Maintenant qu’ils sont tout proches de reprendre l’équipe, Madjène, Zouaoui et Aït Djoudi devront s’atteler à régler les dossiers urgents au sein de l’équipe et des dossiers les attendent pour essayer de vite régler les choses et passer par la suite au volet sportif de leur projet.
C’est bientôt la fin de l’incertitude avec l’arrivée prochaine du trio investisseur cité ci-dessus. Les hommes en question sont sur le point d’intégrer le club en tant que membres du directoire et ensuite en tant qu’actionnaires. Cependant, même s’ils ne sont pas encore installés, chose qui ne tardera pas à arriver, il y a certains dossiers urgents à vite régler pour les nouveaux dirigeants et on parle bien sûr de dossiers ayant relation avec l’aspect financier de l’équipe. Dans ce sens, Madjène, Zouaoui et Aït Djoudi devront faire face à ces problèmes.
Payer 8000€ à Lyon la Duchère avant le 15 novembre
La première mission qu’aura le nouveau directoire sera de payer le club de Lyon la Duchère concernant l’ancien attaquant de l’équipe, Oussama Abdeljalil. Les deux parties se sont entendues sur un échéancier et la JSK est sommée de payer 8000€ avant le 15 du mois en cours pour éviter toute complication.
Payer 2 salaires pour les anciens
La deuxième des choses que doit faire le nouveau directoire sera de payer les anciens joueurs qui n’ont pas touché le moindre salaire depuis plus de 6 mois maintenant. Selon les informations qui nous sont parvenues, il s’agit de 2 salaires pour les anciens qui ont assez attendu. Le tout représente pas moins de 3 milliards de centimes.
Une mensualité ou deux pour les nouveaux
Il n’y a pas que les anciens joueurs qui n’ont pas touché de salaires. Certains nouveaux joueurs n’ont également pas été payés et attendent de toucher un à deux mois, chacun selon sa situation. Certaines recrues arrivées à l’intersaison ont touché deux, trois voire 4 mois d’avance.
Convoquer les joueurs ayant saisi la CRL
Beaucoup de joueurs ont quitté le club en fin de saison dernière sans toucher leur argent. Pour se protéger, ils ont saisi la chambre de résolution des litiges. Dans ce sens, l’une des priorités du nouveau directoire sera de contacter les joueurs en question et de négocier un accord à l’amiable. L’idée ce serait de convaincre les joueurs en question à revoir leurs exigences à la baisse mais aussi d’obtenir un échéancier pour le versement de l’argent. Autant dire qu’il y aura du pain sur la planche pour Aït Djoudi et ses deux associés pour la suite du parcours avec trois chantiers principaux à régler le plus vite possible pour ne pas se retrouver en difficulté dès l’entame de leur mission à la tête du club kabyle.
- Z.
Cela s’est passé lors de la réunion
Le conseil de surveillance exige 10 milliards de garantie
Avant-hier soir, les dirigeants ont conclu un accord verbal avec les trois investisseurs intéressés. Cependant, le conseil de surveillance a exigé des garanties, représentant 10 milliards.
Les dirigeants actuels de la JSK ne cessent de le répéter, ils ne veulent que le bien de l’équipe. C’est ce qui explique le fait que les négociations avec le clan Aït Djoudi ont rapidement débouché sur un accord verbal avant de concrétiser le tout noir sur blanc pour passer aux choses sérieuses. Comme on le faisait savoir hier, les investisseurs ont exigé des garanties solides pour reprendre le club et on parle de garanties écrites. Chose qui ne gêne nullement le conseil de surveillance qui a accepté. Cependant, ce qu’on a appris, c’est que les dirigeants actuels ont eux aussi exigé des choses concrètes. Plus clairement, le conseil de surveillance a demandé un chèque de 10 milliards comme une garantie de la puissance financière des nouveaux investisseurs. Après que chaque partie ait exposé sa vision des choses, les discussions ont pu avancer.
