Affaiblis par la situation financière dans laquelle se trouve le club notamment après que les joueurs aient observé à deux reprises un mouvement de grève pour réclamer leurs salaires, les dirigeants notamment le président Mellal, qui n’a pas arrêté de dire « que la JSK n’est pas en crise et qu’il est presque à jour avec ses joueurs », ont été surpris par ce mouvement de grève. Pour expliquer cela, ils ont trouvé le coupable idéal : l’opposition.