C’est hier que les Rouge et Blanc ont défilé dans les rues d’Alger afin de fêter le trophée de la coupe d’Algérie avec leurs supporters.
L’heure était à la fête hier après-midi pour le Chabab de Belouizdad. Après avoir remporté la coupe d’Algérie, les Rouge et Blanc ont défilé dans les rues d’Alger afin de présenter le trophée aux supporters. Yahia-Cherif et ses co-équipiers ont ainsi fêté cette réalisation avec leurs fans afin de les remercier pour leur soutien tout au long de la saison. Il faut dire que les supporters belouizdadis n’ont pas failli à leur tâche et ont fait tout ce qu’il fallait afin de soutenir les joueurs pendant leur saison. L’équipe a ainsi fait son défilé devant ses fans qui ont fait le déplacement en grand nombre afin de leur rendre un dernier hommage avant le début de la prochaine saison.
Le cortège a démarré à 17h30 de Caroubier
C’est dans un bus préparé spécialement pour cette occasion que le CRB a effectué son défilé. Ce dernier était décoré avec les couleurs du club et l’équipe était à l’étage supérieur afin d’avoir un contact direct avec les fans. Le bus a finalement démarré à 17h30 du Caroubier, soit avec 2h de retard à cause de l’habillage. Il est passé par la place du 1er-Mai avant de parcourir le boulevard Mohamed-Belouizdad, Il s’est ensuite dirigé vers le boulevard des Martyrs, et a refait le tour vers la place du 1er-Mai. Le bus est allé par la suite à la rue Hassiba-Ben-Baouli et Salembier et a fini son défilé au siège de la wilaya d’Alger. C’est ainsi un long trajet qu’a fait le bus du CRB, où la foule était au rendez-vous afin de fêter le titre avec le reste de l’équipe.
Le wali d’Alger à l’accueil
Le wali d’Alger, Abdelkader Zoukh, a accueilli le CRB afin de féliciter les joueurs ainsi que le staff pour le travail accompli durant toute la saison et aussi d’avoir remporté la coupe d’Algérie. Les Rouge et Blanc étaient enchantés de voir tout ce qui a été fait pour eux afin que leur défilé se déroule dans une bonne ambiance et dans les meilleures conditions possibles. En tout cas, la présence du wali d’Alger a fait beaucoup plaisir à Yahia-Cherif et ses coéquipiers.
Les derniers préparatifs ont été faits hier matin
Afin que tout se déroule bien, beaucoup de moyens ont été mis en place pour l’équipe belouizdadie. Les préparatifs ont pris beaucoup de temps et c’est hier pendant la matinée que les derniers détails ont été apportés. Il faut dire que tout a été fait afin que le défiler se déroule dans de bonnes conditions et que les joueurs puissent fêter leur titre avec leurs supporters. Même en ce qui concerne la sécurité, les derniers détails ont été mis en place hier matin. En tout cas, c’est un grand monde qui a célébré le trophée de la coupe d’Algérie avec le CRB. Tous les proches du club étaient présents avec les supporters et ont félicité les joueurs pour leur accomplissement.
M. K.
La direction à la recherche d’un remplaçant pour Bouazza
Comme nous l’avions annoncé en exclusivité, Faham Bouazza a signé pour le club saoudien d’El Wihda, et la direction du CRB lui cherche déjà un remplaçant.
