Selon une source autorisée, l’attaquant congolais Christopher-Massamba Mandiangu est attendu la semaine prochaine à Tizi-Ouzou pour signer son contrat au profit des Jaune et Vert.
Opérant dans le championnat arménien, plus précisément au sein de la formation Gandzasar, Mandiangu a la nationalité allemande. Il a porté le maillot de plusieurs équipes allemandes avant d’atterrir dans le championnat arménien. Il aurait aussi joué dans les jeunes catégories de la sélection allemande d’après les responsables de la JSK. En visionnant les vidéos de Mandiangu, le président Hannachi n’a pas hésité à porter son choix sur lui. Plusieurs joueurs africains lui ont été proposés, mais il a été séduit par le profil de ce joueur surtout qu’il lui a été recommandé par l’un de ses amis.
Contrat
Epaté par les qualités de Mandiangu, il a profité de son déplacement en France pour négocier avec son agent. D’après notre source, il s’est entendu avec lui pour que l’attaquant congolais signe un contrat de deux ans. Très sûr des qualités de cet attaquant, le président de la JSK s’est entendu avec lui que dans le cas où il parvient à décrocher un contrat juteux en Europe avant la fin de son contrat, la direction kabyle bénéficiera de 50% du montant du transfert et une clause libératoire de plus de 2 milliards de centimes.
Salaire
Faisant de la JSK un tremplin, Mandiangu ne s’est pas montré gourmand dans ses négociations avec le président Hannachi. Son rêve est de décrocher un contrat en Europe et c’est pour cela qu’il a donné son accord de principe pour qu’il signe un contrat de 2 ans pour un salaire de moins de 200 millions de centimes. Toutefois, le président Hannachi s’est engagé à mettre à sa disposition tous les moyens nécessaires pour qu’il puisse faire parler son talent sur les terrains algériens. Il aura entre autres droit à un appartement de haut gamme, à une voiture de service, à des billets d’avion aller-retour, etc.
Invitation
Après avoir arraché le OK d’Obassi auquel il a envoyé une invitation, le président Hannachi a demandé à ses dirigeants d’envoyer une invitation et l’offre écrite de la direction de la JSK à Mandiangu, le lendemain de son retour au pays, c’est-à-dire, dans la journée d’hier. Si tout va bien, celui-ci sera à Tizi Ouzou au courant de la semaine prochaine.
Bitang
Même si le président Hannachi a réussi à trouver un terrain d’entente avec Mandiangu, il n’a pas pour autant abandonner définitivement la piste du Camerounais Bitang. D’après une source proche de la direction, pour parer à une éventuelle volte-face de Mandiangu, le président Hannachi a demandé à ses dirigeants de garder le contact avec Clarence Bitang. Ce dernier est très enthousiasmé à l’idée de porter le maillot des Jaune et Vert, mais il n’est que le plan B du président Hannachi qui veut conclure le plus vite possible avec Obassi et Mandiangu. Il semble qu’il tient ses deux joueurs africains, mais rien ne dit que le président ne reverra pas encore une fois ses plans pour une raison ou une autre.
N. Boumali
Hannachi l’a attendu hier au siège du club
Abdat reporte sa signature à aujourd’hui
De retour mardi en fin de journée au pays après un court séjour en France, Mohand-Chérif Hannachi a repris le boulot au sein de son club hier matin. Hannachi qui a passé presque toute la journée d’hier au niveau du siège du club, a attendu durant l’après-midi l’arrivée d’Abdat pour lui faire signer un contrat de deux ans. Comme tout le monde le sait, Abdat, qui a récupéré sa lettre de libération lundi dernier, avait tout réglé avec Hannachi concernant son transfert à la JSK. Les deux parties qui ont abordé tous les détails de ce transfert au téléphone devaient se rencontrer hier après-midi à Tizi Ouzou, au siège de la formation du Djurdjura pour rendre ce transfert officiel, toutefois, Abdat a appelé Hannachi pour s’excuser et reporter ce rendez-vous à aujourd’hui. Sauf surprise de dernière minute donc, le désormais ancien joueur de l’USMH se déplacera aujourd’hui à la ville des Genêts pour parapher un contrat de deux ans et officialiser par la même occasion sa venue à la JSK. Après avoir libéré Khelili, Touhami, Berchiche et Rial, Hannachi a jeté son dévolu sur Saâdou et Abdat pour former une nouvelle charnière centrale.
