3 jours avant la fin du mercato estival, la JSK attend toujours son attaquant de pointe promis.

Hier, le rendez-vous été pris pendant la journée avec l’arrivée attendue de l’attaquant congolais Bersyl Obassi, la direction lui avait réservé sur le vil en provenance de Brazaville vers Alger via Casablance, à 14h environs les regards étaient donc tournés vers l’aéroport d’Alger mais au grand désespoir des fans kabyles, Obassi n y était pas. pour en savoir plus on s’est renseigné sur les causes de l’absence avant d’apprendre que le joueur allait arriver la nuit vers 21h mais finalement l’attaquant de l'AS Otoho était encore une fois aux abonnés absents, à vrai dire le joueur ne pouvais pas embarquer, lui qui est en stage avec la sélection de son pays, ce n’est qu’aujourd’hui date de la fin dudit stage, qu’il pourra enfin arriver, il est d’ailleurs attendu à Alger à 17h.

Stage  

Les espoirs du peuple kabyle reposent tous sur cet attaquant de pointe racé qui aura la lourde tache de marquer des buts, chose qui a grandement manqué à l’équipe la saison dernière. Rappelons que Bersyl Obassi avait eu le visa d’entrée sur le territoire algérien lundi passé, il devait directement embarquer le même soir vers Alger, mais le joueur n’a pas pu le faire, il a contracté les dirigeants kabyles pour s’en excuser, son club était en effet concerné par un match de championnat qui devait l’opposer au leader avant-hier mercredi, et il tenait à prendre part à ce match pour propulser son équipe vers l’avant, mais finalement cette rencontre a été annulée laissant place à un stage de la sélection congolaise, et entant que meilleur buteur du championnat il ne devait pas manquer le rendez-vous, il pouvait aussi demander une autorisation pour quitter les lieux, mais il est resté jusqu’à hier, date de la fin du stage, il est donc depuis hier libre de se déplacer, c’est pourquoi, il est attendu aujourd’hui selon son agent congolais ici Alger vers 17h, certainement pas sur un vol qui transitera par le Maroc, mais plutôt par un pays européen qui pourrait être la France ou la Turquie, mais ce qui est sûr c’est qu’à la JSK, on l’attend tel un messie, il sera reçu comme un roi avant de parapher son contrat avec sa nouvelle équipe et se diriger vers la Tunisie dans 3 jours pour effectuer la 2^e partie de la préparation.

Rappelons que dans notre édition d’hier, l’ancien sélectionneur du Congo Claude Le Roy avait encensé le jeune Obassi qu’il avait repéré lorsqu’il etait jeune, il n’avait que 18 ans, l’actuel coach du Togo parle d’un ‘’ attaquant puissant et tenace. Il avait d'énormes qualités et c'est pour cela que je l'avais remarqué au Centre national d'entraînement » nous a-t-il déclaré.

S.M.A

Redouani : «Eviter les erreurs de la saison passée»

«Il faut arrêter de parler de premiers rôles»

«Je n’ai pas de pression particulière»

 

Le latéral droit dresse son bilan du stage de Tikjda et assure qu’il a été positif à plus d’un titre. Maintenant, il se tient prêt pour la reprise et le second stage qui sera aussi important. Dans ce sens, il assure que les joueurs n’ont aucune envie de revivre ce qui s’est passé la saison dernière et, pour cela, ils vont tout faire pour bien débuter et enchaîner.

 

Le premier stage tire à sa fin, quel bilan en faites-vous ?

Je pense que cette première phase préparatoire a été un franc succès. Depuis la reprise, on a pris nos quartiers ici à Tikjda pour faire du bon travail. Le CNLS offre toutes les commodités pour réussir une bonne préparation, notamment sur le plan physique. C’était l’objectif du staff technique ; maintenant, je pense que nous avons très bien avancé dans ce domaine-là. On ne peut qu’être satisfaits par rapport à tout ce qui s’est passé.  Maintenant, on a quelques jours de repos avant de reprendre les entraînements.

 

Vous avez été à Tikjda depuis 12 jours. Est-ce suffisant, selon vous ?

Comme vous le savez, le centre de Tikjda est fait spécialement pour la préparation physique ; c’est ce que nous nous sommes attelés à faire. On n’a pas joué de match amical car le coach savait exactement ce qu’il voulait et où il allait en venir. Je pense que nous sommes maintenant dans un état avancé de notre préparation et que la suite sera encore plus dure. Il faut profiter de cette période de repos pour s’entraîner chacun de son côté.

 

Qu’espérez-vous de la seconde phase de préparation ?

Déjà, on va l’entamer en étant à 50, voire 60% de nos capacités, ce qui est une excellente chose pour nous. Maintenant, le second stage sera beaucoup plus consacré à l’aspect tactique. On va avoir des matchs amicaux à jouer et c’est là qu’on pourra avancer et mettre en place la nouvelle stratégie qui nous attend pour la saison à venir.

 

Justement, quel a été le message de l’entraîneur ?

J’ai pu constater que la première chose que Rahmouni et Moussouni ont faite, c’est de nous sortir de la tête le cauchemar de la saison passée. Ce n’est pas facile pour nous. Ils ont fait le nécessaire pour y arriver. Après, ils nous ont demandé de persévérer et de travailler davantage. Beaucoup de choses ont changé au sein de l’équipe. L’ossature est partie et il y a beaucoup de jeunes cette saison. Notre devoir, c’est de bien faire les choses. 

 

L’ossature a changé et vous passez du statut de nouveau à celui de cadre. Ressentez-vous une pression pour la nouvelle saison ?

Sincèrement, non. Je ne ressens pas une grosse pression. C’est vrai que, maintenant, on me dit que je suis un cadre de l’équipe et cela me motive davantage pour faire avancer les choses et aller chercher les meilleures performances possibles. Comme je l’ai déjà dit, je n’ai aucune envie de revivre le cauchemar de la saison passée.

