La nouvelle recrue des Canaris, Saïd Bouchouk, estime que la préparation se déroule dans de bonnes conditions. Pour l’ex-pensionnaire du CAB, son équipe doit cravacher pour assurer une bonne préparation de la seconde manche du championnat. Il promet que lui et ses camarades feront tout pour être à la hauteur et satisfaire ainsi les fans qui attendent beaucoup de leur équipe.

 

- Comment se déroule le stage que vous avez entamé depuis vendredi passé ?

- Dieu merci, le stage se déroule dans de bonnes conditions et le groupe travaille dans une grande sérénité. Toutes les conditions de travail sont réunies et, nous les joueurs, nous sommes en train de se donner à fond pour assurer une bonne préparation. Ce genre de stage est très bénéfique et on doit en profiter pour effectuer du bon boulot et être prêts pour la seconde manche du championnat. On fera tout pour que ce stage soit une totale réussite, ce qui permettra à l’équipe d’être prête pour la suite de la compétition qui sera sans nul doute très difficile.

- Etes-vous satisfait du lieu du stage ?

- On a choisi ce lieu pour effectuer le stage, car les dirigeants savent que tous les moyens de travail sont disponibles. Honnêtement, tout se passe bien pour nous et on ne manque de rien. On travaillera davantage pour enregistrer un parcours honorable lors de la seconde manche du championnat. On doit seulement se concentrer sur notre travail et effectuer ainsi du bon boulot. 

- En tant que nouveau joueur dans le groupe, n’avez-vous pas trouvé des difficultés d’adaptation ?

- De ce côté, il n’y a pas de souci. Les autres joueurs m’ont facilité la tâche comme si j’étais là depuis longtemps. Je travaille d’arrache-pied et je ferai de mon mieux pour assurer la meilleure préparation possible avec mes équipiers. Je sais qu’on attend beaucoup de moi et  je ferai tout pour être à la hauteur de cette confiance en apportant un plus à l’équipe. Je suis animé d’une grande volonté pour atteindre mon meilleur niveau et aider ainsi l’équipe à revenir en force lors de la seconde manche du championnat. Incha Allah, c’est toute l’équipe qui sera à la hauteur pour réaliser un bon parcours.

- Et comment voyez-vous les chances de votre équipe pour la seconde manche du championnat ?

- La seconde manche sera très difficile pour toutes les équipes. Pour cette raison, on doit bien travailler pour réaliser un bon parcours. Nous sommes conscients de ce qui nous attend et on fera l’impossible pour réaliser le meilleur parcours possible. Ce ne sera pas facile, mais on possède un bon groupe, et avec du boulot, on fera tout pour réaliser de bons résultats dès les premières rencontres de cette seconde manche, ce qui nous permettra de continuer la suite de la compétition dans de bonnes conditions.

- Les supporters ne seront contents que par un bon parcours…

- C’est leur droit absolu de réclamer des résultats, ils sont habitués à voir leur équipe jouer les premiers rôles. J’espère qu’ils la soutiendront dans toutes ses rencontres, leur soutien nous sera d’un grand apport. En tant que joueurs, on ne lésinera pas sur l’effort pour réaliser un bon parcours et leur procurer de la joie à la fin de la saison.

K. A.

 

Bouaïcha : «Je me sens mieux»

Comme rapporté dans ces colonnes, le milieu offensif Djamel Bouaïcha souffre du mal de dos. Cependant, le joueur ressent une nette amélioration et il a couru même hier lors de la séance d’entraînement effectuée par ses camarades. Le kiné du club, Guillou, lui a tracé un programme pour lui permettre de retrouver sa forme. Même si Bouaïcha n’est pas totalement rétabli, il se sentait beaucoup mieux hier. Voulant à tout prix ne pas rater sa préparation de la seconde manche, le joueur est en train de faire le nécessaire pour se débarrasser complètement de ces douleurs.

 

«Je ne veux pas rater la préparation»

Joint hier matin par nos soins, le milieu kabyle nous a affirmé qu’il va beaucoup mieux. Il promet de tout faire pour ne pas rater la préparation afin de revenir en force lors de la seconde manche du championnat. «Je me sens beaucoup mieux. D’ailleurs, j’ai couru la matinée et j’ai rencontré le kiné qui m’avait donné un programme que je suis en train de suivre à la lettre. Je ferai de mon mieux pour retrouver ma forme, car je ne veux pas rater cette phase de préparation. Je ferai tout pour réussir, car je suis animé d’une grande volonté pour réaliser une bonne seconde manche du championnat», nous a déclaré l’ex-pensionnaire du PAC

K. A.

Il a récupéré sa lettre de libération hier :