Le recrutement est au point mort pour le moment. Le Chabab de Belouizdad était concentré sur sa finale de la coupe d’Algérie et maintenant que le trophée a été arraché le club pourra se concentrer uniquement sur son recrutement. Comme tout le monde le sait maintenant, le milieu de terrain du Chabab, Feham Bouazza, a finalement opté pour le club saoudien d’El Wihda. Il faut dire que ce dernier a eu des hauts et des bas pendant le dernier exercice. A un certain moment il voyait rouge après s’être disputé avec le premier responsable de la barre technique, Badou Zaki, mais il a finalement repris du poil de la bête. Il était en meilleure forme en fin de saison et a été un élément important de la formation belouizdadie. Il faut dire que Feham Bouazza a apporté un plus à son équipe et a grandement contribué à l’obtention du titre au final face à l’ESS. Il sera donc une perte pour l’équipe après qu’il n’ait décidé de partir malgré les efforts de la direction pour le garder. Cette dernière lui cherche déjà un remplaçant afin de ne pas être pris de court. Il faut dire que le travail des dirigeants s’annonce compliquer lors de ce mercato d’intersaison. Il faudra trouver le renfort idéal afin d’apporter un plus à l’équipe et surtout se tenir prêt pour le prochain exercice. Le Chabab de Belouizdad voit grand et tentera de remporter des titres et aura besoin d’un bon groupe ainsi que d’un bon staff afin d’y arriver. En tout cas, Feham Bouazza a quitté le club par la grande porte après avoir remporté la coupe d’Algérie et devra être remplacé rapidement surtout que là plupart des bons joueurs sont déjà la cible de différentes équipes de la Ligue 1 Mobilis. Reste maintenant à savoir quel remplaçant lui trouvera la direction belouizdadie. Cette dernière devra s’atteler à sa tâche afin de réussir un bon recrutement cet été et ainsi être dans de bonnes dispositions pour la prochaine saison.
M. K.
La direction veut prolonger Naâmani
Le défenseur axial du CRB, Mohamed Naâmani arrivera en fin de contrat l’an prochain et la direction s’active afin de le faire signer une prolongation.
Les dirigeants du Chabab de Belouizdad s’activent afin régler plusieurs points avant le début de la saison. Comme tout le monde le sait, Mohamed Naâmani a encore une année de contrat à remplir avec les Rouge et Blanc avant d’être libre de tout engagement. Afin de se faciliter la tâche, la direction belouizdadie devrait prochainement se réunir avec son poulain afin de lui prolonger son contrat. Il faut dire que Naâmani est devenu en peu de temps un élément important de la formation belouizdadie. Il a apporté le plus que l’on attendait de lui. Il faut dire que Badou Zakou lui faisait entièrement confiance et lui a donné tout le temps de jeu dont il avait besoin. Il est devenu le patron en défense et la direction veut boucler la question de son avenir le plus tôt possible afin de ne pas avoir d’imprévu. Les dirigeants veulent éviter le scénario où leur défenseur pourrait quitter le club gratuitement, cependant cela reste le pire scénario et pour le moment le CRB a encore le temps de discuter de ce sujet. En tout cas, les responsables du club devront trouver les bons arguments afin de faire prolonger Mohamed Naâmani. Ce dernier a fait une très bonne saison et est devenu la cible de nombreux clubs de la Ligue 1 Mobilis. Les courtisans sont nombreux et il sera difficile de le retenir. Ainsi, lui faire signer une prolongation de contrat serait la meilleure façon de le garder encore pour les prochaines saisons. Mohamed Naâmani aura certainement des conditions avant de signer et la direction veut d’abord régulariser tout le monde avant de s’attaquer aux prolongations de contrats, ce qui ne saurait tarder.
M. K.
Salhi ne partira pas
Le gardien de but du Chabab Belouizdad sera finalement présent lors de la prochaine saison. Les dirigeants belouizdadis ont décidé de le garder après que celui-ci ait retrouvé son meilleur niveau. Il faut dire qu’il a été décisif lors de la demi-finale de la coupe d’Algérie face à l’USMBA et pendant la finale face à l’Entente de Sétif. Au départ la direction était prête à le laisser filer en cas d’une bonne proposition, mais finalement il sera retenu pour la prochaine saison.
Fin de mission pour l’entraîneur des gardiens
Alors que son contrat a pris fin, l’entraîneur des gardiens, Messaï, n’a finalement pas été reconduit par la direction du Chabab de Belouizdad. Cette dernière devra lui trouver un remplaçant pour le prochain exercice.
