Ce stade a été construit récemment par l’Etat brésilien pour abriter les matches de la Coupe du monde. Le retard des travaux de sa réalisation a fait couler beaucoup d’encre et ça a failli obliger la haute instance du football mondiale à délocaliser les matches qui étaient prévus dans ce même stade. Mais la volonté des Brésiliens a fait que les travaux se terminent avant même le coup d’envoi de la Coupe du monde. Chose marquante lors de notre visite de cette enceinte sportive, c’est que l’odeur du béton se sentait toujours, notamment dans le couloir menant vers le centre des médias. Bien que ce stade soit déjà inauguré, n’empêche que les traces de ciment et du chantier qui est passé par là sont toujours présentes. Cependant, le gros du travail a été fini et le beau design des tribunes fera oublier à tout le monde les défauts qui viennent d’être évoqués. Les supporters algériens qui vont découvrir une merveille pas comme celle du stade de Belo Horizante seront peut- être agréablement surpris par la belle architecture de ce stade qui n’abritera toutefois pas les matches du pays organisateur.
Espagne – Australie le dernier match qu’avait abrité ce stade
Le dernier match qu’avait abrité le stade Arena Baixada était Espagne-Australie. Lors de notre visite à ce stade hier, on a constaté que les drapeaux de ces deux sélections n’ont pas encore été changés. D’après les responsable de ce stade, le comité d’organisation des matches de la Coupe du monde devrait débuter les préparatifs pour le compte du match des Verts aujourd’hui dans la matinée.
Il a une capacité de 39 000 spectateurs
Le stade Arena Baixada n’est pas grand. En effet, il ne peut accueillir que quelque 39 000 spectateurs. Cela jouera sans doute en faveur des supporters algérien qui leur permettra de s’exprime et donner de la voix dans ce petit stade. Motivés qu’ils sont, les fans des Verts feront certainement beaucoup de bruit dans les gradins de ce stade pour soutenir les coéquipiers du capitaine Bougherra afin de passer l’étape de la Russie avec succès et de rentrer dans l’Histoire.
M. Yanis