Depuis la destitution de Hannachi, les actionnaires et les membres du CSA ne parlent que de la reprise de la JSK par le patron de Cevital Issad Rebrab. Ils ont même annoncé que celui-ci leur a fixé rendez-vous ce mercredi pour évoquer ce sujet, recevoir tous les papiers du club pour étude et leur rendre sa réponse concernant le rachat du club le plus titré d’Algérie.

L’annonce de la venue du richissime homme d’affaire Issad Rebrab fait rêver les supporters, mais la plupart d’entre eux craignent que celui-ci n’accepte pas de succéder à Hannachi. Tant que le patron de Cevital ne se prononce pas d’une manière officielle sur ses réelles intentions d’investir à la JSK, la plupart des supporters ne veulent pas croire à ce qui se dit ça et là. Les membres du CSA ont déclaré dans la journée de lundi dernier que la rencontre avec Rebrab est programmée pour ce mercredi, mais nos tentatives de les joindre dans la journée d’hier sont restées vaines. Tard dans la soirée, nous avons réussi à parler à Zeghdoud, l’un des deux hommes désignés pour gérer les affaires courantes de la JSK. Ce dernier nous dira : «J’attends le retour d’Azlef. Je ne peux pas décider seul.»

Rebrab a confirmé sa disponibilité

Toute la Kabylie espère que l’entrevue entre les membres du CSA et l’homme le plus riche d’Algérie se tienne comme prévue, c’est-à-dire ce mercredi. Les membres du CSA ont indiqué dans leurs déclarations que Rebrab leur a envoyé un intermédiaire pour leur dire qu’il est prêt à les recevoir ce mercredi, mais celui-ci n’a jamais confirmé ni infirmé sa venue à la JSK. Les décideurs à la JSK savent très bien qu’on ne fait pas attendre Issad Rebrab. L’home le plus riche du Maghreb les attend, ils n’ont pas intérêt à lui faire faux bond. Par ailleurs, si l’entrevue avec Rebrab aura lieu comme convenu, les membres du CSA rendront sans nul doute l’espoir à tous les amoureux des Jaune et Vert. Mais si la rencontre est annulée pour une raison ou une autre, le doute s’emparera certainement des supporters quant à la reprise de leur club par le patron de Cevital. Ils commenceront à perdre espoir quant à sa venue, car ils verront d’un mauvais œil qu’un industriel soi- disant intéressé à l’idée de racheter le club n’affiche pas publiquement ses intentions, alors que la JSK est sans président depuis le 7 août dernier.  Il faut dire que le désormais ancien président Hannachi n’avait pas cessé de berner les supporters depuis le mois de mars dernier en déclarant que Rebrab avait accepté d’investir à la JSK, mais il s’est avéré finalement que ce n’était pas vrai et que le président Hannachi ne cherchait qu’à gagner du temps en évoquant dans chacune de ses déclarations la venue de Rebrab. 

N. B.

Zeghdoud : «Azlef doit m’accompagner chez Rebrab»

Le co-gestionnaire de la JSK Mohamed Zeghdoud, que nous avons joint hier par téléphone, nous dira : «Nous étions en réunion toute l’après-midi. On a décidé d’attendre Azlef, présentement en Tunisie. Je ne dirige pas le club seul, il est avec moi, donc, il doit m’accompagner chez Rebrab. Le maintien du rendez-vous dépend de sa présence.»

Azlef pousse Benhaha à la démission

Azlef est parti en Tunisie pour payer le stage avec l’argent qu’il a réuni auprès des actionnaires et régler le problème de la billetterie. Jusque-là, tout est normal, après tout, il est dans son rôle… Ce qu’on ne savait pas c’est que sa mission principale était de limoger l’entraîneur des gardiens Lyes Benhaha.