 

Pensez-vous que la JSK peut faire une belle saison ?

Sincèrement, on a tous les moyens pour faire du bon travail. On a un bon groupe et tout se passe bien pour le moment. Cependant, il faut arrêter de parler et dire qu’on jouera les premiers rôles. Il faut parler sur le terrain et rien d’autre. On sait très bien ce qui s’est passé l’année passée et on ne veut pas revivre la même chose. Donc, la première chose à faire est une bonne préparation. Après, on ne doit pas rater notre entame et enchaîner les bons résultats.

 

Il faudra aussi gagner à la maison…

Effectivement, c’est une réalité qu’il ne faut pas négliger. On doit retrouver la solidité dans notre stade. De toute façon, on travaille fort pour atteindre nos objectifs et faire le nécessaire pour réaliser une belle saison.

 

Optimiste, donc…

Oui, je le suis car on doit tout faire pour réaliser une belle saison. On ne veut pas de pression supplémentaire et on ne va pas dire qu’on jouera le titre. On promet de prendre match par match et de tout donner pour enchaîner.

I. Z.  

Le lieu du stage ne leur a pas encore été communiqué

Les joueurs dans l’expectative

 

Le premier regroupement de la JSK a pris fin hier puisque les joueurs ont été libérés. Cependant, ni le coach ni les dirigeants n’ont informé les joueurs sur le lieu du second stage et cela inquiète le groupe.

 

C’est avec une grande satisfaction donc que les joueurs de la JSK en ont terminé avec ce premier stage consacré exclusivement au volet physique. En effet, tout le monde assure avoir bien travaillé que ce soit les joueurs ou encore les entraîneurs. Des motifs de satisfaction qui font plaisir à tout le monde. Le groupe a été libéré hier matin et chaque joueur est rentré chez lui pour se reposer et passer quelques jours en famille avant de repartir pour une seconde phase de préparation qui sera encore plus importante pour les Canaris revanchards et qui veulent faire une belle saison. Cependant, le bémol dans cette histoire, c’est le fait que les joueurs ne connaissent pas le lieu du second regroupement qui se fera très probablement à l’étranger. Les joueurs sont dans l’expectative et ont affirmé qu’ils auraient aimé être fixés sur le lieu du stage. Une situation qui laisse perplexe du moment qu’à l’heure actuelle aucun joueur avec lequel on a parlé n’a été mis au parfum.

 

La Tunisie reste la piste la plus plausible

Plusieurs destinations ont été annoncées dans certains médias mais, finalement, aucune confirmation de la part des dirigeants de la JSK encore moins de la part des entraîneurs. D’après les dernières informations qui nous sont parvenues, le stage devrait avoir lieu du côté de la Tunisie qui reste l’option la plus plausible pour les Canaris. Pour le moment, les joueurs attendent toujours d’être mis au parfum par leurs responsables afin qu’ils se préparent en conséquence pour aller faire du bon travail durant le second stage.

I. Z.

Reprise lundi

Après avoir travaillé pendant plus de 10 jours au centre de Tikjda, les joueurs ont été libérés hier matin par les membres du staff technique. En effet, les joueurs étaient contents d’apprendre qu’ils ont eu trois jours de repos bien mérité de la part de leur entraîneur. Ce qui fait que la reprise est prévue lundi prochain. L’occasion de se reposer et de recharger les batteries avant de reprendre le travail et la dernière étape avant d’entamer une saison qui promet déjà d’être intéressante pour les Canaris.

 

Où se déroulera la reprise ?

C’est la question que se posent les joueurs de la JSK qui ne savent pas encore où ils vont reprendre le chemin des entraînements. En quittant Tikjda, aucun membre du staff technique ne leur a communiqué le lieu de la reprise du travail, se contentant juste de leur accorder 3 jours de repos. Maintenant, il se dit que le club aimerait bien reprendre les entraînements du côté de l’ESHRA pour être loin des regards et de toute pression. Ainsi, les joueurs attendent les SMS de la part de leurs dirigeants pour être fixés sur le lieu de la reprise.

I. Z.

Le groupe aurait aimé se réunir avec le président

 

Le fait marquant de ce premier stage de préparation, c’est l’absence du président de la JSK, Moh Chérif Hannachi, qui n’a pas rendu visite à ses joueurs. En effet, c’est une première car, depuis des années, le chairman kabyle se rend au moins une fois sur le lieu de regroupement de son équipe pour motiver les joueurs et leur témoigner tout son soutien pour la nouvelle saison. Toutefois, pour ce premier stage, il a brillé par son absence à Tikjda. Si, au départ, on pouvait comprendre que, face à la crise financière, il ne voulait certainement pas avoir à faire à la colère du groupe, le fait de les avoir payés le mettait dans une position assez confortable. D’après une source bien informée, les joueurs étaient quelque peu déçus par l’absence de leur président car ils auraient apprécié le fait de tenir une réunion avec lui pour aborder certaines choses. Les joueurs auraient apprécié aussi que le boss se déplace pour les encourager et les rassurer par rapport à la préparation et sur la nécessité de faire une belle saison. Cependant, son absence a été ressentie chez les joueurs dont certains ont exprimé leur déception.

 

Soulagés par l’encaissement des salaires

Si son absence a déçu, le fait d’avoir appris la nouvelle du virement des salaires a fait plaisir à tout le groupe qui attendait cette issue avec impatience. Cela va leur permettre de toucher leur argent et diminuera certainement la pression autour du président Hannachi qui ne savait plus quoi faire face aux demandes des joueurs de toucher leur argent de la saison passée pour certains et de leur avance pour les nouveaux.

I. Z.