Il a été l’artisan de la 5e place accrochée par l’ESS durant cette Coupe du monde des clubs. Lui, c’est Sofiane Khedaïria. Le dernier rempart de l’ESS nourrit quelques regrets par rapport à la participation de son équipe, mais préfère en garder les points positifs.

Le Mondial des clubs est terminé pour l’ESS. Quel bilan en faites-vous ?

Je pense qu’on a réalisé une belle Coupe du monde. Pour notre première participation, on a fait honneur à notre équipe. Pour une première participation, ce n’est pas aussi mal même si on nourrit quelques regrets par rapport à notre premier match que nous avons raté. Cependant, il faut en tirer les enseignements et prendre les points positifs.  

 

Tout le monde est unanime à dire que cette équipe d’Auckland était prenable…

Effectivement, on aurait pu prétendre à un meilleur résultat face à Auckland. Malheureusement, on n’a pas pu aller chercher ce résultat probant qui nous aurait permis de continuer notre route en Coupe du monde. Dieu merci, on se reprend bien face à Sydney et on sort sur une victoire. C’est une bonne chose pour nous.

 

Face à Sydney, on a vu une meilleure équipe de l’ESS. Qu’en pensez-vous ?

Bien sûr, on a fait face à notre adversaire et on a tout fait pour gagner ce match. Nos efforts ont fini par payer car à la fin on parvient à arracher cette 5^e place. Pour une première participation, je pense que c’est pas mal du tout.

 

Vous avez été l’un des acteurs de cette rencontre lors des tirs au but ?

J’ai fait ce que j’avais à faire d’autant plus que je pouvais me montrer plus décisif que ça. Lors de notre premier match, je pense que j’aurais pu être plus décisif, notamment sur le but d’Auckland. Dieu merci, face à Sydney j’ai rectifié le tir et j’ai participé à la victoire de mon équipe.

 

L’Entente est-elle au niveau du gratin mondial ?

Bien sûr. Elle n’est peut-être pas au niveau du Real Madrid mais par rapport aux équipes d’Amérique central ou d’Amérique latine, je pense qu’on n’a rien à leur envier.

 

Que retenez-vous de ce Mondial ?

Je retiendrai que l’ESS a découvert le haut niveau dans cette compétition. On a fait face aux meilleures équipes des différents continents. Maintenant, il faut continuer à travailler et essayer de progresser davantage. Pour nous, ce fut une bonne expérience sur tous les plans.

I. Z.