La JSK dans tous ses états
A son retour de l’Eswatini, la formation de la JSK était contrainte à une mise en quarantaine d’une durée de 10 jours. Un décision à laquelle veut bien se plier volontiers l’équipe, mais qui ne s’attendait pas à être enfermée à l’hôtel Sable d’Or sans avoir le droit de quitter l’étage dans lequel la délégation a été placée. Souhaitant s’entraîner, les Jaune et Vert, ne peuvent en effet pas rester pendant tout ce temps sans entraînement. Une situation qui a obligé la direction à sollicité les différentes autorités compétentes en plus de la LFP, la FAF et le MJS. Frappant a toutes les portes, c’est un niet catégorique qu’a reçu le club qui n’a pas d’autres choix que de rester jusqu’à la fin dans leur hôtel sans même avoir le droit de se dégourdir les jambes dans les alentours. Afin de permettre aux joueurs de maintenir leur forme, la direction n’est pas contre l’idée de ce confinement, mais demande à pouvoir travailler pendant cette période pour garder des joueurs dans une bonne forme. Avec 6 matches à jouer en ce mois de décembre, c’est toute la préparation qui tombera à l’eau si l’équipe ne trouve pas le moyen de se préparer pour ses prochains matches.
La direction propose le CTN de Sidi Moussa, les autorités refusent
Demandant à être confinés à Sidi Moussa, qui est actuellement libre, les responsables de la JSK ont pensés qu’en étant enfermés au CTN ils pourront au moins s’entraîner sur les terrains de ce centre. Mais là aussi, les autorités compétentes ont refusés. Proposant également Zéralda, c’est également avec un refus que cette proposition a été reçue. En dernier recours, l’équipe a demandé au moins de s’entraîner dans le jardin de l’établissement, ce qui a été aussi refusé. Devant une telle situation, les joueurs sont très affectés moralement et essaient de s’occuper comme ils peuvent et de maintenir la forme avec les moyens du bord. Par exemple, quelques joueurs faisaient des exercices dans le couloir de leur étage d’autres, avec des pompes et divers exercices qu’on peut faire en solo, mais cela ne suffit pas. N’ayant reçu aucune réponse, les responsables ont par la suite décidé de pondre un communiqué dans lequel ils expliquent la situation.