Une fête gâchée par la pluie

La rencontre d’hier entre les Verts et la Bosnie devait être une fête. La FAF a insisté pour ramener une grande équipe de renommée mondiale à l’occasion du cinquantenaire de sa création, mais aussi pour fêter les cinquante ans de l’Indépendance du pays. La rencontre d’hier entre les Verts et la Bosnie devait être une fête. La FAF a insisté pour ramener une grande équipe de renommée mondiale à l’occasion du cinquantenaire de sa création, mais aussi pour fêter les cinquante ans de l’Indépendance du pays. La rencontre d’hier entre les Verts et la Bosnie devait être une fête. La FAF a insisté pour ramener une grande équipe de renommée mondiale à l’occasion du cinquantenaire de sa création, mais aussi pour fêter les cinquante ans de l’Indépendance du pays. La rencontre d’hier entre les Verts et la Bosnie devait être une fête. La FAF a insisté pour ramener une grande équipe de renommée mondiale à l’occasion du cinquantenaire de sa création, mais aussi pour fêter les cinquante ans de l’Indépendance du pays. La rencontre d’hier entre les Verts et la Bosnie devait être une fête. La FAF a insisté pour ramener une grande équipe de renommée mondiale à l’occasion du cinquantenaire de sa création, mais aussi pour fêter les cinquante ans de l’Indépendance du pays. La rencontre d’hier entre les Verts et la Bosnie devait être une fête. La FAF a insisté pour ramener une grande équipe de renommée mondiale à l’occasion du cinquantenaire de sa création, mais aussi pour fêter les cinquante ans de l’Indépendance du pays. La rencontre d’hier entre les Verts et la Bosnie devait être une fête. La FAF a insisté pour ramener une grande équipe de renommée mondiale à l’occasion du cinquantenaire de sa création, mais aussi pour fêter les cinquante ans de l’Indépendance du pays. La rencontre d’hier entre les Verts et la Bosnie devait être une fête. La FAF a insisté pour ramener une grande équipe de renommée mondiale à l’occasion du cinquantenaire de sa création, mais aussi pour fêter les cinquante ans de l’Indépendance du pays.

Les deux équipes étaient là, l’envie de faire un grand match et plaire aux téléspectateurs aussi, mais le seul bémol de cette journée, c’était ces conditions météorologiques difficiles, puisque la pluie qui a fait un break la veille, en cessant de tomber, a refait surface hier en début d’après-midi et a continué de tomber tout l’après-midi et même durant la soirée imbibant la pelouse de quantités énormes d’eau, mais aussi le pauvre public qui a dû supporter ça jusqu’au sifflet final de la rencontre.
30 000 supporters quand même ont défié la natureAfin d’assister à la dernière apparition de l’EN avant la CAN, le public a fait de son mieux pour être présent. Il est clair qu’il y a des milliers qui ont dû  renoncer le même jour après avoir compris que la pluie n’allait pas leur faciliter la tâche, mais malgré ça, environ 30 000 fans ont défié ces conditions climatiques difficiles et ont pris place dans les tribunes du stade olympique. Il y avait, en effet, environ le tiers du stade qui était rempli de supporters, la plupart ont bien sûr pris place dans les fameux virages du stade, les seuls deux lieux couverts du stade, mais ces derniers ont vite affiché complets, poussant les retardataires à se contenter de places sous la pluie.
Le terrain, le plus grand perdantLes parapluies étaient là entre les fans et le ciel pour protéger ceux qui ont choisi le virage ou encore le célèbre «11» qui permet de voir la rencontre comme sur un écran, il y avait donc une raison pour se concentrer sur la partie et prendre le mal en patience, mais que dire de la pelouse, la pauvre pelouse du stade du 5-Juillet qui continue de souffrir en attendant la fermeture du stade au mois de mai prochain, alors que de loin, il paraissait bien prêt à accueillir la rencontre et le chaud débat. Les premiers signes des dégâts ont commencé à être visibles au début des échauffements, la couleur marron de la terre commençait à prendre le dessus sur le beau vert du gazon. Et dès le début de la rencontre, on retrouvait petit à petit la pelouse du fameux Algérie Vs Algérie d’il y a un an. Des flaques d’eau, une mauvaise circulation du ballon, des joueurs sur leurs gardes prêts à perdre le cuir, ou plutôt l’oublier, ce qui fait un adversaire en plus du joueur adverse. En somme, ce n’était pas du tout le moment de jouer une rencontre de ce niveau, de surcroît de préparation à une compétition comme la CAN. Vahid espérait un beau match, tout comme Guedioura et les autres joueurs, alors que Raouraoua rêvait d’un spectacle et d’une animation  dans les meilleures conditions. Mais hier, la nature a fait des siennes. Elle a tout simplement gâché la fête.S. M. A.

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