Pas de soucis pour le clan Aït Djoudi
Devant la demande du conseil de surveillance, le trio d’investisseurs n’a eu aucune peine à accepter la doléance des dirigeants du moment qu’ils ont un projet sérieux à mettre en place pour redorer le blason de la JSK. D’ailleurs, tout cela a fait que les deux parties ont fini par s’entendre.
Finalisation demain
Maintenant que les choses ont avancé dans le bon sens, on attend donc que tous les accords passés soient mentionnés noir sur blanc. On parle de l’entrée du trio dans le directoire, l’ouverture du capital en interne et la transformation des 10 milliards en actions. D’après une source fiable, tout ceci sera réglé demain dimanche puisque les dirigeants actuels veulent les introniser à cette date pour qu’ils puissent entamer leur travail à la tête de la JSK. Si tout va bien, la journée de demain sera très importante pour le club kabyle qui devrait connaître sa nouvelle direction.
- Z.
Il n’a pas encore déposé sa démission
Sadmi pourrait être destitué aujourd’hui
Par N. Boumali
Selon une source autorisée, le désormais ancien président du directoire Hamid Sadmi n’a toujours pas remis sa démission aux membres du conseil de surveillance. Près d’une semaine après l’annonce de son départ, il n’a pas présenté sa démission à la direction. Les dirigeants nous ont confié hier qu’ils ne peuvent pas l’attendre éternellement. «Depuis qu’il est parti, il nous disait à chaque fois par le biais de son conseiller Me Meriem qu’il remettra sa démission demain. Cela fait presqu’une semaine qu’il est parti, mais il n’a toujours pas présenté sa démission. S’il ne le fait pas aujourd’hui avant la réunion du conseil de surveillance, on le destituera au cours de notre réunion pour qu’on passe à autre chose. On n’a pas fait pression sur lui, mais on l’attendra jusqu’à cet après-midi, sinon on va le destituer», nous a déclaré un haut responsable dans l’après-midi d’hier.
- B.
Mellal animera ce dimanche une conférence de presse
Affirmant qu’il dispose de gros moyens lui permettant de prendre la présidence de la JS Kabylie, Chérif Mellal compte animer une conférence de presse ce dimanche à la Maison de la presse pour dénoncer, selon ses dires, les entraves qui ont été dressées devant lui pour lui barrer la route de la présidence. Il promet même de divulguer les trois derniers bilans financiers du club où, selon lui, il y a plusieurs failles. Il annonce également qu’il répondra à Azlef et à tous ceux qui ont parlé de lui.
Polémique
Les relations entre les responsables kabyles et Chérif Mellal vont certainement se détériorer dans les jours à venir. Si les premiers déclarent que celui-ci n’est jamais venu les voir pour qu’il leur présente son projet, Chérif Mellal rétorque qu’il n’a pas à négocier avec eux et qu’il ne leur demande que d’ouvrir le capital pour venir avec ses milliards pour prendre la JSK.
- K.
Djouder refuse de revenir, malgré l’insistance de Doudane
Le désormais ancien premier adjoint de Jean-Yves Chay, Samir Djouder, n’a nullement l’intention de revenir sur sa décision de quitter le staff technique. Le manager général Karim Doudane a tout fait pour le convaincre de rester au moins jusqu’à la rencontre de ce mardi face à l’ES Sétif, mais celui-ci a refusé. A signaler qu’aucun responsable de la nouvelle direction ne l’a pas appelé pour lui proposer de rester.
- K.
Le dernier baroud du président partant
«Azlef est un roublard»
Le désormais ancien président du directoire, Hamid Sadmi, est intervenu hier sur les ondes de la Chaîne II et de la Chaîne III pour expliquer son départ. Il tient toujours rancune à Azlef, lequel avait affirmé avant la rencontre que si Sadmi ne peut pas gérer, il n’a qu’à partir. Hier, sur les ondes de la Chaîne II et de la Chaîne III, Sadmi ne l’a pas épargné. «Ne me parlez pas de lui. C’est un roublard. Durant toute la période où j’ai présidé le directoire, je ne l’avais vu que deux fois», a-t-il annoncé sur les ondes de la Chaîne II avant que l’animateur de l’émission ne lui demande de ne pas utiliser des mots qui peuvent nuire aux personnes.
