Le président du directoire de la JSK, Lakhdar Madjène, a été l’invité de notre confrère Nouredine Saâd dans son émission Agraw Sport diffusée chaque mercredi sur TV 4. En plus de ce qu’il a dit lors de cette émission, nous avons eu une petite discussion avec lui concernant l’actualité du club. En voici un résumé de notre échange avec lui.
Celui qui a été vice-président de la JSK de 1994 à 1999 n’a pas mâché ses mots lors de son passage à la télévision algérienne, même si, sur certains sujets sensibles, il a préféré botter en touche pour ne pas envenimer sa relation avec certains de ses collaborateurs.
«Hannachi voulait me céder la JSK et sortir par la grande porte»
Sur les circonstances de son arrivée ou son retour à la JSK, Lakhdar Madjène a tenu à rappeler que c’est l’ancien président Mohand Chérif Hannachi qui a fait appel à lui en premier. «Avant l’assemblée du 7 août lors de laquelle Hannachi a été destitué, ce dernier, qui a lui-même organisé cette réunion, m’a appelé pour me demander de lui succéder. Il voulait partir et sortir par la grande porte et il pensait que j’étais le mieux placé pour prendre le relais. Cette AGEx avait pour ordre du jour l’intégration de deux nouveaux actionnaires, moi et Zouaoui en l’occurrence. Entre-temps d’autres choses se sont passées dans les coulisses puisque ce jour-là, le CSA, aidé par certains actionnaires, a décidé d’ajouter un autre point à l’ordre du jour, et c’est comme ça que le CA a été dissous et Hannachi destitué, la suite vous la connaissez», raconte le patron de l’entreprise Djurdjura.
«Un actionnaire nous a promis ses actions avant de faire volte face»
On s’attendait quand même à ce qu’on soit intégrés surtout qu’un actionnaire nous avait promis de nous vendre ses parts, ce jour-là, il avait changé d’avis, je ne sais pour quelle raison et les membres de l’assemblée des actionnaires ont avancé qu’ils étaient prioritaires en cas de désistement d’actions, ce qui est vrai d’ailleurs, on est donc sortis bredouilles et laissé le club tranquille. Quand on nous a rappelé après le départ de Sadmi, on a un peu hésité avant d’accepter de composer le directoire pour gérer les affaires courantes durant 6 mois au maximum comme le stipule la loi sur les SSPA en attendant notre intégration au CA et c’est ce que nous faisons actuellement. On attend la prochaine AGE pour pouvoir travailler sur de bonnes bases et mettre en place notre vrai projet», explique Madjène.
«On a trouvé un découvert de 3,4 milliards, aujourd’hui il est de 900 000 millions»
Beaucoup se demande pourquoi l’actuel directoire n’a pas encore mis la main à la poche. Pourquoi ils recourent au crédit bancaire pour gérer le club alors qu’ils ont promis d’injecter leur propre argent. Nous avons posé la question au premier responsables de la JSK et ce dernier, sans détour, nous répondra : «A notre arrivée, nous avons trouvé un découvert de plus de 3 milliards à la banque, aujourd’hui, il n’est que de 900 millions, alors qu’on a payé 3 mois de salaires aux joueurs, réglé plusieurs factures impayées et permis au club de recruter en payant une grande part des dettes de la CRL. Les joueurs contestataires ne nous doivent que 900 millions qu’on payera fin janvier ou début février, sans oublier les dépenses qu’on a évitées au club grâce à nos amis, comme le stage d’Aïn Benian qui a été payé par l’un d’eux, les déplacements à Oran et à Alger où des amis ont pris en charge toutes nos dépenses », tonnera-t-il.
«On ne peut pas injecter nos milliards avant d’être actionnaires»
Nous avons fait savoir à Madjène que tout cet argent était celui du sponsor principal et pas le leur, il répondra : «C’est l’argent de la JSK et il a été déboursé pour la JSK et non versé dans nos comptes personnels. Comme je vous l’ai dit, on ne peut pas injecter de grosses sommes d’argent avant qu’on ne soit officiellement actionnaires. Notre argent, on l’a durement gagné et pour pouvoir l’investir à la JSK, et c’est ce qu’on veut, on a besoin de garanties, il faut qu’on soit officiellement dirigeants de la JSK, parce que dans le cas actuel, on ne dispose d’aucun pouvoir, le CSA peut nous éjecter à n’importe quel moment et je trouve cela vraiment dommage. On a hérité d’un grand bazar, qu’on nous laisse travailler dans la sérénité », regrette Madjène.