Moins de deux semaines après avoir signé son contrat au profit de la JSK, l’entraîneur des gardiens, Lyes Benhaha, jette déjà l’éponge. La cause de son retrait inattendu est due au fait que Malik Azlef chargé par l’assemblée des actionnaires pour gérer les affaires du club jusqu’au 7 septembre, a voulu revoir le contrat qu’il avait signé avant qu’il ne s’envole en Tunisie pour entamer son aventure avec les Jaune et Vert. Pourtant, il s’était entendu sur tout avec le président déchu Mohand Chérif Hannachi  et il avait même signé son contrat, mais Azlef à son arrivée à Gammarth, l’a convoqué pour lui demander de revoir certaines clauses de son contrat, notamment celles relatives à l’aspect financier. Cela a d’abord surpris Benhaha qui ne s’attendait nullement à ce qu’Azlef exige de lui de baisser son salaire, avant qu’il ne décide de se retirer de son poste. Cela s’est passé dans la soirée de lundi dernier et le départ de Benhaha va certainement faire des vagues.

«C’est moi qui paie, donc c’est moi qui décide»

Le moins que l’on puisse dire est que Benhaha a été surpris par le discours d’Azlef : «Je n’aime pas qu’on me prenne de haut. Je respecte les gens et je veux que les gens me respectent. Azlef m’a fait comprendre que les gens avec qui j’ai signé mon contrat ne sont pas représentatifs… et qu’il a décidé de revoir mon contrat, ce que j’ai bien sûr refusé. Moi, j’ai signé à la JSK en tant qu’entité, pas pour X ou Y… J’ai donc décidé de me retirer. Je vais assurer cette dernières séance d’entraînement, après ça, je m’en vais», nous disait Benhaha hier matin. Il paraît qu’Azlef est parti en Tunisie spécialement pour mettre fin aux fonctions de Benhaha, pourtant très compétent dans son domaine. On ne sait pas ce qui a motivé Azlef, on ne sait pas non plus à qui profitera son acte, mais on le saura bientôt, dès que son successeur sera connu.   

Quelle perte !

Appelé à remplacer Lounès Gaouaoui limogé d’une manière peu orthodoxe, Benhaha s’est engagé à mettre son expérience au service de l’équipe. Son arrivée a été favorablement accueillie par les supporters qui n’ont pas oublié le travail qu’il a accompli avec les gardiens de l’USMA et du MOB. C’est l’un des meilleurs entraîneurs des gardiens de notre championnat, il a emmené Rahmani en sélection et aidé Zemmamouche à retrouver son niveau après sa longue blessure. Malheureusement pour des raisons qu’on ignore, Azlef lui a demandé de revoir à la baisse son salaire. Les gardiens de la JSK ont été beaucoup critiqués et l’arrivée de Benhaha a rendu espoir à tous les supporters surtout que celui a déclaré dès la signature de son contrat que la concurrence sera relancée dans les bois et qu’il fera tout pour qu’Asselah retrouve son top niveau.

Asselah, Boultif et Saïdoun de nouveau sans entraîneur 

Le départ de Benhaha n’est pas encore définitif puisqu’Azlef lui a promis de le rappeler une fois qu’il sera à Alger pour tenter de trouver un accord avec lui. Il est clair que Benhaha ne fera aucune concession, car il avait déjà signé son contrat et si Azlef persiste à vouloir baisser à tout prix son salaire, il ne poursuivra pas son aventure avec les Canaris. Connu pour son sérieux dans son travail, Benhaha ne restera pas longtemps au chômage. Les dirigeants kabyles doivent faire le maximum pour le convaincre de revenir, car les entraîneurs de gardiens de sa trempe ne courent pas les rues. Si son départ se confirme, ce sera une grande perte pour la JSK qui a inquiété plus d’un lors des matches de préparation joués en Tunisie. Asselah ne participera pas aux 4 premiers matches du championnat à cause de sa suspension et Boultif qui ne dispose pas d’une grande expérience a besoin d’être entraîné par un entraîneur des gardiens comme Benhaha pour qu’il ne rate pas ses matches. Il est clair que les gardiens de la JSK le regretteront. Ils avaient à peine commencé à s’habituer à sa méthode…

A.H

Chetti, Redouani et Boultif sont rentrés directement chez eux de Tunisie

Habitant l’est du pays, les arrières latéraux Chetti et Redouani ainsi que le gardien Boultif sont rentrés directement chez eux de Tunisie. Ils ont pris un taxi de Tunis, alors que les autres joueurs ont rejoint Annaba à bord du bus de l’équipe.