Début de prospection pour les jeunes catégorisés
Le Chabab de Belouizdad débutera la prospection des jeunes pendant la journée de mercredi et celle de jeudi à partir de 8h du matin. Ce sont les jeunes nés en 1999 et en 2000 qui sont concernés par cette prospection qui se déroulera au stade du 20-Août.
Bensmaïn : «Battre le MCA a tout changé»
«Même avec Fouad Bouali ça aurait pu bien se passer»
«La décision de Malek de se retirer a été très sage»
«Djaâdi a su protéger les joueurs»
«L’arrivée de Badou Zaki a redonné confiance aux joueurs»
«Quoi qu’on dise, Hadj Mohamed a beaucoup apporté au CRB»
«Pour neutraliser l’ESS, il fallait bloquer Aït Ouamar et Djabou»
Entretien réalisé par Sofiane Boulaouche
Après la consécration du CRB en coupe d’Algérie, tout le monde parle sans cesse de Badou Zaki en oubliant complètement une personne qui a joué un rôle-clé dans cette réussite. Cette personne n’est autre que Saber Bensmaïn qui est un des enfants du club et il était le premier adjoint du technicien marocain et surtout son bras droit. Son point fort est le fait d’avoir travaillé dans le club par le passé, pendant plusieurs saisons, et surtout d’avoir constitué l’élément stabilisateur du Chabab depuis le début saison, et ce, après le départ de Fouad Bouali puis de Réda Malek. Dans ce qui suit, Bensmaïn nous parle comment il est devenu, en si peu de temps, le confident de Badou Zaki et nous raconte également cette passionnante saison qu’il vient de vivre qui, selon lui, a été pleine d’émotions et d’aventures. Entretien.
Quel est votre sentiment quand vous faites un récapitulatif de cette très longue saison que vous venez de vivre avec le CRB ?
Ce que j’ai vécu est tout simplement incroyable. On a commencé la saison en catastrophe et on se retrouve avec un titre. C’est extraordinaire et je tiens à affirmer que cela est le fruit d’un très long travail.
Vous êtes le seul membre du staff technique à être impliqué directement dans toutes les étapes qu’a connues le CRB cette saison. Donc parlez-nous de vos débuts au CRB ?
Ma présence au CRB ne date pas d’hier et également ce n’est pas la première fois que je réussis avec ce club que je connais très bien. J’étais déjà là entre 2004 et 2008. J’ai travaillé avec les jeunes catégories avec qui j’ai remporté trois championnats et atteint trois fois la finale de la coupe d’Algérie. Donc je vais dire que mon recrutement en début de saison n’était qu’un retour à la maison.
Comment s’est fait votre retour ?
En début de saison, on cherchait un adjoint pour Bouali et lors de cette période j’étais encore sélectionneur de l’EN U17. On avait joué un match officiel contre le Gabon au stade du 20-Août et ce fut l’occasion pour qu’on se rappelle que je serais un bon candidat pour le poste d’adjoint. Et par la suite c’est Kerbadj qui m’a suggéré à Malek puisqu’il me connaît assez bien. Et au moment où j’allais être adjoint, je me suis retrouvé comme intérimaire au poste d’entraîneur puisque juste avant mon arrivée, Bouali avait quitté le CRB. D’ailleurs au passage je profite de cette occasion pour saluer Réda Malek pour la confiance qu’il m’avait faite et à qui j’ai beaucoup d’estime.
Parlez-nous justement de cet épisode. Comment avez trouvé l’équipe à votre arrivée ?
Juste après le départ de Bouali les joueurs étaient complètement abattus. Je les ai trouvés complètement perdus parce qu’ils entretenaient avec Bouali de bons rapports et à qui ils avaient beaucoup confiance. D’ailleurs je pense que même avec Fouad Bouali ça aurait pu bien se passer, mais les choses ont été faites précipitamment.
