Le président Chérif Mellal a réaffirmé hier qu’il continuera à lutter de toutes ses forces contre ceux qui veulent faire peur aux supporters d’une manière générale et aux familles d’une manière particulière.
«On a les noms et les prénoms de ceux qui veulent mettre la pagaille dans les gradins. Lorsque j’ai vu que ces personnes (5 ou 6) commençaient à agresser les fans, je suis allé vers les gradins, mais elles ont fui pour que je ne les reconnaisse pas, or la veille, on m’avait dit que ces personnes préparent un sale coup. Elles n’attendaient qu’un faux pas à domicile pour passer à l’acte», a rappelé le président Mellal.
«On a saisi le procureur général et le chef de sûreté de wilaya»
Accusant ces personnes de tout faire pour faire peur aux supporters pour qu’ils ne viennent pas au stade, le président Mellal confie qu’il a toutes les preuves de ce qu’il avance. «On a les photos et les vidéos confirmant le sale travail de ces personnes. On prépare un dossier en béton qu’on remettra aux autorités concernées. On ne se laissera pas faire», prévient-il. Pour éviter tout dérapage qui pourrait se produire dans les matches à venir à domicile, le président Mellal nous a annoncé hier qu’il a remis toutes les preuves qu’il possède au procureur général et les services de sécurité pour que les fauteurs de troubles payent pour leurs méfaits. «On a saisir le procureur général et les services de sécurité. Comme je vous l’ai déjà dit, on dispose d’un dossier en béton et ces personnes vont payer», menace-t-il.
Convaincu que son projet fait peur à ceux qui avaient l’habitude d’imposer leur diktat à la JSK par le passé, le président Mellal s’engage à nettoyer encore l’entourage du club. «Ces fauteurs de troubles ne font peur ni aux supporters ni à moi. Ils auront notre réponse lors de la prochaine rencontre», annonce-t-il.
«Ma suspension est injuste, j’irai très loin dans cette affaire»
Suspendu pour une année dont 6 mois ferme par la commission de discipline de la Ligue de football professionnel, le président Mellal ne compte pas se laisser faire. «Ma suspension est injuste. Je ne me tairai pas, car je ne fait que défendre les intérêts de mon équipe. Je vais saisir le TAS en attendant d’entreprendre d’autres actions, parce que si je suis débouté ici, j’irai à Lausanne», réagit Mellal. Scandalisé par la lourde sanction que lui a infligée la CD de la LFP, le président Mellal s’interroge sur le deux poids deux mesures de celle-ci. «Certains ont dit et fait des choses très graves, mais ils n’ont pas été suspendus. Moi, je n’ai fait que réagir après la hogra dont a été victime mon équipe. J’ai dit la vérité !»
«C’est personnel, c’est un règlement de comptes»
Le président Mellal estime que s’il n’avait pas un problème avec le président de la Ligue de football professionnel, il ne serait pas suspendu pour une année dont 6 mois ferme. «Cette sanction est un règlement de comptes, sinon comment expliquer le fait que d’autres ont fait des déclarations plus graves que moi, mais ils n’ont pas été inquiétés, c’est petit, c’est mesquin», dénonce le président de la JSK.
«Attendez ma conférence de presse pour tout savoir»
Le président Mellal promet de faire d’autres révélations sur la sanction qui lui a été infligée par la commission de discipline de la Ligue. «Je vais tout révéler lors de la conférence de presse que j’organiserai probablement ce mercredi. J’ai toujours dit que je ne vais pas me taire et je continuerai à défendre les intérêts de mon équipe.»
«Il y avait penalty sur Uche»
Bien qu’il n’ait pas cherché à justifier la défaite de son équipe par le mauvais arbitrage, le président Mellal estime que Boukhalfa a pénalisé son équipe. «Il y avait penalty sur Uche, mais l’arbitre ne l’a pas sifflé, il était pourtant très proche de l’action. Même le carton jaune qu’il a accordé à notre capitaine Saâdou qui le privera de la rencontre face au CABBA est severe», regrette le président de la JSK.
