Équipe nationale

Le détail qui en dit long sur le départ de Bentaleb de Schalke 04

Au FC Schalke 04, l'avenir de six joueurs prêtés n'a pas encore été officiellement clarifié. Parmi eux l’international algérien, Nabil Bentaleb.
Le fennec a été prêté la saison passée à Newcastle, club de Premier League avec lequel il a fait un bon parcours. D’ailleurs, même avant la fin de la saison, que ce soit staff technique ou dirigeants, n’ont pas caché leur intention de garder le milieu de terrain algérien.
Le Boss de Newcastel avait même déclaré à la presse qu’il attendait que les dirigeants de FC Schalke 04 se positionnent vis-à-vis leur joueur afin d’entamer les négociations.
Mais, depuis les choses n’ont pas évolués pour le joueur, jusqu’à ce début de semaine ou un détail au club FC Schalke 04 suggère que Nabil Bentaleb pourrait déjà appartenir au passé.
Pour en venir à cette hypothèse, un coup d'œil à la boutique de fans en ligne du Schalke 04 est suffisant. Si vous souhaitez y commander l'un des nouveaux maillots du club, vous pouvez le faire floquer avec le nom de votre joueur préféré.
Outre la légende du club, Gerald Asamoah, la liste comprend tous les joueurs qui ont un contrat avec le club pour la saison à venir à l'exception de Nabil Bentaleb. Même si l'on sait déjà que le club de Bentaleb aimerait le vendre, ce détail pourrait être une première référence publique.

Kh. S.

Examens physiques et visite médicale pour Bensebaïni

Le défenseur international algérien, Ramy Bensbaïni, a repris, ce matin, le travail en prévision de la prochaine saison. A l’instar de ses coéquipiers, le champion d’Afrique s’est livré aux examens physiques et à la visite médicale de pré-saison. Ainsi, le Borussia Mönchengladbach a respecté son programme en annonçant, il y a déjà quelques jours que la reprise était fixé pour le 3 août 2020. L’équipe devra effectuer une préparation à la hauteur de ses ambitions pour la prochaine saison avec une participation à la Champion’s League européenne qui fait rêver le club ainsi que ses joueurs, à l’instar de Bensebaini.

Kh. S.

Fares et SPAL s’écroulent face à la Fiorentina

Le SPAL a terminé sa saison en Serie A par une défaite concédée face à la Fiorentina (1-3). Il faut dire que le résultat de cette rencontre n’aurait rien changé au destin du club du défenseur international algérien, Mohamed Farés, qui se savait relégué. Farès a été titularisé lors de ce match et il a joué 80 minutes de cette partie. Il a alterné le bon et le moins bon. Ainsi, à la 16’ il décoche un tir à la limite des 18 mètres qui trouve le cadre. Toutefois, il sera averti à la 45’. Le défenseur des Verts a voulu faire bonne impression devant les dirigeants de la Viola qui devaient profiter de leur déplacement pour négocier avec leurs homologues du SPAL le transfert de Farès.
A noter que l’autre international algérien, Rachid Ghezzal, sociétaire de la Fiorentina n’a pas pris part à cette confrontation pour cause de suspension.

Son match en chiffres :

6 duels, 2 gagnés
1 faute subie
66 ballons, 18 perdus
1 tir, 1 cadré
45 passes, 77.78% réussies
4 centres, 1 réussi
1 tacle, 1 réussi
2 interceptions
1 faute

K. A. S.

Benyettou buteur face à Al-Khor (Vidéo)

L’attaquant algérien, Mohamed Benyettou, a ouvert le score à la faveur de son équipe d’Al-Wakraha l’occasion de la rencontre de la 19e journée de la Qatar Stars League l’ayant opposé à Al-Khor et cela d’un retournée acrobatique remarquable. Sauf que ce but n’aura pas suffi pour l’emporter vu qu’Al-Khor a réussi à égaliser à la 67’. A noter que Benyettou a été remplacé à la 44’ de jeu et cela suite à une blessure contractée au cours du jeu.
A l’issue de ce match, Al-Wakrah se positionne à la 7e place du tableau avec un total de 21 points.