Après une semaine de travail, c'est-à-dire après le départ de Bouali, vous avez réussit à faire gagner l’équipe. C’était la première victoire de la saison pour le CRB…
Oui, exactement, Dieu merci ma période d’intérim s’est soldée par une première victoire de la saison pour le CRB, c’était face à la JSS. J’avais concentré mon travail sur le volet psychologique parce que physiquement les joueurs n’avaient pas de jus et n’avaient pas encore digéré la préparation d’intersaison. C’est ce qui avait d’ailleurs joué un mauvais tour à Bouali, mais Dieu a voulu que les choses se passent ainsi. J’avais passé justement une période difficile et intense parce qu’il fallait que je gère beaucoup de détails en même temps.
Après il y a eu le retour d’Alain Michel, avec qui vous étiez adjoint, mais qui n’a pas réussi. Pourquoi ?
Avec Alain Michel on n’a connu qu’une seule victoire en six journées parce que lui qui connaissait très bien ce groupe pensait que rien n’avait changé par rapport à la saison d’avant. Donc il n’a pas pris en compte certains détails, notamment pour ce qui est de la gestion du volet physique du groupe et cela a par la suite provoqué une chute libre.
Une chute libre qui a provoqué le départ d’Alain Michel mais aussi le départ de Réda Malek et l’arrivée du groupe de Djaâdi. Comment avez-vous vécu cette période ?
Cette période a été énormément difficile. Ce n’était pas facile de gérer tous ces événements et de garder le groupe concentré. Mais peut-être sans qu’il n’y ait eu tout cela, le club se serait mal porté pour la suite. Apparemment, cela a été un mal pour un bien. D’ailleurs je salue la décision de Malek qui été très sage en décidant de se retirer. Il a privilégié l’intérêt du CRB par rapport à ses propres intérêts. Vu le contexte dans lequel était le club, il aurait pu y avoir une cassure s’il s’était accroché.
Et les joueurs dans tout ça, ils étaient comment ?
Avec tout ce qui s’est passé et surtout à cause des mauvais résultats, les joueurs avaient tellement peur des supporters qu’ils ne pouvaient même pas se permettre d’arriver tôt à l’entraînement lorsqu’on s’entraîne au 20-Août. Il y avait une pression terrible sur ceux, mais fort heureusement la suite des événements a été positive surtout avec l’arrivée du groupe de Djaâdi. C’est ce dernier qui a su protéger les joueurs. Il les a rassurés. D’ailleurs je vous raconte une anecdote, afin de les rassurer définitivement, une fois Djaâdi s’était déplacé au stade et a dit aux joueurs qu’ils n’ont qu’à défoncer les gens qui les gênent et c’est à lui de faire le reste du travail. Tout a changé depuis. Ça a été le déclic. Les joueurs ont retrouvé leur sérénité et depuis ils entraient au stade sans avoir peur de personne.
Vient après l’arrivée du héros actuel de tous les Belouizdadis, à savoir Badou Zaki…
C’était à partir de ce moment que le calme est revenu à la maison. Le fait d’avoir avec eux un entraîneur de renom les a remis en confiance d’un point de vue sportif. Et on était d’ailleurs tous contents d’avoir un entraîneur comme Badou Zaki avec nous.
On a justement beaucoup parlé de Badou Zaki et on a oublié le rôle important que vous en personne aviez joué dans la réussite de cet entraîneur. D’ailleurs on dit qu’il vous a tellement apprécié qu’il est revenu sur sa décision de ramener son propre adjoint. Est-ce vrai ?
Oui c’est vrai (rire). Tout s’est joué lors de ma première réunion avec lui. On s’était réunis pendant trois heures environ et je lui ai tout exposé en détail et il avait tellement apprécié ma manière de faire les choses qu’il a annoncé aux dirigeants qu’il n’avait besoin de personne d’autre à part moi dans sa mission. Dieu merci, tout s’est bien passé après.
Quel était votre match-référence avec Badou Zaki ?
