Le Tribunal sportif international a rendu son verdict concernant l’affaire du joueur Hamza Boulemdaïs, qui a porté par le passé les couleurs du MOB, à la direction du club.
Le joueur qui a saisi cette instance internationale pour réclamer son argent a finalement eu gain de cause au grand dam de la grande famille sportive du MOB. Ayant déjà touché que la moitié de son contrat suite à sa libération, il a décidé de saisir le TAS pour qu’il soit payé au dernier centime, c'est-à-dire jusqu’à la fin de son contrat. Le Tribunal arbitral sportif international a accordé un délai de 30 jours à la direction pour régulariser le joueur. La direction du MOB est sommée de payer à ce dernier la somme faramineuse de 400 millions de centimes et ce dans les plus brefs délais. Un coup dur pour les responsables qui ne vont certainement pas se taire, ils essayeront de trouver une solution avec le concerné. Apparemment, c’est trop tard, surtout que Boulemdaïs a tenté à maintes reprises de régler cette affaire à l’amiable mais aucun dirigeant n’a voulu négocier avec lui. Ce qui l’a poussé à saisir le TAS pour arracher ses droits.
La direction va faire appel
La notification du TAS faisant état de ce verdict en faveur de Boulemdaïs est tombée tel un couperet. La rue grogne à Béjaïa. Les responsables sont montés au créneau pour dénoncer une tentative de détruire le club et la machination de l’ancien attaquant béjaoui. D’ailleurs d’après nos informations, la direction ne va pas se taire. Ainsi, La direction s’est rendue à Alger, hier, pour déposer un recours dans le but de défendre les droits de son club. Toutefois, le premier responsable du club reste confiant car ce dossier semble aller dans la bonne voie.
S.A.
