On a annoncé votre retour au CRB, y a-t-il eu de l’officiel depuis ?

Officiel, non, mais beaucoup de gens ont sollicité mon retour.

Et vous avez dit quoi…

Que j’étais prêt à revenir, mais sous certaines conditions.

Peut-on les connaître ?

Déjà rendre mon retour possible et légal, je ne vais pas faire un putsch quand même !

Et…

Après, il me faut des garanties. Il nous faut une société pour assurer nos arrières.

Mais n’importe qui peut gérer dans ce cas…

Vous pensez. Déjà, cette société ne viendra que s’il y a un bon gestionnaire sur lequel elle peut compter, puis les clubs qui ont des sociétés derrière ne gagnent pas des titres chaque année, donc…

Et vous êtes prêt à promettre des titres chaque année si une société venait à vous parrainer…

Déjà, moi je ne gaspillerai pas l’argent de cette entreprise. Je plafonnerai les salaires à 120 millions et je jouerai chaque année le haut du tableau. Ça, je peux le faire.

Comment ?

J’ai gagné la coupe d’Algérie et assuré une place sur le podium avec des joueurs que personne ne connaissait. Ousserir était le plus grand salaire et il ne touchait que 100 millions. Vous connaissiez Bousehaba, Fellah, Abou, Bey, Harizi…non, alors !

Mais ça a changé depuis…

La seule chose qui a changé ce sont les salaires, sinon le football est toujours le même. Des présidents qui offrent des salaires de fous à des joueurs moins bons que ceux qui touchent des misères ailleurs.

Et vous, quel serait votre apport ?

Je payerai les primes, les déplacements, l’hébergement, la restauration…je veux juste qu’on m’assure les salaires.

Ça semble faisable…

Oui, tout ça reste théorique pour le moment.

L’EN jouera-t-elle en Afrique ?

Parmi les grandes innovations de coach Madjer faire jouer l’équipe nationale dans les profondeurs des terres africaines. Jusqu'à présent, l’EN, sous la houlette de l’homme de Porto, a joué trois rencontres amicales face à des adversaires africains, recevant deux fois au 5-Juillet et un déplacement à Tunis. Ni la Centrafrique, ni la Tanzanie et encore moins le Rwanda n’ont recu la visite de l’EN algérienne. Pour le prochain rendez-vous face à une sélection de notre continent, Madjer mettra-t-il en place sa stratégie en organisant un déplacement des Verts ? Pas sûr du tout. Plusieurs facteurs pourraient rendre ce vœu démagogique de Madjer quasiment impossible à réaliser. La logistique mobilisée pour rendre cette opération faisable est quasiment similaire à un rendez-vous officiel. De plus, les sélections africaines sérieuses jouent généralement en Europe pour la simple raison que la majeure partie de leurs joueurs y évoluent. Et, enfin, le mois sacré de Ramadhan risque d’être un autre obstacle de taille pour voir cette option se concrétiser.  

Taïder a joué un match après 20 heures de vol

La distance entre la ville autrichienne de Graz et la métropole américaine de Seattle se chiffre à plusieurs milliers de kilomètres. Pour son déplacement entre l’Europe et le continent américain, Saphir Taïder a dû parcourir pas moins 20 000 km avec une escale de quelques heures à Montréal et une seconde étape dans une ville européenne. Soit 20 heures de vol avant de jouer son match de MLS. Petite question à tous les spécialistes : comment un joueur censé être en totale méforme peut-il jouer une rencontre de ce niveau après avoir avalé autant de kilomètres avant en sus les dégâts occasionnés par le décalage horaire ? Réponse prochainement dans nos colonnes.        

 

Cas Chaouchi : que fera Madjer ?

Sur la question des gardiens de but, l’homme de Porto avait tranché. Exit Mbolhi, Salhi et Chaâl au placard. Le choix n°1 s’est porté sur Fawzi Chaouchi dès les premiers jours de l’ère Madjer. Aujourd’hui que Fawzi Chaouchi a encore une fois «pété» un câble à Tizi Ouzou, quelle attitude adoptera le sélectionneur national vis-à-vis de son gardien titulaire ? L’opinion publique a hâte de découvrir son verdict.