«Le CSA a le pouvoir, on est à sa merci»
On évoquant le CSA, nous avons essayé de comprendre la relation entre Zeghdoud et Meftah et l’actuel directoire, Madjène, un peu gêné par notre question, s’est contenté de dire : «Vous savez que le CSA est actionnaire majoritaire. Il a le pouvoir absolu dont celui de provoquer une assemblée extraordinaire pour nous éjecter. Ils ont d’ailleurs programmé une réunion le 10 de ce mois à laquelle on n’est pas conviés, ou du moins pas pour le moment. On devra par contre se rencontrer juste après pour présenter nos bilans et exposer le travail qu’on a fait jusque-là. On verra ce qui se passera …» Et d’ajouter : «Vous savez, le CSA est composé de 30 personnes, dont certains sont morts, certains d’entre eux ne se connaissent même pas ou se voient une fois par an, ils ne se réunissent pas… Il y a 2 ou 3 personnes qui décident pour tous, qui décident pour l’avenir de la JSK, je crois qu’il est temps de revoir la composante du CSA qui est actionnaire majoritaire du plus grand club d’Algérie et l’un des plus grands d’Afrique.»
«Tôt ou tard, Aït-Djoudi devra choisir entre la gestion et le terrain»
Un autre point qui suscite beaucoup d’interrogations ; le double rôle d’Aït-Djoudi. A son propos, le président nous dira : «Sachez qu’on a fait un contrat d’entraîneur à Aït-Djoudi pour pouvoir lui délivrer une licence et s’assoir sur le banc de la JSK. Au début, il était prévu qu’il soit DTS, ou manager à l’anglaise comme la presse aime surnommer ce poste. Aujourd’hui, il fait le deux, mais tôt ou tard il devra choisir entre être entraîneur ou dirigeants, il ne peut pas cumuler les deux, c’est impossible… Il ne peut être l’employé et l’employeur en même temps, il y aura conflit d’intérêt…, mais comme je l’ai dit, on gère une situation d’urgence et toute aide est la bienvenue. Aït-Djoudi fait du bon travail, il a carte blanche sur tout ce qui est technique, mais moi et Zouaoui avons un droit de regard sur le recrutement, surtout en ce qui concerne les finances.»
«Belkalem nous rendra sa réponse le 7 janvier»
Même s’il n’est pas le premier responsable du recrutement, Madjène a bien accepté de nous donner quelques tuyaux sur ce sujet, surtout Belkalem que les supporters attendent comme le messie. «On a besoin d’un joueur comme Belkalem sur le terrain en dehors. On a discuté avec lui et il nous a promis de nous rendre sa réponse au plus tard le 7 janvier prochain. Après cette date, on sera obligés de chercher un autre défenseur axial, on a besoin de renforcer ce poste… » On a évoqué le manque de compétition de Said Belkalem et le fait qu’il ait refusé de s’entraîner avec l’équipe en attendant sa signature à la JSK ou ailleurs, Madjène, même s’il était d’accord avec nous a refusé d’entrer dans les détails. Il s’est contenté de dire : «Oui, on aurait aimé qu’il s’entraîne avec nous, mais que voulez-vous, on n’a pas toujours ce qu’on veut.»
«Pourquoi racheter la libération de Banouh si on peut l’avoir gratuitement ?»
L’autre licence devrait être accordée à Banouh, l’attaquant de l’USMH, sur ce dossier, Lakhdar Madjène nous dira : «Banouh attend la décision de la CRL. Une fois sa lettre de libération en main, il a promis de venir signer à la JSK. Il est vrai qu’on peut aller négocier avec nos amis d’El-Harrach, mais pourquoi le faire si on peut l’avoir gracieusement ?»
