C’est un entraîneur d’un des plus grands clubs du pays qui se retrouve en train de faire du «business» pour arrondir ses fins de mois. Sale temps pour les entraîneurs ?! Non, pas spécialement, nos coaches gagnent plutôt bien leur vie. Là, c’est le cas d’un entraîneur qui fait régulièrement la navette entre Alger et une des villes de l’Hexagone et qui, à chacun de ses voyages, ramène dans ses bagages, des téléphones dernier cri qu’il refile souvent à ses joueurs. Les prix ? Ce sont, à quelques centaines de dinars près, les mêmes que l’on retrouve chez les revendeurs agréés et pas moins cher qu’à Belfort, la Mecque de la téléphonie mobile chez nous.