«Beldjilali avait tiré son coup franc au moment où Salhi s’occupait de son mur»
Il n’y a pas que le penalty non sifflé par l’arbitre Boukhalfa et le carton jaune offert à Saâdou qui ont irrité le président Mellal. «Je n’avais pas entendu le coup de sifflet de l’arbitre sur le coup franc de Beldjilali. Ce dernier avait tiré son coup au moment où Salhi s’occupait de son mur. C’est pour cela qu’il l’a surpris. Je ne sais pas ce que dit la réglementation, je ne sais pas aussi s’il avait demandé au joueur d’attendre le coup de sifflet, mais c’est un fait qui mérite d’être relevé.»
«On fera un rapport contre Boukhalfa»
Tout en déclarant que le CSC a bien joué et qu’il n’a pas usurpé sa victoire, le président Mellal pense que l’arbitre Boukhalfa a commis beaucoup d’erreurs durant cette rencontre. «Ce n’est pas la première fois que Boukhalfa pénalise notre équipe. Il y a deux saisons de cela, il avait validé un but à Nadji qui portait le maillot de l’USMA à cette époque, alors qu’il avait amorti le ballon de la main. Tout le monde avait vu qu’il y avait faute, sauf lui. La saison dernière, il avait aussi validé le but de Belmokhtar qui était au DRB Tadjenanet, alors que celui-ci avait commis une faute sur Djerrar. Face au CSC, il nous a pénalisés et là, c’est trop. C’est pour cela qu’on a préparé un dossier contre lui.»
«Boukhanchouche ? Je dois d’abord discuter avec Dumas»
Au sujet de Boukhanchouche qui a été descendu en flammes par son entraîneur à la fin de la rencontre face au NAHD, le président Mellal rappelle qu’il ne parle jamais du technique. «J’ai évoqué plusieurs sujets avec Dumas aujourd’hui dont celui de Boukhanchouche. Je ne peux dire plus, sauf peut-être que le coach a carte blanche et c’est lui qui décide de tout ce qui est relatif au volet technique.»
«Les dires du coach ne sont pas tombés dans l’oreille d’un sourd»
Les déclarations de Franck Dumas à la fin de la rencontre face au CSC ne sont pas tombées dans l’oreille d’un sourd. Après la réunion ayant regroupé le président avec les membres du staff technique, une autre réunion est programmée pour aujourd’hui afin de parler encore du recrutement, du stage hivernal et du cas de certains joueurs notamment celui de Boukhanchouche. «On reparlera encore avec l’entraîneur des sujets qu’on a évoqués. On lui a donné carte blanche et on va prendre les décisions qui s’imposent.»
«Les applaudissements du public ne m’ont pas surpris»
En dépit de la défaite concédée devant le CSC, les joueurs et les dirigeants à leur tête le président Mellal ont été longuement applaudis par les supporters au coup de sifflet final. A ce sujet, le président de la JSK dira : «Les applaudissements du public ne m’ont pas surpris. Je suis proche des supporters, car avant tout je suis un supporter comme eux. Certains ont tenté de créer des problèmes, mais je suis allé vers les gradins pour les démasquer. Si vous aviez été avec moi à Chorfa aujourd’hui, vous aurez tout compris. La confiance entre moi et notre public est intouchable, personne ne peut la casser.»
«On ira à Bordj Bou-Arréridj pour se racheter»
Bien qu’il soit frustré par la première défaite concédée à domicile, le président Mellal positive en déclarant que la JSK a les moyens pour rebondir. «Je n’aime pas perdre, mais on doit accepter la défaite. Ce n’est pas la fin du monde comme on a gagné face à l’ESS et le MCA en déplacement, on a perdu devant le CSC. On ira à Bordj Bou-Arréridj avec la ferme détermination de se racheter. La JSK est sur la bonne voie et on ne rechignera pas sur l’effort pour concrétiser notre objectif et puis, cette défaite est peut-être un mal pour un bien, il y a de bonnes défaites, il y a de bonnes gifles, c’en est peut-être une comme ça face au CSC», a-t-il promis.
