Nous avons appris que les arbitres algériens, tous grades confondus, ont l’intention de relancer l’Association nationale des arbitres, pour défendre leurs droits et surtout constituer une force unie et solidaire capable de réagir dans un cadre organisé afin de faire face aux critiques acerbes dont ils sont victimes de la part des responsables des clubs. Certains arbitres sont carrément accusés de corruption, ce qui les a beaucoup touchés, car ils estiment que ces accusations n’ont aucun fondement et que les présidents de club veulent justifier leurs échecs en endossant la responsabilité aux arbitres. La plupart de ces derniers pensent que la CFA ne les protège pas et que par conséquent la relance de l’Association nationale des arbitres est devenue une nécessité. Pour rappel, l’Association nationale des arbitres, présidée à l’époque par Bergui, a été mise en veilleuse en raison de querelles d’épiciers entre certains de ses membres. La tenue d’une AG élective de cette association est indispensable pour la relancer d’une manière légale.
K.H.