La FAF et son président ont été surpris par la teneur de l’article publié par le journal Compétition concernant la déclaration ou l’écrit sur la situation du joueur Islam Slimani.

La FAF précise : la chambre des résolutions des litiges (CRL) est un mécanisme juridictionnel indépendant de la fédération. Cette chambre est composée de présidents de club élus par leurs pairs qui représentent le club et de représentant de joueur de manière paritaire. La chambre est présidée par deux imminents jurés spécialisés et indépendants. Les jugements qu’elle rend se font sur la base de dossier officiel fourni par les parties à tout conflit (joueurs ou clubs) et sont étudiés et jugés avec une totale impartialité. Aucun employé ou élu de la FAF et encore moins le président de celle-ci n’interfère dans les travaux de cette commission ou dans les décisions qu’elle prend souverainement. Toutes les décisions sont appelables auprès du TAS algérien exclusivement. Aucun club, du fait de l’existence du TAS, n’a le droit, selon les statuts, d’aller devant le TAS à l’étranger. Concernant la réaction de certains dirigeants qui menacent d’aller jusqu’au boycott de la compétition, la FAF et son président sont choqués par ses déclarations et invitent ces pseudos dirigeants à quitter définitivement le secteur du foot parce qu’ils ne sont pas dignes et n’ont pas les compétences pour diriger un club professionnel. Concernant l’affaire Slimani et le CRB, le joueur dispose du droit de défendre son dossier auprès du TAS et dont les décisions sont applicables obligatoirement par la FAF.