A. H.
Plus de peur que de mal pour Boukhenchouche
Comme nous l’avions rapporté dans notre édition d’hier, le néo-milieu de terrain des Canaris du Djurdjura a été appelé par les membres du staff médical à effectuer des examens approfondis lundi passé dans une clinique privée à Tizi Ouzou, lui qui pourtant a effectué une visite médicale la semaine passée. Ayant constaté quelques anomalies dans les bilans de la première visite, le médecin de l’équipe a jugé utile de faire passer plusieurs d’autres examens au joueur afin de faire une idée bien précise concernant l’état de santé de Boukhenchouche. Après avoir gardé un appareil cardiaque collé à son corps durant toute la journée de lundi dernier, Boukhenchouche a été rassuré hier mardi par les résultats des examens, sur le champ d’ailleurs, les responsables du staff médical de la JSK ainsi que le médecin spécialiste qui a examiné le joueur ont donné le feu vert à l’ancien pensionnaire de l’Olympique de Médéa pour commencer les entraînements avec sa nouvelle équipe. Ce dernier devait d’ailleurs débuter les entraînements à Tikjda avec le reste du groupe.
A. H.
Le 2e stage à Gammarth ou Sousse
Au moment où certaines personnes qui habitaient l’Algérois ont promis un bon et grand stage de préparation en Pologne à Hannachi, ce dernier n’a pas pu organiser le premier stage de préparation en Tunisie pour une question d’argent. Que ceux qui ont promis ce stage de Pologne se présentent aujourd’hui… entre les paroles dans l’air et la réalité, il existe une grande différence, malheureusement, Hannachi n’arrive pas à comprendre tout ça après plus de trente ans dans le football. Bref, pour essayer de sauver son honneur vis-à-vis de ses joueurs, le premier responsable du club tente d’organiser un stage à partir du 1er août en Tunisie, à Gammarth ou à Sousse.
Les joueurs libérés à partir de dimanche à Tizi
La direction du club kabyle a convoqué les joueurs libérés à partir de dimanche prochain afin d’essayer de trouver avec eux une solution concernant leurs lettres de libération. Plusieurs joueurs ont déjà saisi la CRL, ce qui a provoqué une grande panique chez le président de la JSK qui va tenter de régler les cas Baïtèche, Zerguine et Rial…
Un tocard conseiller de Hannachi
Ces derniers jours, tout le monde a remarqué à Tizi Ouzou qu’une personne, vomie par la population, rode autour du président Hannachi. Ce vieux retraité d’une entreprise étatique a réussi même à prendre le poste de conseiller juridique du président de la JSK, il le représente même dans les administrations. Au moment où le club file droit vers la dérive, Hannachi mandate cette personne qui trouve à chaque fois le moyen de dénigrer les hommes et les fils de bonnes familles autour des tables de discussions au lieu de faire appel à un manager général, à un directeur sportif, à un porte-parole, à un vrai juriste, à un responsable du marketing à des industriels pour renforcer le CA… Pauvre JSK.
Ils n’ont pas compris son double jeu
Les membres du CSA demandent à Idrès de démissionner
Comme tout le monde le sait, Samy Idrès, le président du club sportif amateur, a provoqué au début de ce mois de juillet une assemblée générale extraordinaire afin de présenter aux membres du bureau du CSA sa démission. Ayant subi une grosse pression de la part des supporters mais aussi des notables de la ville qui lui ont demandé de faire quelque chose et de secouer le cocotier au niveau du CA, vu que le CSA est l’actionnaire majoritaire dans la SSPA/JSK, Samy Idrès a préféré démissionner que de se mêler dans les affaires du CA. Pour cette raison, il a provoqué une AGE, il a présenté lors de cette assemblée sa démission aux membres du bureau, mais ces derniers furent très corrects avec leur président, ils lui ont demandé de prendre un bon recul que de démissionner, chose que le président du CSA a acceptée sur le champ. Avant la clôture de cette AGE, deux membres du bureau du CSA ont été désignés comme intérimaires, Hanine Meftah et Mohamed Zeghdoud, ces deux membres du CSA devraient même représenter le CSA au niveau du CA, néanmoins, Samy Idrès a changé de langage ces derniers jours, il a même refusé de signer le PV d’installation de Meftah et Zeghdoud en tant que nouveaux responsables du club sportif amateur. Cette sortie inattendue de Samy Idrès a provoqué la colère des membres du bureau du CSA qui n’ont pas hésité à tirer à boulets rouges sur leur président-retraité en lui demandant de démissionner cette fois-ci et de ne maquiller aucune scène à l’avenir.