Raïah regagnera le pays aujourd’hui

Le milieu Malik Raïah n’est pas rentré avec ses équipiers hier au pays. Disposant d’un billet d’avion, Raïah ne regagnera le pays qu’aujourd’hui. Il est utile de rappeler que l’enfant de Mirabeau avait rejoint le groupe tardivement à Gammarth faute d’une autorisation pour quitter le territoire nationale.

Dahlal dispensé de la séance d’hier

 Le jeune Dahlal n’a pas pris à la séance d’hier matin. Souffrant d’une légère blessure, il a  été ménagé par les membres du staff technique.

Entraînement à la plage pour les gardiens

Bien qu’il ait décidé de jeter l’éponge à cause de la décision d’Azlef de revoir à la baisse son salaire, l’entraîneur des gardiens Lyes Benhaha a poursuivi sa mission avec l’équipe jusqu’au dernier jour du stage de Gammarth. Il a programmé des exercices à la plage à ses gardiens, ce qui a fait plaisir à ces derniers.

Il est revenu hier avec eux sur le déroulement du stage

Les remarques de Rahmouni aux joueurs

A la fin du déjeuner d’hier, l’entraîneur Mourad Rahmouni s’est réuni avec ses joueurs afin de faire le point sur le travail fait durant le stage de Gammarth. Pas du tout satisfait par le rendement de la plupart de ses joueurs, le coach kabyle a insisté durant son intervention sur les insuffisances de l’équipe, notamment lors des matches amicaux joués en Tunisie. Rahmouni n’y est pas allé avec le dos de la cuillère pour dire à ses joueurs qu’ils doivent redoubler d’effort pour pouvoir être fin prêts pour le premier match du championnat face à la JS Saoura. Il leur a ajouté qu’ils doivent éviter les erreurs commises lors des joutes amicales, en leur rappelant que les supporters attendent beaucoup d’eux et qu’ils doivent être à la hauteur des attentes placées en eux. Le visage montré par l’équipe lors de cette période précompétitive n’a pas été rassurant et Rahmouni a vraiment du pain sur la planche à 10 jours de la reprise du championnat. Il n’est pas encore trop tard pour combler les lacunes décelées jusqu’à maintenant, mais le temps ne joue pas en faveur du staff technique.

A.H.

Rahmouni et Moussouni rentreront aujourd’hui ou demain

L’entraîneur Mourad Rahmouni et son adjoint Fawzi Moussouni ne sont pas rentrés hier avec l’équipe. Ils ont un vol pour demain, mais comme toute la délégation de la JSK est rentrée hier, ils veulent avancer pour aujourd’hui leur retour au pays.  

La reprise pour dimanche, mais…

La reprise des entraînements à Tizi Ouzou est fixée pour ce dimanche, mais l’entraîneur Rahmouni et son adjoint Moussouni veulent l’avancer à samedi. Ayant constaté qu’il y a beaucoup de lacunes dans l’équipe, le staff technique veut mettre à profit le temps qui reste pour la reprise du championnat pour travailler la cohésion du groupe.      

Pas de nuitée à Annaba

Sur insistance des joueurs, Malik Azlef chargé de la gestion des affaires de l’équipe jusqu’au 7 septembre a fait le maximum pour trouver des places sur le vol Annaba-Alger. L’équipe a quitté Gammarth en début d’après-midi et elle ne devait rallier la ville d’Annaba qu’en fin d’après-midi ou en début de soirée. Il était prévu que les joueurs passent la nuit de mardi à mercredi à Annaba, mais comme il y avait des places disponibles sur le vol de 22h d’Annaba à Alger, les joueurs sont attendus à l’aéroport Houari Boumediène à 23h.