«Je ne pouvais pas rester dans un environnement aussi malsain»
Alors que tout le monde sait que Sadmi s’est retiré de son poste à cause du refus de l’homme d’affaires italien Cavallo Rocco d’injecter de l’argent dans les caisses du club, le désormais ancien président du directoire justifie son départ par tout ce qu’il a enduré. «On s’est attaqués à moi de partout. Il y a eu trop de manipulations. Même les dirigeants qui étaient en place ne voulaient pas d’un contrat de partenariat et avec ce qui s’est passé lors de la rencontre face à l’USB, j’ai décidé de me retirer. Je ne pouvais pas rester dans un environnement aussi malsain. Mon éducation ne me permet pas d’accepter les insultes.»
«Chay est une vieille connaissance, il ne pouvait pas rester après mon départ»
Sur la démission de son ami Jean-Yves Chay, Sadmi a confié lors de ses interventions sur la Chaîne II et sur la Chaîne III qu’il était impossible à
Chay de poursuivre sa mission avec les Jaune et Vert. «Chay est une vieille connaissance. C’est quelqu’un d’éduqué et il ne pouvait pas
rester après mon départ», a souligné Sadmi qui a ajouté qu’il s’est retiré pour préserver sa santé.
- K.
Il animera une conférence de presse aujourd’hui à Sidi Yahia
Que dira Cavallo Rocco ?
L’homme d’affaires italien Cavallo Rocco animera une conférence de presse aujourd’hui à partir de 10h 30 à l’hôtel Lalla Doudja situé à
Sidi Yahia. Il y aura à ses côtés son fils Francisco et le manager de la Juventus, selon les représentants du groupe Cavallo en Algérie. Depuis que Hamid Sadmi avait annoncé à la fin du mois d’août dernier de signer un contrat de partenariat avec les Italiens, beaucoup a été dit sur le groupe Cavallo Rocco au point où certains avaient prédit dès le départ l’échec de leur venue à la JSK. La conférence de presse d’aujourd’hui sera une opportunité pour Cavallo Rocco pour répondre aux accusations qui ont été portées contre son groupe et sur l’échec des négociations avec le désormais ancien président du directoire de la JSK. Les proches de ce dernier avaient annoncé au début du mois de septembre que deux semaines seulement après son accession à la présidence du club, les Italiens injecteront 3 à 5 millions d’euros, or Cavallo Rocco aurait nié avoir fait une telle promesse à Sadmi.
- K.
Madjène : «On vient pour régler tous les problèmes»
Lakhdar Madjene, le futur nouvel président du directoire, rassure d’ores et déjà les supporters des Jaune et Vert. Lui, Zouaoui et Aït-
Djoudi n’ont pas encore pris d’une manière officielle les rênes du club, mais il promet de résoudre tous les problèmes auxquels est confrontée la JSK. «On vient pour régler tous les problèmes du club. Si on avait jugé qu’on n’était pas en mesure de le faire, on ne viendrait pas. On est parfaitement conscients de la situation dans laquelle se trouve, mais on est prêts à faire face», a indiqué Madjène dans une discussion que nous avons eue hier en fin d’après-midi avec lui.
«On attend qu’on soit installés d’une manière officielle»
Annoncés comme les nouveaux repreneurs du club, Madjène, Zouaoui et Aït-Djoudi attendent de rencontrer les actionnaires de la SSPA/JSK pour officialiser les choses. Ils devront se présenter devant l’assemblée des actionnaires ce dimanche, mais jusqu’à hier après-midi, aucun responsable ne les a appelés pour leur fixer rendez-vous. «On a trouvé un accord avec les dirigeants, mais on attend qu’on soit installés d’une manière officielle. On est prêts à rencontrer les membres du directoire et du conseil de surveillance à tout moment», souligne Madjène. L’entrevue entre Madjène, Zouaoui et Aït-Djoudi avec les membres de l’assemblée des actionnaires aura lieu sans nul doute ce dimanche étant donné que ces derniers se réuniront entre eux cet après-midi afin de prendre une décision définitive concernant la proposition de Madjène, Zouaoui et Aït-Djoudi.
