Invité à la RTBF, le milieu de terrain de Malines est revenu sur sa situation en club, son futur transfert et de ses rêves. Il affirme que Mahrez l’inspire surtout après tout ce qu’il a accompli cette saison.

 

 

Sofiane Hanni est donc la super star du championnat belge cette saison. Meilleur buteur de la compétition avec ses 17 buts, l’international algérien est l’objet de toutes les attentions et les convoitises. Sur le plateau de la RTBF, le joueur est revenu sur les derniers contacts et les informations le donnant déjà signataire à Anderlecht. Sur ce point, le joueur assure : «Je ne confirme rien avant la fin de saison, ce sont des spéculations de la presse. Tout ce que je peux dire, c’est que le moment est venu pour moi de franchir le pas. Je n’ai pas de souci avec la pression d’un grand club : sur le terrain je n’entends rien, le foot est resté un jeu pour moi et je continue à me faire plaisir.»

«Quand je vois Riyad, je me dis que tout est possible»

Après avoir été un globe-trotter durant plusieurs années, Hanni s’est stabilisé en Belgique et devient une star. D’ailleurs, le joueur s’inspire de la fabuleuse histoire de son équipier en sélection, Riyad Mahrez : «Son destin m’inspire, il a bossé pour sortir de la galère et être là où il est, il est la preuve qu’en foot, tout est possible, j’en parle parfois avec lui en équipe nationale. J’ai 25 ans, je privilégierai toujours le projet sportif sur le financier : j’ai eu de grosses offres de Russie et du Kazakhstan, mais je ne veux pas avoir de regrets. Je rêve du foot espagnol… et du Real Madrid dont je regardais tous les matches à l’époque de Zidane et du Ronaldo brésilien.»

«Ma priorité, c’est l’efficacité et la réussite de l’équipe»

Revenant sur son parcours en championnat, le joueur assure : «J’ai toujours marqué facilement : petit, au quartier, je jouais déjà pour ça, aujourd’hui je peux jouer en 10, sur le flanc ou comme 2^e attaquant. Avec ma confiance actuelle, je tente parfois des trucs improbables, c’est la folie héritée du foot de rue ; en plus, ça a forgé mon caractère et mon envie de gagner, car il fallait prendre sa place parmi les grands. Mais le foot pro, c’est autre chose, il y a plus de règles à respecter,  et ma priorité reste l’efficacité et le succès de l’équipe.» Le joueur n’a rien laissé au hasard et a tout dévoilé le concernant mis à part son transfert à Anderlecht. Cependant, cela ne saurait tarder.

I. Z.

Ça coince pour la prolongation de Ghezzal à Lyon

Comme on le faisait savoir dernièrement, la direction de l’Olympique Lyonnais a entamé les démarches nécessaires pour prolonger l’international algérien. Après une première rencontre infructueuse mais constructive, les deux parties ne parviennent toujours pas à trouver un terrain d’entente pour le nouveau contrat de l’international algérien. Selon l’Equipe, les deux parties n’arrivent pas à trouver d’accord et les négociations sont compliquées. La même source indique également que des clubs espagnols et anglais pourraient se mettre de la partie car le profil de Rachid plairait beaucoup en Europe. Lyon serait donc en train de jouer avec le feu dans ce dossier et pourrait vite se retrouver en difficulté.

«Je ne suis pas perturbé»

L’international algérien est revenu sur les négociations qui se déroulement actuellement entre les deux parties et espère que tout se passera bien. Dans des déclarations accordées au site officiel des Gones, le joueur avoue être calme : «Les discussions sur ma prolongation ne vont pas me perturber, explique l'international. Ça fait partie du quotidien d'un footballeur. Les discussions prendront le temps qu'il faut. Les deux côtés vont faire le maximum pour trouver un accord le plus rapidement possible... Le fait de pouvoir enchaîner et d'être décisif donne beaucoup de confiance. J'ai connu des galères. J'ai la chance de pouvoir m'exprimer. Je tente plus de choses et j'en réussis plus. Le coach me fait confiance et j'essaie de la lui rendre... Mon repositionnement côté droit me permet d'exploiter mes qualités au maximum. Je travaille sereinement aujourd'hui.»*

I. Z.

Susic, Trappatoni, Lopez Caro…ont mandaté une agence pour négocier avec la FAF

A la recherche d’un entraîneur de renom pour prendre en main la sélection nationale, la FAF cherche encore et plusieurs profils ont mandaté une agence pour négocier avec l’instance de Dely Ibrahim.

L’équipe nationale se cherche un nouveau capitane de bord pour la suite du parcours. Plusieurs profils sont à l’étude et des dizaines de CV sont sur le bureau de la FAF. Des noms il y en a plusieurs qui intéresseraient les dirigeants du football algérien pour prendre la suite de Christian Gourcuff. D’ailleurs, selon les informations qui nous sont parvenues, un nouveau nom est apparu et il s’agit de Juan Ramon Lopez Caro.

 

Lopez Caro, une carrière espagnole

L’entraîneur en question qui a de l’expérience après plusieurs aventures et notamment dans le championnat espagnol. Il a eu le mérite de diriger le grand Real Madrid durant la saison 2005-2006 après le départ de Luxemburgo. Il a aussi entraîné l’Arabie Saoudite mais a été limogé après son échec à la coupe d’Asie des nations. Il a aussi officié à Oman. Donc, son profil ne cadre pas parfaitement avec ce que recherche la FAF pour la sélection surtout qu’il n’a pas de Mondial dans son escarcelle. Ce dernier est très intéressé par le poste de sélectionneur national a mandaté une agence internationale pour négocier avec la FAF si jamais cette dernière était intéressée. Ne voulant plus avoir affaire aux intermédiaires et les agents, cette agence a reçu des mandats de la part d’autres entraîneurs comme Safet Susic ou encore Giovanni Trappatoni.

 

La 2^e agence au monde

Selon les informations qui nous sont parvenues, on croit savoir que l’agence mandatée par pas moins de  8 entraîneurs pour négocier éventuellement en leurs noms avec la FAF est la seconde agence mondiale juste derrière l’ogre Doyen Sports. Ce qui fait que Mohamed Raouraoua aurait l’assurance d’avoir des interlocuteurs valables et crédibles pour la suite du parcours. On verra ce qui va se passer prochainement avec ladite agence et si jamais l’agence en question parvient à placer l’un des entraîneurs en équipe nationale.

I. Z.