Entraînement hier matin à Gammarth

Le staff technique a programmé la dernière séance d’entraînement à Gammarth pour la matinée d’hier avant que les joueurs ne quittent l’hôtel où ils ont séjourné durant tout le stage effectué en Tunisie. A la fin de l’entraînement, les joueurs ont pris leur déjeuner à l’hôtel avant que Rahmouni ne se réunisse avec eux.

Moussouni : «ça a été le stage des problèmes»

 

Accosté à l’hôtel El Mouradi à la fin de la séance d’entraînement de lundi soir, Moussouni, qu’on a sollicité pour un petit bilan sur le stage de Gammarth, revient sur les deux semaines que la formation du Djurdjura a passées en Tunisie.

 

«Sur le plan sportif, on a beaucoup travaillé ; il ne faut pas se focaliser sur les résultats des matchs amicaux, ce ne sont que des rencontres de préparation pour moi. La preuve, le jour de notre match contre le NAHD, la matinée de cette rencontre, on a effectué une séance d’entraînement de deux heures. Si réellement on cherchait le résultat, on ne se serait pas entraîné la matinée. Bref, on a beaucoup travaillé lors de ce stage, mais on a rencontré plusieurs problèmes, notamment lors de la première semaine. Des problèmes qui ont failli noircir la vie du groupe. Heureusement qu’on a su les gérer, sinon, les joueurs n’auraient pas tenu le coup. On termine ce stage sans aucun incident, ni accrochage, ni bagarre… C’est déjà une bonne chose car on a bien maîtrisé le groupe.».

 

« On aurait aimé jouer un quatrième match amical»

Concernant les matchs amicaux, Moussouni avoue : «Certes, on a joué quatre matchs amicaux, trois pour les titulaires et une rencontre pour les remplaçants. On aurait aimé jouer un quatrième match amical pour l’équipe première, car on a un léger retard sur le plan tactique. Toutefois, on n’a pas trouvé de sparring-partner. On doit s’estimer heureux, car on a joué quatre matchs, alors que dans un premier temps, on peinait à organiser un petit match de préparation. Maintenant, on doit se concentrer sur la récupération et sur la reprise des entraînements qui aura lieu dimanche prochain à Tizi-Ouzou».

 

«On doit être prêt pour le match face à la JSS»

Au moment ou les supporters de la JSK s’inquiètent quant à l’avenir de leur équipe, l’ancien attaquant des Jaune et Vert et des Verts estime : «On ne sera pas à 100% de nos moyens, c’est avec la compétition que l’équipe atteindra son rythme de croisière. Néanmoins, on recevra l’équipe de la JSS en étant très motivés ; on doit être prêt pour cette rencontre, on jouera sur notre terrain et devant notre public. Les trois points de cette rencontre doivent rester à la maison, car on veut débuter le championnat en force. Pour ce faire, on doit gagner notre premier match.»   

                              A. H.

 

Yettou : «On ne sera pas à 100% face à la JSS»

 

Le milieu du terrain des Jaune et Vert revient dans cet entretien sur le stage de son équipe à Gammarth, en Tunisie, et les premiers matchs de la saison. L’enfant de Bab El Oued veut voir son équipe démarrer en force le championnat pour éviter le scénario de la saison passée.

 

Le stage de Gammarth a pris fin hier ; quel bilan faites-vous à ce propos ?

Le bilan n’est pas vraiment positif. On a rencontré quelques problèmes au début de ce stage et puis, avec le manque de matchs amicaux, on n’a bien travaillé nos automatismes. On aurait aimé jouer cinq ou six matchs amicaux. D’ailleurs, c’est la raison de notre présence en Tunisie ; on a fait tout ce long déplacement pour jouer quelques rencontres amicales et non pas faire du tourisme.