«La priorité est de payer les joueurs et de régler les dettes urgentes»
Vice-président de la JSK de 1994 à 1997, Madjène sait mieux que quiconque que la situation dans laquelle se trouve le club est préoccupante. La JSK croule sous les dettes, mais cela ne fait pas peur ni à lui, ni à Zouaoui et ni encore moins à Aït-Djoudi. «Comme je vous l’ai déjà dit, si on vient, c’est pour régler tous les problèmes. C’est vrai qu’il y a beaucoup de dettes, mais la priorité est de payer les joueurs et de régler les dettes urgentes comme celles des joueurs qui ont saisi la Chambre de résolution des litiges. On doit négocier avec tout le monde et on fera en sorte que les problèmes soient réglés pour qu’on puisse concrétiser notre projet.»
«Toutes les bonnes volontés seront les bienvenues»
Madjène tend les bras à tous ceux qui peuvent apporter un plus au club. Lui, Zouaoui et Aït-Djoudi ne pensent qu’à redorer son blason à la JSK. «Toutes les bonnes volontés seront les bienvenues. Les portes du club seront ouvertes pour tout le monde et celui qui pourra apporter un plus, il sera le bienvenu», affirme Madjène.
«On a besoin de tout le monde»
Animés d’une grande volonté pour redorer à la JSK son blason d’antan,
Madjène, Zouaoui et Aït-Djoudi espèrent que tous ceux qui aiment le club leur apporteront leur soutien. «On a besoin de l’aide tout le monde pour qu’on redresse la barre. Le club se trouve dans une situation très délicate et sans l’aide des supporters, des proches du club et des sponsors, il sera difficile de faire changer les choses.»
«On sollicitera Rebrab»
Même s’ils viennent avec leur propre argent pour sortir la JSK de la situation dans laquelle elle se trouve, Madjène, Zouaoui et Aït-Djoudi comptent solliciter tous les industriels de la région pour venir en aide au club. «On va solliciter tous les industriels de la région y compris Rebrab. Comme je vous l’ai déjà dit, on a besoin de l’aide de tout le monde pour redorer à la JSK son blason d’antan.»
«La JSK peut revenir en force»
Si la situation financière dans laquelle se trouve le club est inquiétante, le classement de l’équipe n’effraie pas Madjène. «La JSK peut revenir en force. Si les joueurs sont mis dans de meilleures dispositions, ils pourront enregistrer de meilleurs résultats dans les semaines à venir. Une chose est sûre, c’est qu’on ne rechignera pas sur l’effort pour que l’équipe ne manque de rien», conclut Madjène.
- B.
Mellal : «Je suis prêt à investir 10 millions d’euros»
Affirmant qu’il est toujours intéressé à l’idée d’investir à la JSK,
Chérif Mellal se dit prêt à mettre pas moins de 10 millions d’euros dans son projet pour permettre au club kabyle de retrouver son lustre d’antan. Il avait parlé au départ de 50 milliards de centimes, mais avec tout ce qui a été dit sur lui ces derniers jours, il déclare qu’il investira 10 millions d’euros. «Je suis prêt à investir 10 millions d’euros dans mon projet. Je suis un véritable investisseur et un créateur de richesses. J’ai 3 sociétés en Europe et 3 autres en Algérie. Moi, je ne demande que l’ouverture du capital. J’invite aussi les dirigeants de la JSK à un débat télévisé pour que les gens sachent qui est capable de gérer le club», annonce-t-il.
