dernier Clasico où l’arbitre a faussé complètement la partie avec l’expulsion d’un Catalan puis en privant les visiteurs d’un penalty et autres décisions contestées.

Les locaux pour leur part auront compris que, quelque part, il y a un pire arbitrage que celui de la Ligue 1 locale.

  1. M. A

 

 

Lakroum à côté de la plaque

Critiqué depuis sa première convocation en sélection, Ali Lakroum est resté dans le groupe, soutenu par Madjer, il a eu sa chance hier, mais ce dernier n’a presque rien montré durant sa présence sur le terrain, il faut dire que dans l’animation il n’y avait rien à signaler en l’absence d’un meneur de jeu.

 

 

Haddad honoré par la fédération saoudienne

A la mi-temps du match d’hier, et au niveau de la tribune officielle, la Fédération algérienne de football a été honorée par les responsables de la Fédération saoudienne de football, c’est Rebouh Haddad le vice-président de la FAF qui a représenté la partie algérienne.

 

 

 

Otaif : «Notre machine est déjà bien huilée»

Le numéro 14 Abdullah Otaif a affirmé que sn équipe a bien appliqué le travail effectué lors du stage de Marbella qui a commencé le 25 avril, il rappelle que les automatismes existent déjà vu que c’est pratiquement la même équipe qui a joué les éliminatoires de la Coupe du monde-2018 en Russie. «C’était une bonne prestation, on a travaillé tout ça à l’entraînement. Dieu merci, on a fait un bon match, il y avait de la cohésion, il faut dire que cette équipe a déjà ses automatismes, on a joué les éliminatoires de la Coupe du monde-2018, donc tout va bien, l’ambiance est bonne.»

 

Al-Sahlaoui : «On a gagné avec l’art et la manière»

Les Saoudiens étaient tous rassurés après la victoire d’hier, les propos d’Al- Sahlaoui reflètent ce constat. «On a gagné, Dieu merci, avec l’art et la manière et il nous reste encore du temps et des matches, on va insister sur la cohésion, aujourd’hui on a appliqué les consignes du coach et le résultat a suivi.»

 

Leicester 3 - Arsenal 1

Mahrez marque son  11 but en Premier League  

Les Foxes ont mis fin à une mauvaise série  de résultats en renouant hier avec la victoire  en Premier League  en s’imposant 3 à 1 contre les Gunners. Dans une fin de saison en roue libre où il attend des offres de transfert, l’international algérien Ryad Mahrez a marqué un joli but pour clore une victoire 3 à 1 des siens contre Arsenal à la 90e  minute. Lancé par Choudhury sur son côté droit, il fonce vers la surface, élimine Holding d'un crochet du gauche avant de tromper Petr Cech. Il s'agit de son 12e but de la saison toutes compétitions confondues et son 11e en Premier League.

 

Manchester City le relance

Et si le feuilleton Riyad Mahrez à Manchester City repartait de plus belle ? Alors que le transfert avait capoté dans les dernières heures du mercato d’hiver face aux exigences de Leicester sur l’indemnité de transfert, les Citizens auraient relancé le dossier ces derniers jours. À en croire le Times, l’entraîneur des Skyblues, Pep Guardiola serait toujours aussi enthousiaste à l’idée de voir débarquer l’Algérien dans son effectif. Sous contrat jusqu’en 2020 avec Leicester City, Riyad Mahrez était passé tout proche de rejoindre les Citizens lors du dernier mercato hivernal. 

 

CAN U20

Ghana - Algérie le 21 mai à Cape Coast 

 

Le match retour du second tour des éliminatoires de la CAN U20 entre le Ghana et l’Algérie aura lieu le 21 mai à Cape Coast, qui est la capitale de la région du Centre. La ville est située sur la côte, à 165 km à l'ouest d'Accra dans le golfe de Guinée. 

 

 

 

 

 

Classement