En apprenant le limogeage de l'entraîneur Cherif Hadjar et l'arrivée presque simultanée de Mohamed Lacet au club du MC El-Bayadh, on se croirait presque dans un système de vases communicants qui me rappelle mes cours de physique. Et la roue continue de tourner, me direz-vous avec quasiment toujours les mêmes acteurs qui s'en vont et qui reviennent comme dans un circuit fermé.
Une configuration où les principaux concernés n'ont pas à se faire du mouron sur le risque d'être plongés dans la précarité du chômage, dès lors qu'ils ne tardent généralement pas à trouver un train en marche, voire lancé à toute vitesse pour une destination inconnue ou presque. Mais rassurez-vous, ce système est sous contrôle d'agents aux aguets et sacrément affûtés face à des dirigeants connectés sans wifi à la grande valse où tout le monde semble trouver son compte, sauf bien évidemment le football algérien. Car, il y a d'un côté certains entraineurs qui ne peuvent pas se plaindre du fait qu'ils adhèrent de plein gré à cette mascarade et de l'autre des clubs qui persistent à faire fonctionner ce circuit fermé de la valse.
Pour conclure, on dira : au suivant !
R. B.