- B.
15 corners, 6 occasions nettes et 0 but
Un grand finisseur et vite !
Par Massinissa Hachour
Après la dernière victoire face au NAHD, la JSK a laissé des plumes avant-hier à l’occasion de son match de retard face au CSC en concédant sa première défaite à domicile. Et pourtant, l’équipe kabyle avait produit un bon jeu en tenant tête aux Constantinois. Mais le problème de l’attaque persiste encore au sein des Canaris. En effet, les camarades de Massinissa Tafni ont fait preuve de maturité et d’une organisation parfaite sur le terrain en pressant leur adversaire de bout en bout mais sans parvenir à trouver le chemin des filets. Les poulains de Franck Dumas ont créé des occasions incalculables devant les buts, mais il manquait cette dernière touche. Pas moins de 15 corners et 6 occasions nettes de scorer recensés, mais aucun joueur en a profité pour secouer les filets. Le centre-avant Nwofor Uche qui a été reconduit en pointe n’a pas fait le poids sur une défense statique qui a commis beaucoup d’erreurs. Bien servi en énièmes reprises par Hamroun, Chetti et même Tafni qui lui ont offerts des caviars, mais Uche n’était que l’ombre de lui-même. Le Nigérian s’est illustré avec les ratages et il a privé son équipe de pas moins de trois buts. En l’absence de Fiston qui se trouve toujours chez lui au Burundi, le staff technique n’avait pas le choix que de faire appel au jeune Belkacemi à quelques minutes de la fin. L’incorporation de ce dernier n’a rien apporté à la formation kabyle qui a pris une gifle.
Hamroun ne peut rien faire seul
Auteur du but victorieux, la semaine passée face au NAHD, l’attaquant franco-algérien, Rezki Hamroune était l’un des meilleurs joueurs de la JSK face au CSC. Même s’il n’a pas récidivé, mais il a posé des grands problèmes aux défenseurs constantinois. Auteur d’un bon travail sur le côté droit, notamment en première mi-temps Hamroune ne pouvait rien faire tout seul. Aucun autre joueur n’a pu assurer la tâche de marquer. Il faut dire que la JSK manque affreusement d’un attaquant de pointe qui peut débloquer la situation. Hamroune n’est pas un avant-centre de métier et il ne peut assurer ce poste. Ainsi, la JSK est dans l’obligation d’engager un ou deux joueurs pour ce poste en prévision de la phase retour du championnat national.
Faut-il revoir la stratégie de recrutement ?
Le recrutement d’un ou deux attaquants de pointe est une urgence pour les Kabyles afin que l’équipe puisse aspirer jouer les premiers rôles. Lors de la réunion de la direction et le staff technique, il a été décidé de faire confiance et garder le même groupe et en cas de recrutement ça sera avec des jeunes. Après la défaite de lundi soir, la direction de Cherif Mellal ainsi que l’entraîneur Franck Dumas pourront revoir leur stratégie de recrutement. Vu les prestations de quelques éléments, notamment dans le comportement offensif, cela pourra faire changer d’avis au technicien français. Dans ce sens, la direction du club doit s’activer pour trouver les profils adéquats et engager au minimum un attaquant de pointe confirmé et expérimenté et un autre jeune.
- H.
