Les signes d’une phase aller catastrophique de la JSK sont incalculables : changement à la tête du club, crise financière sans précédent, recrutement anarchique donc raté, lieu du stage mal choisi, programme de préparation mal étudié, matches amicaux insuffisants, instabilité à tous les niveaux, manque de concentration et de sérénité dans le groupe suite à l’épisode Fabbro, absence d’un vrai leader au sein de l’assemblée des actionnaires… Tous ces éléments ont fait que le début de saison, voire toute la phase aller s’annonce dure et compliquée pour le club phare de la Kabylie. Il faut dire, avant de partir, Hannachi a laissé une vraie pagaille que les dirigeants actuels ont du mal à gérer. Ils sont tout simplement dans l’incapacité de le faire. Ils n’arrivent même pas à sauver les apparences.