Vidéo du but de Benyettou : https://twitter.com/i/status/1289922153249304578 

K. A. S.

Le Betis exige 12M€ pour lâcher Mandi à Liverpool

Selon le journal anglais Sunday Mirror, dans son édition d’aujourd’hui, le Real Betis a demandé à Liverpool de revoir son offre à la hausse s’ils veulent s’attacher les services du défenseur axial Aissa Mandi.
En effet, les Reds avaient proposé 9 millions de livres sterling l’équivalent de 10 M€ à leurs homologues Beticos. Ces derniers espèrent obtenir 1,8 million de livres sterling supplémentaire, soit 2 M€ de plus pour transférer l’international algérien à Liverpool.
Pour 12 M€, Mandi devrait porter les couleurs de Liverpool la saison prochaine, surtout que cette somme semble raisonnable pour recruter un joueur expérimenté et compétitif comme le défenseur axial des Verts.

Kh. S.

Benrahma se confie à France Football (Interview intégrale)

L’international algérien, Saïd Benrahma, et avant de disputer la finale des play-offs d'accession à la Premier League face à Fulham (mardi), s’est livré sur les ressorts de son jeu et de sa réussite actuelle. Via Zoom, depuis son appartement londonien au magazine France Football. On vous livre l’interview intégrale telle que publiée par le média français.

"Comment s'y prend-on pour ne jamais avoir les pieds qui tremblent ?
Je ne sais pas (il réfléchit)... Je pense que c'est ce qui fait le joueur que je suis, en fait ! J'aime bien le ballon et si je ne le touche pas régulièrement je ne vais pas être moi-même.

On a attaqué par cette question car on a l'impression que le ballon ne vous brûle jamais les pieds, que vous cherchez constamment à prendre vos responsabilités, peu importe les circonstances...
Mais si je ne fais pas ça, que je commence à avoir les pieds qui tremblent, ce ne sera pas moi ! Moi ce que je veux c'est prendre du plaisir, jouer mon jeu. Or, si je ne touche pas le ballon, si je ne prends pas de plaisir, ce n'est plus Saïd. J'ai ce truc-là, l'envie de prendre du plaisir et donc de toucher un maximum de ballons un peu partout.

Vous avez cela en vous depuis tout petit ou cela a nécessité une approche psychologique spécifique ?
Disons qu'il faut accepter le fait que ça ne marche pas toujours. Rater, ça peut arriver. Mais personnellement j'essaie toujours de continuer. Encore une fois, c'est ce qui fait le joueur que je suis. Est-ce que j'ai dû me blinder mentalement ? Pas forcément, en fait. Je suis comme ça. J'ai toujours cherché à être heureux sur le terrain, tout simplement.

Chercher à être heureux sur un terrain de foot, avec les copains, c'est une chose. S'épanouir au point de ne pas flancher dans des moments cruciaux de la saison comme ce sprint final ou les play-offs, c'en est une autre...
Tout dépend de la confiance qu'on vous donne, en fait. Ici, j'ai pris confiance en moi. J'avais déjà confiance en moi en France, mais je tentais moins. Là c'est différent. Ça l'est parce que j'ai un club et un coach qui m'ont montré qu'ils croyaient en moi. Je pense que c'est ce qui me permet de jouer aussi librement et d'être moi-même. Tout ça mis bout à bout à bout m'a permis de franchir les paliers.

Et lors d'un sprint pareil, après une telle saison, n'a-t-on pas peur que les gens retiennent plus un éventuel échec final que les prouesses accomplies toute l'année ?
J'essaie de ne pas penser à tout ça, même lorsque les rencontres deviennent cruciales comme c'était le cas ces dernières semaines. L'idée c'est de rentrer sur le terrain pour y prendre du plaisir. Toujours. Je ne suis pas du genre à me mettre la pression ou à calculer. Il ne faut pas.

C'est aussi facile à gérer que cela ?
Prenez les trois défaites de suite au pire des moments (NDLR : Brentford a perdu ses deux dernières rencontres de Championnat alors que l'équipe avait son destin entre les mains puis le match aller des play-offs). En réalité, je me doutais bien que l'on aurait un coup de moins bien tôt ou tard. Il n'est juste pas arrivé au moment où je l'attendais (rires). Mais à ce moment-là, on fait quoi ? On se remet encore plus de pression pour les play-offs ? Non ! On essaie de repartir de l'avant, de ne pas gamberger et de faire le job. Tout simplement. C'est juste une saison fantastique dont il faut profiter. J'espère que ça se finira avec la montée.