«On se penchera sur le cas Ekedi au moment voulu»
Un autre dossier chaud pour le directoire en cette période de mercato, celui d’Ekedi. Le Camerounais touche un gros salaire sans jouer. C’est Aït-Djoudi qui a décidé ainsi au détriment de l’équipe vu qu’il n’a pas meilleur que lui. «Ekedi est un cas difficile, néanmoins, on pense pouvoir trouver un accord avec lui. Il y a un règlement intérieur et tôt ou tard, il devra venir discuter de sa situation. On va s’y pencher au moment voulu», avertit Madjène.
«Je ne sais pas ce que font 2 ou 3 joueurs à la JSK »
On faisait la comparaison entre Si Salem et Ekedi lorsque Madjène a lancé cette phrase : «Vous avez raison de faire cette comparaison, d’ailleurs, je me demande ce que font 2 ou 3 joueurs à la JSK. C’est du social, de grands joueurs issus du club n’ont pas eu la chance de jouer à la JSK en sénior, je cite Marek, Chouiyeb, Chebata, Ould Rabah…il y a des joueurs actuellement à la JSK qui ne leur arrivent pas à la cheville et malgré cela, ils sont là…»
Il avait donné son OK avant de changer d’avis
La volte-face de Gouaïche
Le président du DRB Tadjenanet, Tahar Gouaïche, ne cédera pas finalement son défenseur central Guitoune à la JSK. Il avait pourtant accepté l’offre de la direction kabyle qui lui a été faite dans la soirée de mardi dernier, mais il n’a pas tardé à changer d’avis. Le manager général Karim Doudane l’a appelé en fin d’après-midi d’hier et il lui aurait promis de lui céder Guitoune contre une somme dont on ignore le montant. C’est pour cela que Doudane, après avoir longuement discuté avec Gouaïche, a pris attache avec Guitoune pour lui dire qu’il a trouvé un accord avec son président. Rassuré par les propos du manager général des Jaune et Vert, le défenseur central du DRBT a immédiatement appelé Gouaïche pour vérifier s’il a effectivement accepté de le laisser rejoindre la JSK en ce mercato hivernal.
Mais il est tombé des nues lorsque son président lui a dit qu’il n’ira nulle part et qu’il restera au DRBT. Sous contrat avec son club, Guitoune qui a toujours rêvé de porter le maillot des Jaune et Vert sera encore une fois contraint de poursuivre son aventure avec le DRBT. Gouaïche lui aurait déclaré que si son équipe n’était pas dans une position inconfortable, il ne l’aurait pas bloqué.
N. Boumali
Gouaïche : «Guitoune est intransférable»
Le président du DRB Tadjenanet, Tahar Gouaïche, s’oppose catégoriquement au départ de son défenseur central en ce mercato hivernal. Après plusieurs tentatives infructueuses, on a réussi à le joindre hier au téléphone pour vérifier s’il a effectivement l’intention de transférer son meilleur défenseur en ce mois de janvier, celui-ci n’est pas allé par 4 chemins pour dire que Guitoune
n’ira nulle part en ce mercato hivernal. «Guitoune est intransférable», a-t-il dit. Mais lorsque nous avons demandé pourquoi il avait changé d’avis après avoir promis au manager général Karim Doudane de lui céder Guitoune, celui-ci s’est montré irrité par notre question. «Je vous ai dit que Guitoune est intransférable et je ne comprends pas pourquoi vous insistez sur ce sujet. C’est vrai que j’ai parlé avec Doudane, mais je ne veux pas entrer dans les détails. Je crois que j’ai répondu à votre question en vous disant que Guitoune est intransférable. Pour le reste, je ne suis pas obligé de vous répondre», déclare Gouaïche. Ce n’est pas la première fois que ce dernier s’oppose au transfert de son défenseur. L’ancien président Mohand-Chérif Hannachi n’avait jamais mis le paquet pour enrôler Guitoune et même ses successeurs n’ont pas pu trouver un accord avec le président du DRBT.