D’abord avec tous les changements qu’il y a eu, l’équipe a retrouvé sa sérénité en enchaînant avec deux nuls face à l’OM et au NAHD mais notre victoire, à l’aller, face au MCA a tout changé pour nous, et ce, parce que cette victoire a été le résultat d’une préparation de plus d’une semaine avec Badou Zaki. Et les joueurs se sont rendu compte que cet entraîneur savait très bien ce qu’il faisait. Tout ce qu’il a planifié à l’entraînement nous a réussi face au Mouloudia et à partir de là c’était le grand départ. Donc, l’arrivée de Badou Zaki a redonné confiance aux joueurs parce qu’ils avaient tout simplement besoin d’avoir à leur côté quelqu’un qui a une certaine notoriété et qui maîtrise très bien son sujet.
Après le groupe de Djaâdi et Badou Zaki, il y a eu ensuite l’arrivé du nouveau président, à savoir Hadj Mohamed. Comment se sont passées les choses avec lui au début ?
Quoi qu’on dise de lui, Hadj Mohamed a beaucoup apporté au CRB. À son arrivée il a non seulement réglé beaucoup de soucis dont plus cinq mois de salaires et il a réussi à incarner l’image d’un président à qui on peut s’adresser et qui mènera le club vers la bonne direction. C’est vrai qu’il y a eu, au long de cette période, certains problèmes, mais le côté positif prévaut.
Vous a-t-il impressionné ?
Oui, il y avait ce côté-ci notamment avec l’excellent recrutement hivernal qu’il a fait. Personne ne s’attendait à ce qu’il réussisse à avoir de tels joueurs qui ont été pourtant convoités par les gros du championnat.
A-t-il consulté le staff technique dans ce recrutement ?
Oui, il l’a fait bien sûr. On lui a donné une liste des postes qu’on veut renforcer et lui il a fait le reste, mais moi personnellement qui connaît très bien notre football je ne m’attendais pas à ce qu’il soit aussi efficace. Avoir des joueurs comme Hamia, Aribi, Heriat et Lamhène n’était pas donné à n’importe quel président de club. Il aurait même fallu de très peu pour que Harrag fasse partie de cette liste. Ça aurait été l’idéal.
A partir de quel moment vous étiez confiant par rapport au maintien ?
Dès les trois premières journées de la phase retour. Avec le très bon effectif qui était en notre possession et après avoir assuré 7 points en 3 matchs, surtout après avoir battu le MCO à Oran, on était convaincus que le maintien est dans la poche.
Et la coupe d’Algérie, aviez-vous senti le coup dès début ?
On y croyait depuis notre qualification face au MC Saïda. A partir de là on savait très bien qu’elle allait être à nous et elle est devenue notre objectif.
Les problèmes d’argent soulevés avant la finale, vous ont-ils fait douter quant à vos chances de remporter ce trophée ?
Bien au contraire, je vais dire que c’est grâce à ces problèmes que le CRB a été fort, tout simplement parce qu’on a su gérer cette situation. Ça a été une source de motivation pour nos joueurs et ces problèmes ont fait que le groupe ne se penche pas sur notre adversaire. Psychologiquement ça n’a pas été si mauvais qu’on ne le pense.
Quel était le secret de votre réussite en finale ?
Il y a ce point que je viens tout juste de citer qui a fait que le groupe soit soudé davantage et il faut dire également qu’on a travaillé très méthodiquement avant cette finale. On a eu deux cycles deux préparations. La première semaine, sans Badou Zaki, où on s’est concentrés sur la fraîcheur physique des joueurs et la seconde semaine où on est passés à la préparation technico-tactique de la finale avec à la clé les visionnages vidéo des deux dernières rencontres de l’ESS. On savait donc très bien quels étaient les points forts et points faibles de cette équipe. Pour neutraliser l’ESS, il fallait tout simplement bloquer Aït Ouamar et Djabou. Le premier c’est lui qui lance les offensives et le second termine le boulot. On ne s’est pas trompés. On a réussi notre coup.
S. B.