Youssef Belaïli semble avoir digéré la déception d’être un joueur sans club et veut prendre un nouveau départ dans sa carrière. Lui qui a connu souvent des hauts et des bas, est déterminé à se caser dans un nouveau club.
Alors que ces dernières semaines, il a perdu ses salaires et sa place en équipe nationale, il attend avec impatience le verdict de la Chambre des litiges de la FIFA qui sera rendu à la mi-novembre, indiquera son père qui est entré en contact avec un membre de ce département qui lui a assuré que la Chambre des litiges se réunira le mois prochain, une fois qu’elle aura regroupé tous les éléments dans l’affaire qui oppose Youssef Belaïli au Ahly Djeddah, qui réclame, rappelons-le, une indemnité de départ fixée à 2 millions d’euros.
Il a refusé le Qatar SC
Pendant ce temps-là, Youssef Belaïli espère trouver un club, quitte à revoir à la baisse son salaire (il percevait 300.000 euros au Ahly) alors que le club de Qatar SC était chaud pour l’engager récemment, il a repoussé l’offre de ce club qui s’est rabattu sur Ryad Boudebouz (Saint Etienne). Et pourtant, ce club représentait une belle opportunité pour lui, mais selon un de ses proches, il n’a plus envie de jouer dans la région du Golfe, et sa décision serait irrévocable.
Va-t-il ouvrir la porte au Ahly du Caire ?
Bien qu’il ait affiché l’ambition de retourner jouer en Europe (il a fait un passage à Angers) au fil que le temps passe, Belaïli commence à s’interroger si ce vœu sera exaucé, les rares clubs européens qui se sont renseignés sur lui, ont été refroidis par la récente sortie du président d’Al-Ahly Djeddah qui exige un montant de 2 millions d’euros pour le libérer de son contrat qui court jusqu’en 2022. Reste cependant une possibilité, celle qui mène vers Ahly du Caire. Selon les dernières informations qui circulent dans le proche entourage du joueur oranais, après qu’il a hésité à rejoindre le géant égyptien, Youssef songe a répondre favorablement à l’offre des dirigeants cairotes. Certes, ces derniers lui ont proposé presque la moitié du salaire qu’il perçoit en Arabie Saoudite, mais sur le plan sportif, Al Ahly du Caire demeure une référence dans le continent africain de par ses titres remportés et ses structures dignes de clubs européens. Après avoir fait le tour de la question, le clan Belaïli n’écarterait pas désormais la possibilité d’aller monnayer son talent dans le pays des Pharaons.
- S.
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Papa à nouveau
En cette période délicate qu’il vit, Youssef Belaïli a eu le bonheur d’être à nouveau papa (il a déjà un garçon) avec la naissance de la petite Aline. Cet heureux évènement a rendu le sourire à Youssef qui en avait vraiment besoin pour oublier ses déboires avec le club saoudien, en attendant le verdict de la Chambre des litiges de la FIFA et qu’il trouve un club acquéreur.
- S.