Après quelques semaines de pige chez le pensionnaire de seconde division anglaise, à avoir Watford, l’international algérien va devoir retourner dans son club employeur, Crystal Palace. Deux mois se sont écoulés et il ne sait toujours pas dans quelle équipe il va poursuivre sa saison sportive. En effet, après avoir laissé entendre qu’ils n’étaient pas chauds pour le garder pour le reste de la saison, les dirigeants de Watford ont très vite changé d’avis après avoir vu ce que peut apporter un Guedioura en confiance et en pleine forme. Il n’y a qu’à voir la prestation du joueur dimanche passé face à Reading lorsqu’il a réussi à marquer un doublé et a sorti une partie de tout premier ordre. Ainsi, l’ancien club de Belkalem serait désormais très intéressé pour étendre le prêt jusqu’à la fin de saison. Cependant, il faudra jouer serré, car Charlton est aussi sur les rangs pour recruter l’Algérien. Ainsi, le joueur ne sait toujours pas quoi faire surtout que le dernier mot dans tout ça revient directement à ses dirigeants.
Rester à Palace est envisageable
Par ailleurs, si les prétendants commencent à faire la queue en attendant de connaître la position du joueur et de son club employeur, rien ne dit que le joueur voudra de nouveau être transféré. Avec le dernier changement d’entraîneur effectué à Palace, l’Algérien pourrait bénéficier d’une chance de faire ses preuves, contrairement à ce qui se passait avec Neal Warnock. En effet, le nouveau coach n’a pas encore vu le joueur et quand on voit les difficultés de l’équipe qui dépend du seul Mc Arthur, Guedioura a une belle carte à jouer, d’autant plus que question qualités et dépenses d’énergie, le joueur en a une belle quantité en réserve. Ainsi, le joueur se retrouve dans une position assez confortable puisqu’il a le choix soit de rester dans son club employeur, soit d’aller s’offrir une place de titulaire garantie à Watford ou un nouveau challenge à Charlton. Pour rappel, Adlène Guedioura fait partie de la liste des réservistes en vue de la CAN 2015 qui e tiendra dans deux semaines en Guinée équatoriale.
I. Z.