Réagissant à la rumeur d’un conflit entre lui et le boss de la FAF.

La prochaine nomination d’un entraîneur national suscite beaucoup d’intérêt dans les rangs des amoureux de la sélection, mais aussi dans la presse nationale. Les médias algériens spéculent de plus en plus et certains n’hésitent pas à avancer des noms sans s’assurer de la fiabilité de leurs sources. Parmi les noms qui reviennent le plus souvent celui du Corse Rolland Courbis. Ce dernier, qui est passé à deux doigts d’entraîner l’EN, a été annoncé par certains comme le futur coach. Pis encore, certains ont imaginé un scénario parfait, histoire de convaincre les gens de la crédibilité de leur info en nous faisant croire que Haddad et Zetchi auraient eu leur première rixe à cause du refus de ce dernier d’engager le Corse. Une info démentie sur toute la ligne par le président usmiste qui tient à rétablir la vérité et rappeler ses relations intactes avec le nouveau patron de la FAF, et qu’il est venu pour aider à développer ce sport et non pas pour le détruire : «Ces derniers temps, des gens ont lancé des rumeurs ; il y a des gens négatifs dont le seul but est de créer des problèmes. Tout ce qui s’est dit sur moi et Zetchi, c’est du n’importe quoi ! Kheireddine, c’est le président et je le respecte beaucoup, et les décisions lui reviennent. Je n’ai exigé ni Courbis ni personne d’autre. On est ensemble, et il y aune grande entente entre nous.»

« Je m’attendais à ce que les gens sèment la zizanie entre nous »

Le vice-président continue à crier son désarroi, il dit qu’il s’attendait à ces manipulations : « Avant les élections, j’ai parlé à Zetchi, je lui ai dit que les gens vont essayer de semer la zizanie. Je l’ai averti ; lui et moi on se connaît avant le foot, c’est impossible qu’on ait des problèmes à cause d’un coach. Les joueurs et les entraîneurs partent et reviennent, mais nous avec notre équipe, on fera nos quatre ans ensemble, n’en déplaise aux gens malintentionnés. On est là pour servir le foot national, non pas pour s’enrichir, ni pour régler des comptes, Rebbi yahdihoum», a-t-il tenu à préciser.

A. H. A.