Le défenseur central de l’EN Rafik Halliche s’est présenté hier en conférence de presse pour répondre aux questions des journalistes.

Ainsi et après avoir refusé à ses joueurs de venir affronter les médias, mis à part peut-être à Cédric à la veille du match contre la Corée du Sud, Vahid a autorisé son défenseur tson défenseur titulaire à parler. D’emblée, il a donné des nouvelles du moral du groupe à quelques heures du match : «Ça fait moins de 24 heures du match, c’est sûr qu’on est vraiment à fond dedans, on a bien bossé, on est concentrés pour le match de demain, maintenant au terrain de trancher.»

«1982, c’était une autre époque»

Halliche ne pense pas que la comparaison avec l’équipe de 1982 est possible, ni pour nous ni pour les Allemands. Il s’agit pour lui de deux époques totalement différentes : «Pour moi, il s’agit d’un match crucial, je crois que 1982, c’était une époque, et maintenant, c’en est une autre, mais ça reste un match qui pourrait nous permettre de passer, on va faire en sorte qu’on soit au top et de faire un grand match.»

«On pense à notre match, point à la ligne»

Afin de mettre un terme aux questions relatives au match joué il y a 32 ans à Gijon, Halliche rappelle que l’actuel groupe n’a pas vécu ces moments. «Pour le match de Gijon, on ne l’a pas vécu, ce n’est pas important pour nous, on pense à notre match, point à la ligne», avant de faire de même pour le sujet de Ramadhan : «Le Ramadhan, on préfère ne pas en parler, posez la question aux responsables.»

«Muller et Klose, c’est kif-kif»

A la question de savoir sa préférence en pointe de l’attaque allemande entre Klose ou Muller, étant donné que Podolski est déclaré forfait, Halliche avoue qu’il s’est préparé avec son équipe de façon à ce qu’ils affrontent tous les joueurs sans préférence aucune : «Pour moi, Klose ou Muller, c’est la même chose. L’Allemagne est un collectif et je crois que leur attaque est forte avec tous ses joueurs.»

 

«On joue sur un terrain qu’on connaît, mais l’adversaire n’est pas le même»

Halliche pense que le fait d’avoir joué la Corée du Sud à Porto Alegre n’est pas vraiment un avantage avant ce match contre l’Allemagne, car les adversaires sont différents : «Non, pas vraiment,  les adversaires ne sont pas les mêmes, c’était la Corée du Sud, maintenant c’est l’Allemagne.» 

«L’Allemagne d’abord, le reste on en parlera après»

Pour finir, l’ancien défenseur du NAHD a préféré retarder un commentaire concernant la possibilité de voir son équipe croiser le fer avec la France, voire même le Nigeria en quarts : «Non, on préfère se concentrer sur notre match, le reste, on en parlera après.»

S. M. A.