Plus doué à se faire remarquer en dehors plutôt que sur les terrains de football, Djamel Benlamri s’est encore une fois mis à l’évidence vendredi dernier au stade du 20-Août-1955, en s’en prenant cette fois-ci à notre journaliste, auquel il a reproché d’être derrière le traitement de faveur qui lui a été réservé par les supporters nahdistes.

Usant d’un langage des plus orduriers, mais sait-il en tenir un autre lui l’analpha…bête, l’inculte ? Le joueur de l’ESS s’est illustré après le match en invectivant et insultant à tort, notre journaliste. Dans sa petite cervelle à peine plus grande qu’un pois chiche, Benlamri voit le diable partout, alors il s’en est pris avec véhémence, avec violence à notre journaliste qui n’a fait que rapporter ce qui se préparait du côté d’Hussein Dey, il devrait se rafraîchir bien la mémoire, lui qui a fait un coup diabolique, que même le plus mécréant des infidèles ne ferait pas au club qui a fait de lui un joueur professionnel, alors qu’il n’était qu’un simple joueur de seconde zone.