«Chèque notarié»
Contrarié par les déclarations de Zeghdoud et Azlef, Chérif Mellal dit qu’il n’a pas à négocier avec qui que ce soit sa venue. «Ils disent que je dois venir avec mon chèque eh bien, je leur dirais que s’ils ouvrent le capital, je viendrai avec un chèque que je leur présenterai chez le notaire. J’ai les moyens pour reprendrai le club et les supporters ne veulent pas que je lâche. Samy Idrès qui est le président du CSA doit assumer ses responsabilités», poursuit Chérif Mellal.
- K.
Réunion de l’assemblée des actionnaires aujourd’hui
Selon une source autorisée, les actionnaires de la SSPA/JSK se réuniront aujourd’hui afin de trancher d’une manière définitive sur la venue du trio Madjene-Zouaoui-Aït-Djoudi. Le membre du directoire Malik Azlef et le président du conseil de surveillance Mohamed Zeghoud ont été séduits par le projet qui leur a été présenté par ces derniers, mais il faudra que l’assemblée des actionnaires dans sa majorité soit acquise pour ce projet pour que Madjene, Zouaoui et Aït-
Djoudi reprennent le club.
- B.
Aït Djoudi : «Madjene sera le président du directoire»
Intervenant hier sur les ondes de la Chaîne 2 et de la Chaîne 3 de la Radio nationale, Azzedine Aït Djoudi a confirme sa reprise du club en compagnie de Lakhdar Madjene et Saïd Zouaoui. Il a expliqué qu’un terrain d’entente a été trouvé avec les responsables actuels et qu’il ne reste que quelques détails à régler pour que leur venue soit officielle. «Madjene sera le président du directoire», a-t-il annoncé avant d’ajouter que lui s’occupera du volet sportif. Par ailleurs, Madjene souligne que le travail se fera d’une manière collégiale et que le plus important est que lorsque le président s’absente pour une raison ou une autre, son absence ne doit pas se faire remarquer. Il affirme qu’il y a une parfaite entente entre lui, Zouaoui et Aït Djoudi et que chacun d’entre eux fera de son mieux pour que leur projet se concrétise.
- B.
Azlef : «Ça n’a pas marché avec Sadmi à cause du manque d’argent»
Bien que Sadmi soit attaqué à lui lors de son intervention sur les ondes de la Chaîne 2, Malik Sadmi a évité de polémiquer avec lui. «Je respecte beaucoup Sadmi, mais ça n’a pas marché pour lui faute d’argent. Au vu de la situation actuelle, la JSK a besoin d’argent», a expliqué Azlef.
«On devra officialiser avec Madjene, Zouaoui et Aït Djoudi ce dimanche»
Membre du directoire, Azlef a réaffirmé hier que le projet de Madjene,
Zouaoui et Aït Djoudi est très intéressant. «Le projet de Madjene,
Zouaoui et Aït Djoudi est intéressant. Ils s’engagent à prendre le passif et l’actif. L’argent qu’ils débourseront à lors de la reprise du club se transformera en actions. On devra officialiser avec eux ce dimanche.»
«Le capital du club sera ouvert»
Les dirigeants kabyles, à leur tête Azlef, assurent que ceux qui veulent investir au club, ils pourront l’ouverture du capital. «Madjene, Zouaoui et Aït Djoudi ont accepté de prendre le club dans la situation actuelle, mais le capital du club sera ouvert. Celui qui veut investir, il n’a qu’à se présenter à l’ouverture du capital», explique
Azlef.
- B.
Kherroubi n’a pas été appelé par la direction
Zaâbar et Gaouaoui assureront l’intérim
Jusqu’à hier en fin d’après-midi, Mounaïm Kherroubi n’a pas été appelé par les dirigeants pour assurer la reprise après le départ de Chay.
S’ils ne l’appellent pas ce matin, c’est le préparateur physique Salim
Zaâbar et l’entraîneur des gardiens Lounès Gaouaoui qui assureront la séance d’aujourd’hui. A noter qu’Aït Djoudi sera aux côtés de
Kherroubi face à l’ESS, mais il n’a pas été encore installé, il ne peut pas demander à Kherroubi d’assurer l’intérim.