«Attention au dérapage, le CSA est l’actionnaire majoritaire dans la SSPA/JSK»
Selon les membres du CSA, le club sportif amateur est l’actionnaire majoritaire au sein de la SSPA/JSK. Le président du CA doit être désigné par l’actionnaire majoritaire mais selon toujours eux, au niveau du conseil d’administration, on n’en fait qu’à sa têtes, on n’a jamais consulté le CSA alors que les lois de la République sont claires comme l’eau de roche, celui qui fautera payera, la loi est au-dessus de tout le monde. « Celui qui tentera de changer les statuts ira en prison… », déclaraient des membres influents du CSA.
C’est la JSK qui a été prise en otage…
Lors de toutes le tempêtes qui ont secoué ces derniers temps la maison de la JSK, le président du CSA n’a même pas bougé le petit doigt, quelque part on a cautionné le mal en préférant voir la JSK, un grand symbole de la région, mourir à petit feu que de dénoncer et de tirer la sonnette d’alarme, quitte à sortir par la suite par la grande porte. Cette situation a provoqué la colère de plusieurs supporters qui réclamaient même l’intervention des autorités locales, car, plusieurs choses ne tournaient pas rond au niveau du CSA, notamment, avec ces histoires de subventions… L’histoire retiendra les noms de tous ceux qui ont pris ce grand, historique et prestigieux club en otage.
A. H.
Il devait rallier Tikjda hier soir
Gaouaoui reprendra aujourd’hui
Selon une source proche de la direction, l’entraîneur des gardiens Lounès Gaouaoui devra reprendre du service aujourd’hui. Il n’a pas encore eu une discussion avec le président Hannachi, mais il tient quand même à reprendre son travail deux jours seulement après son retour au pays. Son contrat a expiré au mois de juin dernier, mais malgré le fait que les dirigeants lui aient envoyé un SMS pour lui dire qu’il est concerné par la reprise des entraînements, il n’a pas été invité à négocier son nouveau contrat. Vu que le gardien Malik Asselah est suspendu pour 4 matches, Gaouaoui aura la tâche de préparer Boultif pour les 4 premiers matches de la saison à venir. Les dirigeants avaient songé à libérer l’ex-gardien d’Aïn Fakroun, mais avec la suspension d’Asselah et l’échec des négociations avec les gardiens convoités, ils étaient obligés de revoir leurs plans.
N. Boumali
Asselah refuse de revoir à la baisse son salaire
Selon une source proche de la direction, les responsables kabyles comptent baisser le salaire de leur gardien numéro 1, Malik Asselah. Son salaire lors de l’exercice écoulé était de 180 millions de centimes par mois, mais comme l’équipe a réalisé l’un des parcours les plus catastrophiques de son histoire, les dirigeants ne veulent pas continuer à lui offrir un salaire de 180 millions de centimes par mois. Toutefois, Asselah refuse catégoriquement que son salaire soit revu à la baisse surtout qu’il ne se sent nullement responsable des résultats de la saison dernière. Le fait que les dirigeants lui aient demandé de faire un contre-visite médicale chez le médecin du club après l’arrêt de travail qu’il leur a envoyé en début de semaine, cela prouve que les dirigeants ne veulent accorder de circonstances atténuantes à aucun joueur, et ce, quel que soit son rang. Asselah ne s’attendait nullement à ce que ses dirigeants doutent de sa bonne foi, car s’ils avaient entièrement confiance en lui, ils ne lui auraient pas demandé d’effectuer une contre-visite médicale chez le médecine de l’équipe, alors qu’il avait envoyé un arrêt de travail à la direction dès les premiers jours du stage.
N. Boumali
Il s’est présenté avant-hier à Tikjda
Izerghouf interdit d’entraînement
L’attaquant Thomas Izerghouf a été empêché avant-hier de prendre part à la séance d’avant-hier. Rentré de France où il a passé ses vacances en compagnie de sa famille, Izerghouf s’est présenté au CNLS de Tikjda pour entamer la préparation avec l’équipe malgré sa libération par la direction du club. A son arrivée, on lui a signifié qu’il ne fait plus partie de l’effectif de la JSK et qu’il doit voir avec le président Hannachi avant de revenir au lieu de regroupement de l’équipe.
CNL
Après quelques courriers échangés avec les responsables du club, Izerghouf a été informé de sa libération sous prétexte qu’il n’est pas discipliné. Ils lui ont suggéré une séparation à l’amiable, mais Izerghouf a exigé le payement de ses arriérés avant de résilier son contrat. N’ayant pas trouvé un accord avec ses responsables, Izerghouf a décidé de saisir la Chambre de résolution des litiges pour avoir son argent. Il n’est pas le seul à avoir saisi la CRL puisque Medjkane, Mebarki et Boulaouidet l’ont fait avant lui.
N. Boumali