En signant au CRB la saison passée, le milieu de terrain offensif ne pensait certainement pas vivre une saison aussi compliquée que celle qu’il vient de traverser. Titulaire à part entière sous l’ère de Zvunka, Ali Amiri a perdu ce statut dès qu’Alain Michel est arrivé pour reprendre les destinées techniques de l’équipe algéroise. Relégué au banc des remplaçants, le joueur en question a dû ronger son frein et n’a plus retrouvé la confiance de son entraîneur pour les matchs de championnat. Son retour en fin de saison n’était dû essentiellement qu’au fait que Djediat s’était blessé et qu’il avait besoin d’un joueur ayant quasiment le même profil. Ainsi, Amiri a répondu présent et a fait une belle fin de saison et a montré une partie de son énorme talent que le Chabab n’a pas encore exploité.
Deal
Cependant, le joueur n’a pas beaucoup apprécié le traitement qui lui a été réservé. Un temps annoncé dans la liste des joueurs à libérer, le joueur n’a pas trop attendu pour faire la demande à ses dirigeants et leur faire savoir qu’il voulait changer d’air pour obtenir le temps de jeu nécessaire pour la saison prochaine surtout qu’il ne voulait pas se retrouver une saison de plus sur le banc de touche. C’est ainsi, que le joueur a saisi officiellement ses responsables pour faire avancer les choses. Cependant, ces derniers ne l’entendaient pas de cette oreille-là. En effet, selon nos sources, les dirigeants et à leur tête Réda Malek qui tient énormément au joueur a proposé un deal à son joueur. Il le laisserait partir pour une autre équipe mais avec une seule et unique condition, qu’il prolonge. Amiri n’a pas beaucoup hésité et a accepté le deal offert. C’est ainsi, qu’il a prolongé d’une année, mais aura un bon de sortie pour partir en prêt.
MOB, RCA, USMH, NAHD et MCO le convoitent
Maintenant qu’il a eu l’assurance qu’il pourra quitter le Chabab pour cette saison et partir en prêt, le joueur va pouvoir passer aux choses sérieuses en négociant avec les équipes qui sont intéressées par ses services et le moins que l’on puisse dire, c’est que ça se bouscule au portillon. En effet, 5 équipes de Ligue 1 Mobilis se disputent les services du joueur. Le MOB, le RCA, l’USMH, le NAHD et le MCO sont tous derrière lui et le joueur devra trancher entre l’une de ces équipes-là, même s’il se dit que le joueur pourrait opter pour son ancienne équipe de l’Arbaâ.
I. Z.
Affaire Sakombi
L’intérêt du joueur a primé
Comme rapporté sur ces mêmes colonnes dans notre édition d’hier, le contrat de l’attaquant gabonais de l’ASO, Sakombi a été résilié.
Alors qu’il avait signé un engagement avec les Rouge et Blanc de Laâqiba, le joueur a finalement dû se résoudre à faire machine arrière en annulant ledit engagement. D’ailleurs, même le président Malek n’a pas voulu tergiverser au moment d’annuler l’engagement du joueur et a pris beaucoup de points en considération. En effet, pour le président algérois et selon certaines de nos sources, l’avenir du joueur en question était plus important pour lui que de rentrer en guerre avec le président de Chlef Abdelkrim Medouar qui a juré qu’il n’allait jamais laisser le joueur opter pour le Chabab. D’ailleurs, c’est beaucoup plus par esprit de vengeance que le député a agi de la sorte car il n’a pas du tout apprécié le fait que le joueur en question signe et que Malek ne passe pas par lui. C’est pour cette raison qu’il agit de la sorte. Si Malek s’était entêté, le joueur aurait risqué une suspension de 6 mois et cela aurait donc eu de mauvaises répercussions sur la bonne marche de la carrière du joueur. Il faut dire aussi que Malek n’avait pas fait signer un contrat en bonne et due forme au joueur mais seulement un précontrat. Ce qui fait que le boss algérois a fait comprendre qu’il fallait agir de la sorte.
Medouar exige 600 millions
Par ailleurs, le président et décideur de l’ASO a fait savoir que pour chaque équipe qui souhaitait s’attacher les services de l’international gabonais, elle n’avait qu’à se rapprocher de la direction de Chlef pour entamer les négociations et payer la clause libératoire du joueur qui est de l’ordre de 600 millions. Un montant jugé exagéré par les Algérois qui n’ont bien sur pas les moyens de payer une telle somme. Aux dernières nouvelles, des équipes sont intéressées par le joueur et les dirigeants des équipes de Ligue 2 n’ont pas perdu espoir de qualifier leur joueur pour la saison prochaine et espèrent toujours une issue favorable malgré un premier refus de la part de la LFP qui ne veut pas chambouler son règlement.
