La direction de l’USM El Harrach, sous la bonne conduite de son président Mohamed Laib, s’est débrouillée comme elle peut pour rétablir une situation qui semblait compliquée après le départ de plusieurs joueurs. Nombreux sont les ‘’cadors’’ qui ont préféré choisir la voie de départ allant monnayer leur talent sous d’autres cieux plus cléments.

Maâzouzi, Bouguèche, Mellal et bien d’autres éléments-clés ont quitté le club de Maison-Carrée pendant que l’équipe avait bien besoin d’eux pour jouer la saison prochaine la carte de l’accession. Devant une situation si difficile, la direction des Jaune et Noir de Lavigerie n’a pas tremblé. Elle a su préserver son sang-froid avant d’aller à la recherche d’oiseaux rares dans un marché estival particulièrement maigre sur le plan de l’offre. Toujours est-il que les dirigeants harrachis ont pu tirer leur épingle du jeu en recrutant 11 joueurs, et pas des moindres. La politique du recrutement initiée par Laib a su faire la complémentarité entre la jeunesse, l’expérience et le talent. Les joueurs engagés, rappelle-t-on, sont : Aoued, Abdat, Benamara (ex-MCO), Benabderahmane (ex-USMBA), El Amali (ex-NAHD), Rachdi (ex-CSC), Benbrahem (ex-ASMO), Rebouh (ex-RCR), Mouissi (ex-RCB), Hamidi (ex-OM) et Dahou (ex-GCM). Un recrutement opéré avec le consentement de l’entraîneur Laoudi. Les supporters du club, comme nous l’avons souligné dans une précédente édition, sont « satisfaits » de la qualité des éléments ramenés.

L’accession en point de mire

C’est pourquoi les Kawassir sont désormais tranquillisés quant à l’avenir de leur équipe favorite et de ses chances de jouer la carte de l’accession en Ligue 2 Mobilis. Ils ne veulent pas, en tout cas, s’éterniser dans l’antichambre de l’élite en appelant les joueurs, le staff technique et les dirigeants à œuvrer à faire revenir rapidement le club phare de Maison-Carrée parmi l’élite. Ils nourrissent le rêve de voir la bande à Laoufi en Ligue 1 Mobilis dès le mois de mai prochain. Les nouvelles recrues sont-elles en mesure de relever le défi ? Le résultat final en fin de saison nous renseignera davantage sur la justesse de l’opération estivale de recrutement.  

Naoufel A.

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L’équipe en stage à Ain Témouchent

Le staff technique impose le black-out

A quoi joue le staff technique de l’USM El Harrach ? Est-il pensable d’empêcher des gens de la presse de couvrir le stage qu’effectue actuellement l’équipe dans la ville balnéaire de l’Ouest du pays, Ain Témouchent ? Les joueurs et leur encadrement technique s’y préparent depuis mardi dernier pour un regroupement d’une bonne dizaine de jours. Selon les informations en notre possession, le staff technique songe à imposer le black-out total pendant ce stage estival. Pourtant, c’est bien connu, la présence des médias à un stage d’un club est plus que primordiale dans la mesure où les rapports de presse sont attendus par les supporters pour être informés sur la préparation et les résultats des matches amicaux. A El Harrach, on a bien oublié cela en tentant, par la même, de priver les valeureux Kawassir de leur droit absolu à l’information. Jamais, en tout cas, dans l’histoire de Maison-Carrée un stage de l’équipe n’a été refusé aux médias pour la couverture. Selon les dernières nouvelles, le staff technique de l’USMH, conduit par le coach Laoufi, songeait à revoir sa position pour permettre aux médias de couvrir le regroupement d’Ain Témouchent. 

1. A.

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Laoufi fera suer les joueurs

Le premier responsable technique de l’USMH compte soumettre ses joueurs à une charge de travail considérable. Cela s’est vérifié depuis mercredi dernier quand les coéquipiers de Mouissi ont été soumis à un biquotidien. Laoufi veut profiter du stage d’Ain Témouchent pour que remettre ses d’aplomb physiquement. La bonne forme physique est une condition sine qua non pour les équipes qui ambitionnent de jouer l’accession.

 On s’y plaît déjà

Ainsi, les coéquipiers du revenant Farès Benabderahmane se sentent bien du côté de la ville touristique d’Ain Témouchent. Outre les conditions climatiques favorables à un travail physique poussé, les Jaune et Noir se sentent également à l’aise et ce, à la faveur des bonnes conditions de travail.

1. A.