Il n’a plus envie de jouer à la JSK
Boukhanchouche servira comme monnaie d’échange
Le milieu du terrain offensif des Canaris n’a plus la tête à la JSK. Quelques semaines après avoir été sanctionné financièrement et sportivement pour un écart disciplinaire, la direction kabyle a autorisé son joueur à reprendre les entraînements avec les séniors. Titularisé face au NAHD, le joueur s’est vu relégué sur le banc mardi passé face au CSC. L’entraîneur Franck Dumas a décidé de l’incorporer en seconde période, mais il sera surpris par le rendement de Boukhanchouche qui marchait sur le terrain. A la fin du match, le coach Dumas n’a pas hésité un instant pour massacrer et tirer sur son élément. «Je regrette le choix de Boukhanchouche. J’ai d’ailleurs failli le faire ressortir. Il voulait aller partout sauf sur le terrain», dira Franck Dumas. L’altitude de Boukhanchouche explique qu’il n’est pas en bons termes avec son club. En fait, le joueur ne veut plus continuer à la JSK. Il aurait des contacts avec d’autres clubs qui seraient enclins à l’enrôler la saison prochaine. Tout le monde sait que le joueur qui possède des qualités énormes n’a pas réussi à la JSK. Plusieurs clubs salivent pour l’enrôler cet hiver et le joueur semble déterminé à quitter son club actuel et tenter une autre expérience ailleurs. Cependant Boukhanchouche sait qu’il n’est pas maître de son destin puisqu’il est encore lié à la formation du Djurdjura jusqu’à 2020. La direction de son côté ne compte pas le libérer sans en tirer des dividendes et vendre son contrat. Le président Mellal ne veut pas polémiquer pour l’instant et préfère attendre le baisser de rideau de la phase aller du championnat pour se prononcer. Mais une chose est sûre, le boss kabyle, comme à son entraîneur, ne va pas accepter de garder un joueur qu’il ne se donne pas à fond. Les dirigeants ne comptent pas le laisser partir gratuitement, même s’il multiplie les écarts disciplinaires. Ce qui est certain, entre Dumas et Boukhanchouche, c’est la rupture. A l’approche du mercato hivernal, et vu que sa lettre de libération coûtera très cher aux prétendants (entre 2 et 3 milliards de centimes), la direction de la JSK pourra utiliser son joueur comme monnaie d’échange et faire venir un joueur de qualité capable d’apporter un plus au compartiment offensif.
- H.
Fiston risque de rater le CABBA
Comme nous l’avons déjà évoqué dans ces mêmes colonnes, l’attaquant de la JSK, Abdul Razak Fiston, se trouve toujours chez lui au Burundi, le joueur a été concerné par le match de la sélection de son pays pour le compte de la 5e journée des éliminatoires de la CAN-2019 où il a d’ailleurs brillé en inscrivant un quadruplé face au Soudan du Sud. Malgré la fin du stage de la sélection burundaise, le joueur se trouve toujours chez lui pour renouveler son visa pour l’Algérie. Il est attendu pour ce soir ou demain à Alger pour reprendre avec la JSK. Un retard qui devrait le priver de jouer le match de vendredi prochain, contre la CABBA, pour le compte de la 15e et dernière journée de la phase aller. Et selon nos sources, le joueur pourrait ne pas être retenu pour le déplacement à l’est du pays. Même s’il n’y a encore rien décidé dans ce registre, mais notre source nous a révélé que le joueur pourra être dispensé de ce déplacement, à cause de ce long voyage qu’il va effectuer. Le coach Franck Dumas s’il retiendra son joueur dans la liste des 18, il pourra l’utiliser comme joker et l’incorporer en cours de jeu.
- H.
Les supporters soutiennent Salhi
En plus de l’entraîneur Franck Dumas qui a tenu à défendre le portier numéro 1 de la JSK, Abdelkader Salhi, en déclarant lors de la conférence de presse animée après le match qu’il n’avait pas entendu le coup de sifflet de l’arbitre pour le coup franc encaissé par son gardien à la 22e minute de jeu, de nombreux supporters kabyles ont pris attache avec Salhi pour lui manifester leur soutien tout en l'encourageant à persévérer dans le travail, en prévision des prochaines sorties. Le joueur du CSC a botté le coup franc sans autorisation de l’arbitre Boukhalfa, et le portier des Canaris n’était pas prêt et il était en train de placer son mur. Ces encouragements vont certainement le réconforter, ce qui lui permettra de préparer sereinement le match de ce vendredi face au CABBA. Les fans n’ont pas oublié le mérite de leur gardien qu’il les a sauvés à maintes reprises avec ses arrêts décisifs. Personne ne peut nier le grand apport de Salhi qui contribue au grand retour de la JSK.
- H.
