Sollicité par notre correspondant à Constantine pour une interview, le directeur sportif du CSC, Boulhabib, a laconiquement répondu : «Je ne peux rien vous dire, je suis en congé.» Mais deux jours plus tard, «soudain’coup» comme dirait l’autre, l’ami Soussou trouve beaucoup de choses à dire et n’est plus en congé. Il accorde alors
un entretien fleuve à un confrère. Cette politique de communication à deux vitesses ne fait pas honneur à son auteur et encore moins à ce club centenaire et à ses millions de supporters à travers le pays. Soussou devrait revoir sa politique de communication, cela va de soi.