I. Z.
La justice donne gain de cause à Gana…
L’ancien président du Chabab, Azzedine Gana, a refait parler de lui dernièrement puisque dans l’affaire qui l’oppose au Chabab, la justice lui a donné gain de cause et le club doit désormais lui payer la somme de 2,3 milliards de centimes. L’ancien président algérois entend donc prendre attache avec la direction actuelle pour tenter de trouver un terrain d’entente pour qu’il soit réglé, et ce, même si c’est par étape.
… La cour statuera sur l’affaire des 9 milliards mardi ou mercredi
Par ailleurs, une fois cette première affaire gagnée, le président Gana a appuyé sur le champignon puisqu’il y a une autre affaire en cours pour que l’homme d’affaires puisse récupérer la somme de 9 milliards du temps de sa présidence. La cour devra statuer sur cette affaire au plus tard mardi ou mercredi prochain. Pas vraiment la meilleure nouvelle pour les hommes de Réda Malek qui vont se retrouver en grande difficulté.
I. Z.
Un problème entre Bougueroua et les dirigeants ?
Selon une source bien informée, on apprend que l’attaquant du Chabab Adel Bougueroua serait en colère contre ses dirigeants. L’affaire remonte au début de la saison précédente lorsque le joueur allait signer son contrat d’engagement avec le CRB puisqu’il a signé avec un salaire moyen avec la promesse des dirigeants de l’aider dans un projet qu’il avait lancé. Cependant, à la fin de la saison, le joueur en question n’a rien vu venir de la part de ses dirigeants. Ainsi, le joueur a demandé donc à ce que la direction tienne ses engagements comme c’était convenu lors de la signature du joueur. Dans le cas où le joueur ne voyait rien venir de la part des responsables, il demanderait alors une augmentation de salaire pour la saison prochaine.
- I. Z.
Nessakh attend toujours un appel de Malek
Le défenseur latéral gauche du MCO, Chemsedine Nessakh, est fortement convoité par plusieurs équipes dont le Chabab. Cependant, les dirigeants du club n’ont pas rappelé le joueur pour faire le déplacement à Alger pour lancer les négociations avec le président Malek. D’ailleurs, le joueur commence à perdre patience car il ne voit rien venir. Selon nos informations, le manager du joueur aurait eu une discussion avec les responsables algérois et le président Malek pour aborder le sujet du transfert de son poulain pour le Chabab. Le président a fait savoir que le joueur reste une priorité dans le recrutement mais qu’il fallait qu’il attende l’appel des dirigeants pour rejoindre la capitale et lancer les négociations.
Priorité au Chabab, mais pas indéfiniment
Par ailleurs, le joueur en question est fortement convoité par plusieurs formations en prévision de la saison prochaine. Des équipes comme le NAHD, le RCR et son équipe actuelle, le MCO le veulent à tout prix et sont prêtes à le satisfaire, cependant, le joueur préfère rallier Alger et accorde la priorité au CRB, club qu’il veut rallier. Néanmoins, au train où vont les choses, le joueur s’éloigne de plus en plus de la capitale.
I. Z.
Pas de prospection chez les jeunes ?
Durant chaque intersaison, toutes les équipes du championnat organisent des journées de prospection pour renforcer les différentes catégories du club. A El Harrach, Charef a fait plusieurs jours de prospection et a vu 600 joueurs. Cependant, au CRB, la prospection n’est pas au rendez-vous du moins pour le moment. Les parents de jeunes joueurs se sont rapprochés de la direction pour leur demander la date de l’entame des prospections. Grande fut leur surprise lorsqu’ils ont appris que cela n’était pas au programme. Qu’en pensera Malek ? Lui qui a fait de la formation son cheval de bataille.
I. Z.
Les employés du CSA auraient saisi l’inspection de Travail
Tout comme les employés de la SSPA qui sont restés deux mois sans toucher de salaire, leurs homologues du CSA du CRB, n’ont toujours pas touché leur argent, et ce, depuis plusieurs mois à en croire nos sources. Ces derniers ont attendu un signe de la part du président Mokhtar Kalem mais celui-ci faisait la sourde oreille. Ainsi, on apprend que les employés auraient saisis l’inspection de Travail pour être rétablis dans leurs droits.
I. Z.