N. Boumali
Hamia : «Je n’ai reçu aucune offre de la JSK»
Bien que son nom soit évoqué avec insistance ces derniers jours dans l’entourage de la JSK, l’attaquant Hamia dément tout contact avec les responsables des Jaune et Vert. N’ayant regagné le pays que dans la journée d’avant-hier, l’ex-pensionnaire de l’O Médéa n’a pas voulu s’exprimer ni sur la décision de son président de le mettre dans la liste des joueurs à libérer en ce mercato hivernal ni sur sa prochaine destination. «Je n’ai reçu aucune offre de la part des responsables de la JSK», nous a-t-il indiqué dans la soirée d’hier. Les dirigeants de la JSK avaient songé à lui dès leur installation à la tête du directoire, mais ils ont vite abandonné sa piste à la suite des déclarations du président du Chabab dans lesquelles il a déclaré que son attaquant vedette n’ira nulle part. Mais comme il est parti en France pour passer la fin d’année sans l’autorisation de ses responsables, Hamia a été ajouté à la liste des joueurs à libérer en ce mercato hivernal.
«Je ne ferai aucun commentaire sur ma libération avant de rencontrer
mon président»
Alors que tout le monde a été surpris par la décision du président belouizdadi Bouhafs de libérer Hamia en ce mois de janvier, ce dernier que nous avons eu hier soir au téléphone n’a pas voulu faire le moindre commentaire pour l’instant. «Vous me parlez de ma libération, mais je n’en sais rien pour le moment. Je ne vous dirais rien tant que je n’ai pas rencontré mes dirigeants», a-t-il rétorqué. Le président Bouhafs, faut-il le rappeler, avait déboursé une somme astronomique au mois de janvier dernier pour s’offrir les services de Hamia qui était le buteur de l’O Médéa, mais une année après, il veut se «débarrasser» de lui. S’il le libère vraiment, il ne le cédera pas pour des miettes pour les clubs qui souhaitent le recruter, car il fera certainement tout pour récupérer une partie de l’argent qu’il a dépensé pour le recruter au dernier mercato hivernal.
N. Boumali
S’il récupère sa lettre de libération aujourd’hui
Banouh devra signer son contrat ce samedi
L’attaquant Banouh devra être fixé sur son avenir avec l’USMH aujourd’hui. N’ayant pas attendu le verdict de la Chambre de résolution des litiges pour entamer les négociations avec les clubs qui le convoitent à l’image de la JSK, l’ancien pensionnaire de l’ASMO et de l’O Médéa espère avoir gain de cause. Il nous a confié lors de la discussion que nous avons eue mardi dernier avec lui que les responsables de la CRL lui ont promis de trancher sur son cas ce jeudi. Après que les dirigeants mouloudéens aient abandonné sa piste à la suite du recrutement de l’attaquant du RC Relizane Tebbi, Banouh s’est entendu pratiquement sur tout avec le manager général Karim Doudane et le vice-président Saïd Zouaoui. Depuis son retour de France où il a passé quelques jours, il a toujours déclaré que sa priorité va pour la JSK. La signature de son contrat se fera au plus tard ce samedi dans le cas où il récupérerait le fameux document qui lui permettra d’officialiser son transfert avec les Jaune et Vert. Si on se fie aux déclarations des responsables de la JSK, Banou sera la troisième recrue en ce mercato hivernal. Cet attaquant peu médiatisé sera sans nul doute d’un bon apport pour l’attaque des Jaune et Vert du Djurdjura qui a été l’un des talons d’Achille de l’équipe lors de la première manche du championnat.
N. Boumali
Asselah out
Souffrant d’une blessure à la cuisse depuis dimanche dernier, Malik Asselah est officiellement out pour la rencontre de ce week-end face à la JS Saoura. Le staff médical a fait de son mieux pour le remettre sur pieds pour le premier match de cette phase retour, mais comme il ne s’est pas remis de sa blessure, il ne sera pas concerné par le match de demain. Non seulement il n’a pas participé à la joute amicale jouée lundi dernier face à l’US Beni Douala, mais il ne s’est pas entraîné 3 jours avec le groupe. En son absence, l’entraîneur Azzeddine Aït-Djoudi fera certainement confiance à Boultif qui avait joué les 5 premiers matches de la phase aller avant qu’il ne cède sa place à Asselah. Bien que la concurrence soit rude dans les bois, l’ancien pensionnaire de la formation d’Aïn Fekroun affirme que son ambitieux est de faire le maximum avant de se frayer une place de titulaire sur l’échiquier des Jaune et Vert. Pour ce premier match de la phase retour, l’entraîneur Aït-Djoudi sera contraint de se passer de 3 de ses cadres, car en plus de Djabout et Asselah blessés, Boukhenchouche insiste toujours pour avoir sa lettre de libération afin d’opter pour le club de son choix.
