En effet, le sélectionneur national a préféré faire l’impasse sur cette rencontre avec les organes de presse et aller fêter la qualification avec ses protégés.
Paul Put a refusé de s’exprimer
Par ailleurs, l’entraîneur des Etalons du Burkina Faso a refusé de prendre part à la conférence de presse et a préféré faire l’impasse sur le rendez-vous avec les journalistes. Le Belge était sûrement déçu du résultat final de la rencontre, lui qui était confiant pour voir son équipe arracher sa qualification à la phase finale de la Coupe du monde.
Raouraoua a pleuré à chaudes larmes
Lors de la rencontre d’hier, ce n’était pas bon de s’appeler Mohamed Raouraoua et avoir le titre de président de la Fédération Algérienne de Football. En effet, le boss du foot algérien a vécu la rencontre sous une terrible pression du début à la fin. L’action la plus marquante était celle de l’action de Medjani vers la fin du match. C’est ainsi qu’au coup de sifflet final de la rencontre, il s’est tenu la tête et s’est effondré en larmes car il ne pouvait retenir son émotion. Il a fallu l’intervention de proches pour le réconforter et le féliciter sous les Hamdoulilah de Hadj Raouraoua.
Bancé a voulu agresser l’arbitre
A la fin de la rencontre, l’attaquant du Burkina, Aristide Bancé, très mécontent du résultat du match, s’est directement dirigé vers l’arbitre sénégalais Badara Diatta avec la ferme intention de l’agresser. Dans son esprit, l’attaquant burkinabé a imputé la défaite à l’arbitre qui, selon lui, a favorisé l’Algérie. Heureusement, les agents de police sont intervenus pour stopper Bancé dans sa tentative, le tout sous le regard bienveillant des surveillants de la FIFA qui ont tout noté dans leur rapport. Ça sent la suspension pour l’Etalon.
A. B.