Boulaïncer signera aujourd’hui

Hier matin, le jeune joueur du CAB, Rafik Boulaïncer, a rencontré son président à Batna. A l’issue de cette entrevue, le joueur a récupéré sa lettre de libération. Comme tout le monde

le sait, l’enfant de Béjaïa était en contact très avancé avec les responsables jaune et vert. Ces derniers n’attendaient que la lettre de libération du joueur pour officialiser ce transfert, car les deux parties ont réglé tous les détails de la venue de l’ancien joueur de la JSMB à Tizi Ouzou. D’ailleurs, après avoir récupéré sa lettre de libération, Boulaïncer a appelé directement les dirigeants de la formation du Djurdjura pour les mettre au courant. Ces derniers, de leur côté ont donné rendez-vous au joueur pour aujourd’hui, à Boumerdès, afin de signer son contrat. Le désormais ex- attaquant du CAB, qui était à Batna hier après-midi, devait rentrer chez lui hier soir à Béjaïa avant de prendre la route pour Boumerdès ce matin. Enfin, Boulaïncer sera la quatrième recrue de la JSK en cette période des transferts après Bouchouk, Maïza et l’Ivoirien Moisés.

                     A. H.

Boulaïncer : «Je réaliserai aujourd’hui un rêve d’enfance»

Le désormais ancien joueur du CAB, qu’on a joint hier après-midi par téléphone, nous confirme sa rencontre avec le président Nezar et la récupération aussi de sa lettre de libération. Dans cet entretien, le jeune attaquant, natif de Béjaïa, avoue qu’il signe aujourd’hui à la JSK, lui qui est aux anges, car, selon lui, il est sur le point de réaliser un rêve d’enfance.

- Vous avez rencontré le président Nezar hier matin…

- Effectivement, j’ai rencontré le président du CAB hier matin et au moment où je vous parle je suis à Batna. J’ai obtenu ma lettre de libération comme je dois récupérer encore quelques affaires personnelles avant de rentrer chez moi à Béjaïa.

- Votre venue à la JSK devient donc officielle…

- J’ai parlé aux responsables de la JSK au téléphone, juste après avoir récupéré ma lettre de libération. On s’est fixé rendez-vous pour aujourd’hui afin de signer le contrat qui me liera à la formation du Djurdjura. Je vais me déplacer aujourd’hui à Boumerdès pour officialiser mon transfert et débuter aussi mon aventure avec les Canaris.

- Après plusieurs mois d’attente, votre rêve est sur le point de se réaliser…

- Incha Allah mon rêve se réalisera aujourd’hui. Cela fait plus de deux ans que les responsables kabyles veulent m’intégrer dans leur effectif, comme je voulais aussi jouer à la JSK depuis mon enfance.

- Un mot pour les supporters kabyles qui attendent beaucoup de vous…

- Je n’ai pas beaucoup de choses à leur dire. Je suis très content, car je suis sur le point de réaliser un rêve. Pour les supporters de la JSK, je promets beaucoup de belles choses, même si, moi je préfère parler beaucoup plus sur les terrains.

                           A. H.

Les dirigeants ont fait machine arrière :

Hadiouche devait récupérer hier soir sa lettre de libération

Dans notre édition hier, on a rapporté que les dirigeants de la JSK ont exigé la somme de quatre millions de dinars pour donner sa lettre de libération à Hadiouche qui, pourtant, a été libéré vendredi dernier. Une décision qui a provoqué la colère du joueur mais aussi de quelques supporters qui ont usé de leur poids pour raisonner les responsables du club. D’ailleurs, suite à cette intervention de quelques supporters, les dirigeants kabyles ont changé leur position concernant la somme exigée au départ en contre- partie de la lettre de libération de Hadiouche. Samedi soir, le président de section de la JSK, Yazid Yarichene,  a appelé le joueur pour lui donner rendez-vous pour hier soir à Alger afin de régler cette affaire de lettre de libération. D’ailleurs, hier en début de soirée, le joueur, qui était accompagné de son manager, attendait le retour du président de section de la JSK à Alger qui était avec les joueurs à Boumerdès pour récupérer sa lettre de libération. Reste maintenant à savoir quel est le montant que Yarichene va exiger du joueur pour qu’il obtienne sa lettre de libération, puisque la première somme exigée, soit quatre millions de dinars, a été jugée excessive par plus d’un à la JSK.

                           M. A.

Il a rencontré Yazid Yarichène

 

Khelili dégoûté par sa situation

 

Par Karim A.

