D’ici la fin de saison, si les limogeages des entraineurs ne cesse pas, on risque de connaitre plus de coaches dans les équipes que le nombre de journées de championnat. Après le départ de pas moins de 10 entraineurs après seulement 7 journées, voilà que Casoni vient d’être remercié par la direction du MCO. Et pourtant, les résultats plaidaient en la faveur du coach oranais, mais malgré les bonnes performances, en dépit des soucis vécus par le club, Casoni a bel et bien été limogé et son poste d’entraineur. Résiliant son contrat à l’amiable, son départ ne fait pas l’unanimité et beaucoup s’interrogent sur les réelles raisons qui ont poussés Mehiaoui à décider de virer son coach. Aujourd’hui, pour un oui ou pour un non, on vire les entraineurs, ce qui a des conséquences sur les joueurs qui sont à chaque fois perturbé et doivent s’adapter à quelqu’un de nouveau. Et l’on se demande pourquoi le niveau n’évolue pas ! Avant Casoni, beaucoup d’autres entraineurs ont étés virés malgré leurs bons résultats. On pense à Bouzidi particulièrement qui voit la JSK perdre le mach qui suivait son départ. une équipe qui avait déjà renvoyé Zelfani et qui est actuellement coachée par Lavagne. L’USMA aussi à connu des départs d’entraineurs, puisque Cicolini n’a pas tardé à être mis à la porte pour être remplacé dans un premier temps par Benaraibia avant de voir Froger revenir. Dernièrement Dziri a pour sa part décidé de démissionner et d’assumer les mauvaises performances avec le CABBA, tandis que Leknaoui n’avait pas d’autres choix que de partir après n’avoir pu gagner aucun match avec le NAHD. Mohamed Bacha du NC Magra, Bouakaz de l’US Biskra et Aziz Abbes du WAT ont eux aussi connus le même sort et ont étés remplacés à la barre technique de leurs désormais ex clubs respectifs. On s’attend à ce que cette liste des entraineurs limogés s’allonge au fil des journées puisque c’est devenu le quotidien des clubs algériens