Kwame Opoku devrait quitter l’USMA cet été. Ne se sentant plus à l’aise au club, il réclame sa lettre de libération.Plusieurs joueurs de l’effectif usmiste quitteront le club en cette période d’intersaison.
Alors que ceux qui n’ont pas donné satisfaction lors de la saison écoulée et qui comptent un temps de jeu maigre dans les jambes sont sûrs de lever le camp du côté de Bologhine cet été, la liste des libérés sera également marquée par des surprises. Selon les informations qui nous sont parvenues, on apprend que Kwame Opoku devrait quitter l’USMA lors de cette période des transferts. Ce n’est pas à cause de ses mauvaises performances et les blessures à répétition dont il a été victime durant toute la saison, mais tout simplement parce qu’il veut quitter le club. En effet, l’international ghanéen a décidé de changer d’air lors de ce mercato estival, en optant pour un autre club pour rebondir et relancer ainsi sa carrière car son objectif est de retrouver la sélection des Blacks Stars le plus vite possible. Malgré une saison loin des attentes, avec quelques apparitions officielles et un but marqué, Opoku a reçu plusieurs offres de différents clubs algériens et étrangers. Mais il devra d’abord résilier son contrat à l’amiable avec l’USMA avant de trancher sur sa future destination.
L’USMA ne va pas le brader
Selon une source proche du dossier, Kwame Opoku veut être fixé sur son avenir dans les plus brefs délais et c’est la raison pour laquelle il prévoit une entrevue avec un responsable au club pour entamer les négociations pour un divorce à l’amiable. Selon toujours notre source, la direction usmiste n’est pas contre l’idée de lui accorder un bon de sortie. Mais une chose est sûre, elle ne va pas le brader car le Ghanéen lui a coûté très cher en ce qui concerne la somme du rachat de son contrat de son ex-club (300.000€) ou encore le gros salaire de 15.000€ qu’il perçoit. Alors que le contrat du jeune attaquant de 23 expirera en 2024, la direction du club de Soustara veut bénéficier financièrement de son transfert. Visiblement, les négociations entre les deux parties s’annoncent rudes et c’est à l’issue de la première entrevue qu’on saura ce qu’exige chacune d’entre elles.
A.S.