C'est le coach Thomas Frank qui vous transmet une telle sérénité ?
En fait, lui-même est très serein ! Il est dans l'échange, aussi. Me concernant, je parle beaucoup (il insiste) avec lui. Il vous transmet cette confiance, à 100%. A partir de là vous êtes heureux de jouer, de jouer pour lui. A côté de ça, il sait rester calme. Même quand il vous pousse à fond à l'entraînement, il parvient à rester posé. Je pense que son caractère et son attitude rejaillissent sur nous.

«J'ai désormais du plaisir à défendre. Je suis content d'être devenu un joueur comme ça.»

Et concernant le terrain alors, quelles sont les consignes qu'il vous transmet ? Avec lui, les joueurs offensifs comme vous jouissent d'une très grande liberté...
C'est simple : le coach me laisse une liberté totale ! Sur la feuille de match je suis à gauche du 4-3-3 mais il me laisse jouer comme je sais jouer. Après, c'est à moi de trouver les petits trucs qui feront la différence. Parfois je colle un peu la ligne, parfois je me positionne entre les lignes à la manière d'un numéro 10, etc... Il faut défendre, aussi, bien sûr. En gros, j'essaie juste de lui rendre ce qu'il me donne.

Comment les partenaires ont-ils accepté cette liberté ? La contrepartie c'est de s'arracher comme vous le faites à la perte ? De faire des stats ?
Dorénavant, j'ai même du plaisir à défendre ! Et à partir du moment où un joueur offensif prend du plaisir à tacler, à gratter un ballon ou à couper une ligne de passe, le coach a gagné. Je suis content d'être devenu un joueur comme ça.

Il paraît qu'il n'y a même plus besoin d'être sur votre dos...
Même plus, non. Franchement pour un offensif, au départ, c'est dur de défendre (il souffle). Mais maintenant je le fais spontanément. Je n'ai jamais aimé que l'on me répète 'Défend, défend, défend !'. Là où le coach est fort, c'est qu'il a rendu ça naturel chez moi. Il n'a pas besoin de me dire ce genre de choses. Je fais désormais les choses par moi-même, à 100%, et ça, ça vient de lui.

On a l'impression que Brentford, c'est ça : un juste milieu entre quelque chose de très programmé, préparé, et la liberté dont les joueurs bénéficient pour s'emparer du projet.
On a un projet de jeu assez clair. Les sorties de ballon sont par exemple très travaillées, au même titre que les coups de pied arrêtés. Mais comme vous le dites, notre instinct peut parler. Dans les trente derniers mètres, sur phase arrêtée, c'est la même chose. Vous recevez des consignes précises à l'entraînement, on vous oriente vers certaines choses, mais on vous demande de prendre des initiatives, d'interpréter les situations. Tu dois tenter des choses, c'est même pour ça qu'ils t'ont recruté !

Et c'est la philosophie idéale pour un profil comme le vôtre...
C'est mieux, en tout cas. Quand tout est intégralement programmé et que tu n'apportes pas ton petit grain de sel, ça n'a pas la même saveur. Ici, les choses instinctives et la créativité ont toute leur place. Et c'est ce qui fait notre force ! On se sent tous plus investis.

On vous sent reconnaissant à l'égard du club et de sa méthode, presque redevable...
Disons que c'est le club qui m'a fait confiance. C'est (il cherche ses mots)... Ce sont les seuls qui ont cru en moi, on ne va pas se mentir. C'est LE club qui a su comment se comporter avec moi ! Je ne les remercierai jamais assez pour ça. Tout ça, c'est grâce à eux et au coach. Je ne pouvais pas rêver de tomber dans un meilleur endroit, en fait.

Avez-vous également le sentiment d'avoir grandi en tant qu'homme ? Allan Saint-Maximin nous confiait récemment qu'il n'y avait pas en Angleterre ce côté infantilisant que l'on retrouve parfois en France...
Exactement ! Ici, en Angleterre, les responsabilités viennent naturellement. C'est à toi de les prendre et personne ne trouvera rien à y redire. Tout est plus naturel. Et c'est comme ça que tu acquiers de la confiance et que tu deviens, à ta manière, un leader. Je ne sais pas vraiment comment l'expliquer mais tu te sens vite responsabilisé et tu mûris plus vite. Tu as envie de te montrer à la hauteur, de ne pas te comporter comme un enfant.

«Le fait de marquer 17 buts en Championnat ce n'est pas rien. Je suis peut-être un buteur, au final (rires) ?»

