Il était environ 10h30 lorsque les joueurs se sont retrouvés dans le hall de l’hôtel en attendant l’arrivée du coach pour entamer cette petite balade aux alentours de l’hôtel Sofitel Sipopo. Tous les joueurs étaient présents dans le hall puisqu’Islam Slimani, Yacine Brahimi et Djamel Mesbah, soit les absents d’hier se sont présentés le plus normalement du monde. Le coach arrive et les joueurs sortent par la piscine de l’hôtel en prenant la direction de la plage. Les sourires se lisaient sur le visage des joueurs qui une fois de plus confirment qu’ils abordent cette rencontre dans la sérénité la plus totale mais sans pour autant se montrer trop confiants par rapport à ce match. Une fois sortis, les premiers éclats de rire commencent à fuser entre Soudani et Doukha qui sont inséparables et passent la majorité de leur temps ensemble. Lors des deux dernières sorties, les joueurs s’étaient promenés du côté de l’Ile jouxtant l’hôtel. Cependant, cette fois-ci, les Fennecs ont préféré se contenter d’une balade au bord de la plage sur une distance d’environ 500 mètres avant de rentrer. Ce qu’il y a lieu de noter, c’est la superbe ambiance qui règne au sein de ce groupe qui a effectivement beaucoup mûri comme l’ont affirmé la majorité des joueurs lors de leurs différentes interventions. Le groupe est conscient de ce qui l’attend et se veut sans pression pour cette rencontre. Tout au long du petit trajet, les joueurs discutaient entre eux et rigolaient sous le regard bienveillant du staff technique qui marchait quelques mètres derrière.
Longue discussion Bougherra – Mesbah
Ce qu’on a pu remarquer au cours de cette petite balade effectuée par les Verts hier durant la matinée, c’est que le capitaine d’équipe Madjid Bougherra s’est rapproché de son camarade Djamel Mesbah. En effet, les deux hommes ont longuement discuté sur le trajet durant plusieurs minutes. Le grand frère de l’équipe, comme l’aiment à l’appeler les joueurs, a certainement voulu remonter le moral au joueur de la Sampdoria qui ne jouit pas d’un temps de jeu durant cette coupe d’Afrique surtout avec un Faouzi Ghoulam plus que jamais titulaire en puissance dans le onze de départ. Ce qu’il faudra retenir de cette balade, c’est la superbe ambiance et l’état d’esprit irréprochable dans le quel se trouvait le groupe des Verts à la veille d’une finale avant la lettre.
I. Z.
La compétition fait rage au baby-foot
Avant que ladite balade ne commence, quatre joueurs se sont affrontés dans ce qui convient d’appeler, le challenge du baby-foot. En effet, deux équipes, la première, Halliche - Bentaleb, la seconde Djabou - Cédric se sont affrontées dans une guerre sans merci pour la victoire. Il y a lieu de signaler que le fer de lance des Verts, Islam Slimani, a joué le rôle d’arbitre en étant un spectateur averti de tout ce qui se passait sur le petit terrain de ce jeu populaire et qui est devenu le passe-temps favori des joueurs.
Soudani, Djabou, Halliche et Doukha, les inséparables
Dans le groupe des Verts, il y a des affinités entre certains joueurs. En effet, le quatuor Soudani, Djabou, Halliche et Doukha est très porche et même inséparable, ils sont tout le temps ensemble et ne se quittent pas. Quoi de plus normal pour ces joueurs qui se sont croisés durant des années dans le championnat local avant que chacun ne prenne son envol sur le plan professionnel.
I. Z.
Renard se détend en jouant au Golf
Il semble bien que l’entraîneur des éléphants, Hervé Renard, soit très détendu à la veille de la rencontre de quart de finale face à la formation algérienne. En effet, hier à l’hôtel, le coach était tout sourire et affichait une certaine confiance par rapport au match. Mieux, pour se détendre, il est allé jouer au golf et a testé son swing.
Les Eléphants ont fait une balade sur l’île
Peu après les Verts, ce fut au tour des ivoiriens de sortir les uns après les autres pour se rendre au bord de la piscine. Les camarades de Gervinho ont décidé de faire eux aussi une balade. Ils ont une fois de plus décidé de se rendre sur la petite île jouxtant l’hôtel Sipopo. Un petit quart d’heure et puis s’en vont.
I. Z.