Des journalistes transalpins qui se sont empressés, Capello étant un entraîneur expérimenté de la Serie A, avec sa belle épopée avec le Milan AC, sur le Calcio en général et bien sûr sur son ancien club, qui traverse une période difficile et sur le leader du championnat, la Juventus de Turin. Mais dans cette conférence de presse improvisées et ces questions « italo- italienne », l’entraîneur italien a tout de même lâché une information concernant l’équipe nationale qu’il dirige, à savoir la Russie. Sur une question se rapportant au fantasque Mario Balotelli et la façon dont lui l’aurait géré s’il l’avait eu sous ses ordres au Milan, Capello a déclaré : « Je ne me permettrais pas de donner mon avis sur Mario Balotelli et sa façon de le gérer, car j’ai moi-même un Balotelli en équipe de Russie, et je n’ai toujours pas trouvé la solution. » Fabio Capello n’a pas souhaité donner le nom du joueur en question. Alors qu’on pensait cette équipe russe carrée et disciplinée, comme les aime Capello, cet aveu de Capello nous apprend qu’il y a aussi dans l’équipe nationale russe des bad boys, comme dans toutes les équipes nationales.