Vous sentiez que vous aviez une telle saison dans les jambes ou vous vous surprenez un peu, malgré tout ?
Je le savais mais... il fallait que les choses s'alignent. Donc quelque part oui, ça me surprend un peu (il réfléchit...). En tout cas, ça me fait plaisir. Je suis content d'atteindre mes objectifs. Le fait de marquer 17 buts en Championnat (auxquels s'ajoutent 9 passes décisives), ce n'est pas rien. Je suis peut-être un buteur, au final (rires) ? Bon, j'aurais pu en mettre plus. Mais c'est bien déjà, je suis heureux, ça va.

Peu de gens s'attendaient en tous les cas à ce que vous réussissiez dans un Championnat aussi exigeant...
Quand j'ai signé en Ligue 2 c'était pareil... Et tout s'est bien passé à Châteauroux et au Gazélec, je trouve. Je crois que j'aime bien ces challenges, finalement (il sourit). Après voilà, c'est le football, personne ne pouvait savoir. Les choses auraient aussi pu tourner différemment.

Combien de kilos avez-vous dû prendre pour vous hisser au niveau physiquement ? On sait que certains de vos premiers entraînements ont été très (très) délicats...
Je me souviendrai toujours de l'un des premiers entraînements. On faisait du 2 contre 2 et c'était très intense. Si vous aviez vu la tête de Julian Jeanvier à la fin de la séance (il éclate de rire). J'étais là depuis quelques jours donc j'avais commencé à assimiler le truc. Idem pour Neal (Maupay) qui était là depuis un moment. Mais la tête de Julian qui venait d'arriver, ses yeux (rires)... Je lui en parle encore ! On était en train de comprendre là où on venait de mettre les pieds. Mais à force, vous vous habituez.

«Quand je suis retourné sur le terrain au moment du restart, j'avais des stats de numéro 6 qui s'affichaient sur le GPS !»

Grâce à beaucoup de travail en salle ?
Du bas du corps, oui. En gros, je suis devenu plus fit. Mais je ne travaille pas beaucoup le haut, simplement chez moi, tranquillement. Par contre, je bosse sur mes jambes deux à trois fois par semaine, au club.

Et c'est quelque chose que vous avez poursuivi pendant le confinement...
Pire que ça ! J'ai énormément travaillé avec mon meilleur ami et quand je suis retourné sur le terrain, au moment du "restart", j'avais des stats de numéro 6 qui s'affichaient sur le GPS (rires). Le travail a payé.

Un peu plus de muscles, des stats de sentinelle, vous avez désormais tous les attributs pour faire l'intégralité de votre carrière en Angleterre. Qui l'eut cru...
C'est sûr qu'il n'y a pas grand monde qui devait miser là-dessus (rires). Mais oui, le football anglais est pour l'instant celui qui me plaît. Je m'y suis adapté et je crois que n'importe quel joueur aimerait évoluer ici. La proximité avec le public, l'intensité... C'est le football, en fait ! Le fait de jouer tous les trois jours c'est que du kiff, aussi. C'est magnifique, c'est motivant.

On croit en revanche savoir que vous vous passeriez bien de tout ce qu'il y a autour du jeu. Les rumeurs, les sollicitations de plus en plus nombreuses...
Disons que j'essaie de rester concentré. Ce qui me fait kiffer, c'est le football. J'essaie de faire abstraction du reste.

Vous n'êtes pas sans savoir que le regard des gens à votre égard a évolué...
J'ai probablement pris une autre dimension dans l'esprit des gens, oui. Quand je me balade, il y a régulièrement des gens qui me demandent de signer pour leur club (rires), par exemple, mais j'essaie de ne pas y accorder trop d'attention.

Il n'y a pas que les fans qui vous apprécient. FF a révélé en début d'année que d'anciennes légendes d'Arsenal ont soufflé votre nom au board des Gunners il y a un moment déjà...
C'est toujours flatteur. Mais je suis à Brentford et j'ai un objectif, une mission. Ce ne serait pas bon de penser à autre chose, ni respectueux vis-à-vis d'une équipe dans laquelle il n'y a que des bons mecs. J'espère qu'on va y arriver.

