Il est actuellement sans club, à 10 jours de la clôture du marché des transferts. Profitant de sa situation, Boulahbib, président du CSC, est rentré en contact avec lui, comme il la fait avec Mbolhi et Bouzid. Il lui a proposé un contrat de 2 ans et un salaire qui avoisinerait les 20000. Le joueur na pas jusque-là donné de réponse au CSC. Il a préféré attendre encore quelques jours pour se décider, ce que Boulahbib a accepté. «Noublie pas que la date limite en Algérie est le 23 et non le 31 comme en Europe», lui aurait-il dit. Hameur Bouazza est en train détudier quelques pistes sérieuses en Angleterre. Dans le cas où ça naboutirait, il signerait au CSC pour ne pas rester sans club et du coup rater la Coupe dAfrique des nations en janvier prochain.
Le CSC compte sur Raouraoua pour les dérogations
Ce quil faut savoir, cest que le club cher aux Sanafir a déjà consommé ses 25 licences. Néanmoins, Boulahbib pense pouvoir convaincre Raouraoua de lui délivrer une dérogation pour les trois joueurs internationaux qui lintéressent, à savoir Mbolhi, Bouzid et Bouazza. «Soussou» estime que, dans lintérêt de léquipe nationale, le président devrait intervenir et empêcher que ces trois joueurs restent sans club à 3 mois de la Coupe dAfrique. Bouzid et Mbolhi semblent perdus (le premier pourrait filer en Italie et le deuxième au Koweït). Par ailleurs, on a appris dune source sûre proche du club constantinois que cest Yazid Mansouri, capitaine du CSC, qui a été chargé des dossiers de ces trois joueurs.
A. B.