 

L’équipe ne sera pas donc prête pour le premier match du championnat…

On sera prêt, mais pas à 100%. C’est avec les matchs qu’on atteindra un bon niveau. Pour le premier match, on doit débuter avec une victoire. Tout se jouera lors des premiers matchs de la saison. Si on veut vraiment réaliser un bon parcours en championnat, on doit débuter la saison en fanfare.

 

Vos supporters craignent de revivre le cauchemar de la saison passée…

Non, jamais ! On fera le maximum pour bien débuter le championnat, c’est très important l’entame. Si on commence bien la saison, on passera une année tranquille.

 

Sur le plan personnel, vous êtes l’une des satisfactions de ce stage…

Je suis un vrai bosseur, je cravache très dur aux entraînements, j’affiche une belle forme et c’est tant mieux pour moi et pour mon équipe.

 

Une rude concurrence fera rage au milieu du terrain, ne craignez-vous pas pour votre place ?

La concurrence est une bonne chose pour l’équipe. Moi, je suis là, je travaille et je fais confiance à l’entraîneur. Et puis, je suis un joueur qui place toujours l’intérêt de l’équipe au-dessus de ses propres intérêts. Peu importe celui qui jouera, pourvu que la JSK réalise un bon début du championnat.

                                A. H.

 

Il était le meilleur et sur tous les plans  

Oukaci : « Un long et dur travail m’attend encore »

 

Selon l’avis de tous les présents à Gammarth, Oukaci était le meilleur élément de la délégation kabyle, que ce soit sur le plan sportif, aux entraînements, lors des matchs amicaux, sa conduite au sein de l’équipe… La pépite kabyle a volé la vedette aux anciens joueurs de l’équipe et même aux éléments que Hannachi a recrutés cet été à coups de millions. « Je suis un enfant de la JSK, avant d’être un joueur de cette équipe, je suis un chauvin supporter des Jaune et Vert. Je travaille toujours avec grand sérieux ; je suis un vrai professionnel, et puis cela fait presque un an maintenant que je suis avec le groupe. Je me sens comme un poisson dans l’eau avec l’équipe. Néanmoins, je dois garder les pieds sur terre, je viens juste de commencer mon aventure avec les pros ; un long et dur travail m’attend encore.» Concernant le stage de son équipe et l’avenir de la JSK en championnat, l’enfant de Freha avoue : « On a rencontré quelques difficultés lors de ce stage ; néanmoins, on sera prêt pour le match contre la JSS comptant pour la première journée du championnat. On fera le maximum pour garder les points de cette rencontre à la maison.» Concernant son poids dans cette équipe, puisqu’il est indétrônable selon tous les membres de la délégation kabyle qui a séjourné pendant deux semaines à Gammarth, Oukaci souhaite et conclut  en même temps : « Je ferai de mon mieux pour aider mon équipe à réaliser de très bons résultats lors des premiers matchs du championnat. Je vais continuer à travailler et à cravacher très dur afin de mériter à chaque fois la confiance de mon entraîneur.»  

                                   A. H.

 

Le 4-2-3-1 de Rahmouni n’a pas fonctionné

Mourad Rahmouni compte réaliser un gros travail sur le plan tactique une fois l’équipe rentrée au pays. Le coach des Canaris, qui essayé le 4-2-3-1 en Tunisie, s’est rendu en fin de compte que ce schéma tactique ne correspond pas à son équipe. Il devrait opter pour le schéma le plus classique, à savoir le 4-4-2.

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Le stage a coûté plus de 6 millions de dinars

Payé par les actionnaires, le stage de Gammarth a coûté plus de 6 millions de dinars. C’est Malik Azlef qui s’est déplacé lundi passé à Gammarth pour payer la facture de ce stage avant de revenir au pays.

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Quelques membres de la délégation rentreront aujourd’hui par avion

Quelques membres de la délégation kabyle, ne devaient pas rentrer au pays hier en fin de journée, ils devaient passer une autre nuit pour se déplacer demain à l’aéroport Carthage et regagner le pays par vol, à l’image de Moussouni, Rahmouni, Ramebi, Raiah et Redouani.