«Allo Porto» intrigue la presse portugaise

La célèbre réplique «Allo Porto» a dépassé les frontières de la toile algérienne. Plusieurs de nos journalistes et sans doute d’autres confères ont reçu des appels de journalistes portugais qui demandaient tout simplement la traduction des paroles de l’homme de Porto. «A un moment, il dit Allo Porto, ensuite il s’exprime en arabe, pourriez-vous nous dire ce qu’il a dit exactement», s’est demandé un confrère d’un célèbre quotidien de Lisbonne. Je laisse nos lecteurs imaginer la gêne de notre journaliste face à cette demande. Entre dire la stricte vérité et essayer de ne pas ternir l’image de la véritable icône, il aura fallu faire preuve de diplomatie et de roublardise pour ne pas avouer que notre sélectionneur confond entre la période où il était joueur et l’époque actuelle. Entre-temps, la FIFA est effectivement passée par là et tout est désormais encadré. Il suffit juste d’être organisé et c’est là que le bât blesse.   

 

Fake news… ou pas

Madjer a déjà réservé un vol pour Istanbul

Gaouaoui va bientôt effectuer une omra

Djamel Menad n’ira pas à Séville pour Boudebouz

Berraf a offert un couscous géant en guise de sadaqa

Hannachi est un ami de Ghorbal

Baba et Hammar on été aperçus au Sheraton d’Alger

Bentaleb est toujours blessé

Kerbadj a arrêté la cigarette. Il se concentre !!!

L’Union arabe préfère le MCO

Le choix du dernier représentant algérien à la prochaine édition de la coupe arabe des clubs continue de susciter une attention particulière auprès des supporteurs des équipes postulant à cette compétition. Le MC Alger, l’USM Bel-Abbès ainsi que le MC Oran sont jusqu'à présent les trois formations qui peuvent jouer le tournoi final de l’UNAF. Si dans un premier temps la FAF avait mis en avant la formation de la Mekerra, les Mouloudéens d’Alger ont tout de suite pensé qu’ils étaient les mieux indiqué pour représenter l’Algérie eu égard à certains critères établis par l’Union arabe tels que l’assise populaire et la médiatisation de l’équipe. Mais il semblerait qu’un troisième critère pourrait faire peser la balance du côté des Mouloudéens d’Oran : l’équilibre régional entre les trois participants à cette édition. En tout cas, certaines indiscrétions au niveau de la Ligue arabe ont fuité. Il semblerait que l’équilibre régional serait un élément primordial dans ce choix. 

L’AGO de la FAF du 23 : bruits de couloir et intrigues

La prochaine AG de la FAF semble prendre une tournure particulière, surtout après le départ de Ould Ali de la place du 1^er-Mai. Certains bruits de couloirs indiquent qu’un certain nombre de cercles commencent à se concerter pour se fédérer autour d’une action commune. Quelle serait cette action et quel angle d’attaque sera-t-il utilisé ? Les premières indications qui demeurent au stade de simple rumeur laissent penser que le président de la FAF sera attaqué sur les bilans financier et moral qu’il compte présenter à l’AG. Une copie dudit bilan serait même aux mains de cette «opposition» qui serait en train de l’éplucher pour chercher à y déceler quelques failles. Le bilan moral sera marqué sans doute par l’incapacité du nouveau locataire de Dely Brahim à agir en véritable patron du football algérien.  

Raouraoua, le retour

L’ancien locataire de Dely Brahim a disparu des écrans radars depuis son éviction suite à la débâcle de l’équipe nationale au Gabon. Une année après, il se dit çà et là que Mohamed Raouraoua sera bel et bien présent le 23 avril prochain lors de l’assemblée générale ordinaire de la FAF. Dans son entourage, on nous confirme cette information avec une précision concernant le départ d’Ould Ali du MJS. «Cela n’a rien à voir», nous a-t-on affirmé. La décision de Raouraoua avait été prise depuis une certaine période.

Ould Ali n’a jamais répondu à ça

 

 

1- M. Ould Ali, regrettez-vous votre soutien à Madjer et Zetchi ?

 

2- M. Ould Ali, si c’était à refaire, prendriez-vous les même positions ?

 

3- M. Ould Ali, si vous étiez resté, pensez-vous pouvoir gagner votre bras de fer avec Berraf ?

 

4- M. Ould Ali, avez-vous le sentiment d’avoir échoué ?

 

5- M. Ould Ali, allez-vous reprendre votre poste de directeur de la maison de la culture de Tizi Ouzou ?

 

6- M. Ould Ali,  quel conseil donneriez- vous au nouveau MJS ?

 

7- M. Ould Ali, jugez-vous votre bilan positif ?

 

8- M. Ould Ali, vous attendiez-vous à un meilleur poste ou à une rétrogradation ?

 

9- M. Ould Ali, vos dernières déclarations en tant MJS faites à Tizi Ouzou n’indiquent-elles pas que vous étiez au courant de votre remplacement le lendemain ?

 

10- M. Ould Ali, pensez-vous que votre éviction va ouvrir la voie à un retour de Raouraoua aux affaires ?