N. Boumali
Il a refusé encore hier de s’entraîner avec le groupe
Boukhenchouche insiste pour partir
Comme nous l’avons rapporté dans notre dernière édition, le milieu Salim Boukhenchouche est décidé plus que jamais à changer d’air en ce mercato hivernal. Bien que l’entraîneur Azzeddine Aït-Djoudi ait tenté de le rassurer dans la journée de mardi dernier en lui déclarant qu’il n’a jamais songé à le libérer et qu’il compte beaucoup sur lui à la phase retour, l’ex-pensionnaire de l’O Médéa insiste toujours pour avoir sa lettre de libération afin d’opter pour le club de son choix.
Pour la deuxième fois d’affilée, il s’est présenté au stade en tenue de ville et il refuse toujours de reprendre avec ses équipiers. Son attitude a mis les responsables du club dans une situation très embarrassante, car non seulement ils n’ont recruté jusqu’à maintenant que deux joueurs, à savoir Benyoucef et Hammar, ils risquent de perdre Boukhenchouche après avoir perdu leur défenseur central Sofiane Abdat.
Certes, ils déclarent que ce joueur n’ira nulle part, mais le fait qu’il ait refusé de s’entraîner deux fois de suite avec le groupe, cela prouve que Boukhenchouche est déterminé à quitter la JSK en ce mois de janvier. Il a été l’une des pièces maîtresses sur l’échiquier des Jaune et Vert lors de la première manche du championnat, mais contre toute attente, il a pris la décision de ne pas poursuivre son aventure avec le club kabyle. Certes, son rendement lors des dernières journées de la phase aller n’a pas été à la hauteur, mais Boukhenchouche reste néanmoins une valeur sûre. Il avait montré de très belles choses au début du championnat, mais son rendement à l’instar de tout le groupe a régressé par la suite. Il ne s’est pas entraîné pendant deux jours avec l’équipe et d’après les échos qui nous sont parvenus, il ne compte pas faire le déplacement avec ses équipiers à Béchar. Même si les dirigeants affirment que tout baigne dans l’huile dans l’équipe, plusieurs indices prouvent le contraire et s’ils ne prennent pas les décisions qui s’imposent dès maintenant, il leur sera difficile de maîtriser leur groupe par la suite.
N. Boumali
Benyoucef et Hammar qualifiés
Les deux nouvelles recrues des Jaune et Vert, Lyès Benyoucef et Ziri Hammar, seront d’attaque dès ce vendredi face à la JS Saoura pour le compte de la première journée de la phase retour. Les deux joueurs sont qualifiés puisque la direction a déjà récupéré leurs licences. Ils seront sans nul doute titularisés face à la JSS vu qu’ils ont montré de très belles choses lors de la joute amicale jouée lundi dernier face à l’US Beni Douala. Avec l’attitude de Boukhenchouche qui réclame toujours sa lettre de libération, l’entraîneur Azzedine Aït-Djoudi n’aura pas d’autre choix que de faire jouer d’entrée le désormais ex-pensionnaire du PAC Benyoucef au poste de meneur de jeu.
N. Boumali
La liste des convoqués sera arrêtée ce matin
Selon un membre du staff technique, l’entraîneur Azzeddine Aït-Djoudi arrêtera la liste des joueurs convoqués pour le match face à la JSS à l’issue de l’entraînement de ce matin. Avec la blessure de Djabout et Asselah et l’attitude de Boukhenchouche qui refuse de s’entraîner avec le groupe depuis avant-hier, il n’y aura pas des surprises dans la liste des convoqués.