 

Le défenseur Sofiane Khelili ne sait plus quoi faire vu sa situation au sein du club phare de Kabylie. En effet, l’ex-pensionnaire du NAHD n’est pas content avec la venue de Maïza lors de ce mercato hivernal. Attendant d’avoir sa chance, il a été souvent marginalisé, ce qui ne lui a pas permis de montrer son talent. Depuis sa venue à la JSK, il a fait de rares apparitions en dépit de ses grands moyens. D’ailleurs, il était un pilier au sein de l’EN espoir avant de venir à la JSK ou il n’a pas eu sa chance. Pensant avoir sa chance lors de la seconde manche du championnat, la direction a décidé de ramener Maïza qui joue lui aussi dans l’axe de la défense. Une situation qui a poussé Khelili à demander des explications aux dirigeants en les informant qu’il veut jouer. «Je veux avoir ma chance et jouer. Si je suis à la JSK, c’est par conviction de défendre ses couleurs, toutefois, je veux avoir ma chance comme les autres. Maintenant, si on n’a pas besoin de moi, qu’on me donne mes papiers pour que je puisse jouer là où j’aurai ma chance», a-t-il lancé à Yazid Yarichène. Cependant, ce dernier a refusé  de lui remettre sa lettre de libération. «Si on a ramené  Maïza, c’est pour renforcer l’équipe. Tu  es le seul remplaçant dans l’axe et si on l’a ramené, c’est pour le renfort du groupe. Pas question qu’on te donne tes papiers, car le club pourra compter sur tes services.» Une situation qui at dégoûté Khelili qui misait énormément sur la seconde manche pour jouer, toutefois, il a été surpris par la réponse de ses dirigeants

Le CSC et le WAT le veulent, mais…

D’autre part, nous avons appris que deux clubs de Ligue une veulent bénéficier de ses services, à savoir le CSC et le WAT. Toutefois, sa situation administrative à la JSK a poussé ces deux clubs à faire machine arrière vu qu’il ne pourra aller nulle part sans sa lettre de libération.

 

Il se comporte en professionnel

Malgré les moments difficiles qu’il passe, Khelili préfère travailler dans le calme et sans faire le moindre bruit, tout en souhaitant voir le bout du tunnel et avoir sa chance pour montrer son talent, vu ses grandes qualités, d’après les spécialistes de la balle ronde.

                                                           K. A.

 

 

Sous contrat avec Notts Conty

Bencherif repart chez lui moins d’une heure après son arrivée à Boumerdès

Le séjour de Hamza Bencherif à Boumerdès n’a duré que quelques instants avant qu’il ne retourne chez lui. Il est arrivé hier à 9 heures et demie à l’aéroport Houari-Boumediène, puis il a été conduit à l’hôtel Leïla, où l’équipe est en regroupement depuis vendredi dernier. Il a eu une discussion avec les dirigeants avant de retourner d’où il est venu. La raison est qu’il est encore sous contrat avec le club anglais et pour ne pas se retrouver dans une situation délicate par la suite, ils lui ont demandé de ramener lui-même sa lettre de libération. Le président Hannachi comptait le faire signer sans lui faire passer le moindre test, mais vu que le joueur est encore lié à Notts Conty, il lui a conseillé de rentrer chez lui pour négocier avec ses dirigeants son départ. Les supporters qui se sont déplacés au stade de Boumerdès pour voir de visu les nouvelles recrues ont été surpris par l’absence du milieu Bencherif dont la presse a annoncé l’ arrivée pour la matinée de dimanche. Ils se sont renseignés auprès des dirigeants, lesquels leur ont fait savoir que Bencherif s’est déplacé de France juste pour les rencontrer. Cet argument n’a convaincu aucun d’entre eux. Même si les dirigeants ne désespèrent pas d’engager le milieu de Notts Conty, sa venue n’est pas certaine. Il n’a pas son destin en main et ses dirigeants ne le laisseront certainement pas partir sans la moindre indemnité. La direction de la JSK doit chercher un autre joueur. En une journée, elle s’est embourbée dans deux dossiers qui lui échappent totalement. Le premier est celui d’Elié Moisés, que le président Hannachi a décidé de renvoyer aujourd’hui. Le second est celui de Bencherif, qui a fait un saut de quelques instants à Boumerdès avant de retourner chez lui.

Mohamed A.       

On parle toujours de Rebih

Afin de sauver son recrutement hivernal, la direction compte frapper un grand coup avant la fermeture du marché des transferts. Roulés par Elié Moisés, les dirigeants sont décidés à mettre le paquet pour recruter un grand joueur afin de sauver la fin de saison. Ils songent en effet à relancer Rebih qui aurait décidé de quitter le CRB suite à un désaccord avec ses dirigeants. L’intérêt pour ce joueur ne date pas d’aujourd’hui puisque le président Hannachi a fait des mains et des pieds pour l’avoir à l’intersaison, mais en vain.

Karim A.

Match amical ce mercredi face à Boumerdès

Les Canaris disputeront leur premier match amical ce mercredi face à l’équipe de Boumerdès. Ce sera une occasion pour Sandjak de voir à l’œuvre les nouvelles recrues.

Amrouche a assuré la séance de l’après-midi

En l’absence de Nacer Sandjak qui a été retenu par une affaire personnelle, la séance de l’après-midi a été dirigée par l’entraîneur adjoint, Rezki Amrouche. A noter que Sandjak a assuré celle de la matinée.