C’est hier que les joueurs locaux ont regagné la capitale après avoir passé 9 jours à Doha. Le vol qui devait rallier Alger à 7H45 (heure qatarie) a eu une heure de retard et l’avion qui a transporté les Verts n’aura décollé qu’à 9H.

Après près de six heures de vol, l’appareil a atterri à l’aéroport Houari Boumediene à 14H avec à son bord  cinq locaux que sont Doukha, Cédric, Asselah, Benlamri et Chenihi. Chafaï et Belaïli ayant directement rejoint leur équipe au Sénégal pour jouer un match avec l’USMA de Ligue des champions n’ont donc pas fait le voyage avec le reste du groupe pour Alger comme nous l’avions souligné dans notre livraison d’hier. L’entraîneur Christian Gourcuff, accompagné des membres de la délégation algérienne, a également rallié Alger sur le même vol.

L’interminable attente des bagages

En outre, arrivés à bon port, les joueurs algériens ont dû patienter des heures avant de pouvoir récupérer leurs bagages à l’instar de tous les passagers du vol reliant Doha à Alger. Les plus chanceux ont pu récupérer leurs valises rapidement pendant que d’autres, à l’image de Chenihi, Benlamri ou encore Asselah et Cédric ont dû patienter deux heures pour enfin voir leurs bagages arriver sur le tapis roulant. La délégation de la FAF qui a pourtant eu droit à un petit traitement de faveur n’a pas été épargnée par la longue attente. Les malles arrivaient au compte-gouttes et pour rassembler l’important matériel revenu de Doha, les membres de la délégation ont également été obligés de patienter. Ce n’est que 16H dépassé que tout le monde a pu récupérer tous ses biens pour enfin quitter l’aéroport d’Alger.

La première classe pour certains joueurs

Fait insolite de ce voyage, les joueurs n’ont pas été tous placés au même emplacement de l’appareil. En effet, tandis que quelques-uns pouvaient profiter du confort de la première classe, d’autres étaient assis du côté de la classe économique. De quoi susciter des interrogations. Cela dit, il semblerait que c’est en raison des places disponibles que quelques chanceux auraient bénéficié de la première classe avec ses avantages pendant que les autres n’y ont pas eu droit.

R. H.