La reprise, hier à 16h
Le lendemain de la défaite concédée face au CSC, les joueurs kabyles ont repris le chemin des entraînements pour préparer le prochain rendez-vous en déplacement. C’est hier à 16h que les camarades de Renai ont effectué la séance de reprise, avec le moral dans les chaussettes. Le staff technique a programmé des exercices de décrassage pour les titulaires, tandis que les remplaçants ont été soumis à un travail physique.
- H.
Mise au vert de 48 heures
Après l’amère défaite concédée, mardi face au CSC, les dirigeants de la JSK ont décidé de programmer une mise au vert de 48 heures pour bien préparer le rendez-vous face au CABBA et éloigner les joueurs de la pression. Benkhelifa et ses camarades quitteront la ville de Tizi-Ouzou cet après-midi, soit après la séance d’entraînement prévue dans la matinée au stade du 1er-Novembre. Il faut savoir que ce n’est pas la première fois depuis le début de saison que les joueurs de la JSK bénéficient d'une mise au vert de deux jours puisqu’ils en ont déjà bénéficié avant le match face au MCO.
- H.
Saâdou et Tizi-Bouali suspendus
Quel axe central face au CABBA ?
L’entraîneur Franck Dumas devra puiser dans son effectif pour composer sa charniere centrale lors de la rencontre de ce vendredi face au CABBA. Et pour cause, en plus de Tizi-Bouali qui a écopé d’une sanction de 3 matches dont 1 en sursis après son agression contre Brahimi à la fin de la rencontre face au NAHD, l’entraîneur français perd aussi son capitaine Saâdou pour contestation de décision. C’est un coup très dur pour l’équipe de la JSK qui jouera avec une charnière centrale inédite face au CABBA. Déjà l’absence de Tizi-Bouali face au CSC s’est répercutée négativement sur l’équipe qui a encaissé 2 buts à la suite d’erreurs de la défense. Et l’absence de Saâdou qui n’a été laissé qu’une seule fois sur le banc depuis l’entame de la saison n’arrangera pas les affaires de l’entraîneur qui mise sur le rendez-vous de ce vendredi pour terminer la phase aller avec une bonne note.
Souyed
Auteur d’une prestation acceptable lors de la rencontre face au CSC, Souyed est certain d’être reconduit dans le onze de départ ce vendredi face au CABBA. Sa première apparition officielle sous le maillot des Jaune et Vert a été une totale réussite, mais il devra faire mieux face au CABBA pour stabiliser la défense. En raison de la suspension de Tizi-Bouali et Saâdou, il évoluera probablement aux côtés de Slama qui n’a pas été convaincant face à l’O Médéa et le NAHD. L’entraîneur Franck Dumas a d’autres solutions de rechange en comptant sur l’un des défenseurs centraux de l’équipe réserve, à savoir Mekidèche, Iratni ou Aït-Idir, mais il ne va certainement pas prendre le risque de titulariser un jeune dans un match aussi important comme celui contre le CABBA. Tout porte à croire qu’il accordera une énième chance à Slama qui, faut-il le rappeler, est un arrière gauche de métier. Pour espérer revenir avec les trois points de la rencontre, la défense devra tenir bon jusqu’au coup de sifflet final et que les attaquants marquent au moins un but.
- Boumali
Voilà pourquoi la suspension de Tizi-Bouali n’a pas été réduite
Les responsables kabyles ont introduit un recours pour que la sanction de leur défenseur Tizi-Bouali suspendu pour 3 matches dont 1 en sursis soit réduite, mais leur recours n’a pas porté ses fruits. D’après une source digne de foi, l’arbitre Saïdi a mentionné sur la feuille de match que Tizi-Bouali a donné un coup de poing à l’attaquant du NAHD Brahimi. C’est pour cela que la sanction du défenseur des Jaune et Vert a été maintenue à 2 matches ferme et 1 en sursis. Tizi-Bouali n’a jamais fauté depuis qu’il a été promu en équipe senior, mais il n’a pas pu se maîtriser à la fin de la rencontre face au NAHD.
- Boumali