Une chose est sûre, vous ne rejouerez plus à Griffin Park... Ce stade si particulier et cette proximité avec le public vont vous manquer, non ?
Griffin Park, c'est une cage (il répète) ! Quand tu rentres sur cette pelouse, ça donne plus qu'envie. Tu rentres dans cette cage, tu te bagarres. Et puis l'emplacement, en plein milieu d'un quartier, était top aussi. Ça va donc beaucoup me manquer, oui. Mais le nouveau stade est bien, aussi. On l'a visité et franchement ça va, il est bien.

Et puis les fans resteront les mêmes. Racontez-nous le rôle qu'ils ont joué dans la victoire en demi-finale des play-offs...
Vous êtes au courant ?! C'est vrai qu'ils donnent beaucoup de force. Leur vidéo d'encouragements a tourné dans notre groupe WhatsApp et ça, ça vous donne un petit supplément, de la force. J'espère qu'on les rendra encore plus heureux mardi.

Vous n'allez rien changer ?
Rien. On va jouer notre football. On produira les mêmes choses ou peut-être mieux encore, qui sait ? Il faut bien se préparer, bien sûr, mais il faut aussi et surtout y aller en restant nous-mêmes."

In France Football par Thymoté Pinon

Boulaya : 2 buts en 2 matches successifs

Comme lors du précédant match face à Charleroi de Belgique, l'ailier international algérien Farid Boulaya, a été l’homme de la rencontre.
C’est grâce a lui que son équipe, le FC Metz, a gagné aujourd’hui face à l'équipe belge de Malines.

Liverpool propose 10M€ pour recruter Mandi

La chaine de radio espagnole, Cadena Cope, a rapporté que le champion en titre de la Premier League, Liverpool, a formulé une offre officielle à hauteur de 10 millions d’euros au Betis Séville afin de racheter le contrat du défenseur axial international algérien, Aissa Mandi.

Mahrez dans la Dream Team de la saison

Les joueurs qui se sont vraiment démarqués dans la Dream Team cette saison, ont brillé et ont fait le bonheur de leur club et de leurs supporters.
Certes, on trouve dans l’équipe de rêve de cette saison en Premier League les vainqueurs du titre, en l’occurrence Liverpool. Mais elle comporte, aussi, des éléments qui évoluent au sein de son dauphin, à savoir Man City. En plus de quelques noms surprenants.
En milieu de terrain, le capitaine des Verts, Riyad Mahrez, a décroché sa place bien méritée et haut la main. Lui qui figurait très souvent dans les équipes types de la semaine et du mois par la presse anglaise. Ainsi, Mahrez a arraché à plusieurs reprises sa place dans la Dream Team. Ce qui dénote de sa régularité et de son importance dans la formation de Pep Guardiola.
En plus de l’international algérien choisit dans la ligne médiane, on retrouve ses coéquipiers Raheem Sterling et Kevin De Bruyn mais aussi Gabriel Jesus en pointe de l’attaque. Ce qui fait quatre joueurs de Manchester City.

Kh. S.

Man City célèbre l’Aïd avec ses fans (vidéo)

Un fan de Manchester City et artiste des Emirats Arabes Unis a conçu une pièce unique de calligraphie arabe mettant en vedette Sergio Aguero, Kevin De Bruyne et Riyad Mahrez pour marquer l'Aïd Al Adha.
Une œuvre artistique partagée par Riyad Mahrez sur son compte Twitter.
Diaa Allam était ravi d'avoir été invité à produire le travail pour le club qu'il suit. «Pour être honnête, j'étais vraiment ravi qu'on me demande de travailler sur ce projet», a-t-il déclaré. «Ce fut un immense honneur de travailler sur le design de Manchester City.
Je suis très enthousiasmé par la perspective que d’autres fans de Manchester City à travers le monde puissent voir mon travail». Et d’ajouter : «C’est formidable de voir un énorme club international tel que City envoyer un message à la communauté musulmane pour l’Aid dans ce style, c’est fantastique».
En ce qui concerne les exploits de City sur le terrain, Allam attend avec impatience son prochain match de Ligue des champions contre le Real Madrid, où il détient une avance de 2-1 en match aller : «Je suis un grand fan de Manchester City et c’est formidable de voir le club remporter un énorme succès et remporter autant de trophées ces dernières années. J'espère juste que cette saison, nous pourrons enfin remporter la Ligue des champions, et si nous pouvons battre le Real Madrid, nous aurons une grande chance.»

Kh. S.

Vidéo : https://twitter.com/i/status/1288882051458797569