Équipe nationale

Insultes racistes à l’encontre de Belaïli : Brest et Reims affichent leur soutien à travers une louable initiative

La prochaine journée de L1 sera l’occasion pour Reims et Brest d’afficher leur soutien à Youcef Belaïli à travers une louable initiative prise d’un commun accord par les deux clubs d’entrer avant le prochain match avec un tee-shirt avec un message de soutien à l’international algérien. Ce geste honore le club  de Reims qui cherche à bannir à travers son soutien à Belaïli le racisme de son stade. Alors  que l’ouverture d’une enquête a été ouverte par la commission de discipline de la LFP qui prévoit de rendre public le verdict de cette affaire mercredi 9 mars.

Youcef indifférent

Tandis que les deux clubs à savoir Reims et Brest ainsi que la LFP ont ouvert une enquête, d’après son proche entourage Youcef Belaïli ne serait pas affecté par cette histoire d’insultes racistes à son encontre, lui qui en a vu d’autres dans sa carrière refuse de se focaliser sur cette histoire, assure-t- on. Toutefois, c’est sa situation sportive qui le dérange le plus. Après quatre matches joués avec le Stade brestois 29, Belaïli n’a toujours pas secoué les filets, voire sorti une grosse prestation, sinon avec sa force de caractère, pour lui cette histoire de propos racistes serait derrière. A rappeler que le prochain rendez vous pour Belaïli et son équipe sera samedi avec le déplacement chez le Racing Club de Lens.

 

 

                     M.S

Il a arrêté deux fois le penalty

Zeghba va monter dans la hiérarchie

 

Le portier Mustapha Zeghba a été le héros de son équipe dans la victoire arrachée aux dépens d’Al Raed (3/2). Dans ce match, l’arbitre avait sifflé un penalty en faveur de l’adversaire du FC Damac, stoppé une première fois par l’ancien portier de l’Entente de Sétif, l’arbitre décide de le faire retirer et la deuxième tentative du joueur d’Al Raed est une nouvelle fois stoppée par Zeghba. En enchaînant les prouesses dans la cage du FC Damac, Mustapha Zeghba qui est troisième gardien en équipe nationale après l’inoxydable Raïs M’Bolhi et son éternelle doublure Alexander Oukidja pourrait ravir à ce dernier son rang de deuxième gardien vu qu’avec le FC Metz Oukidja a perdu sa place de titulaire depuis un bon moment.

 

                  M.S

 

FA CUP : Peterborough 0-2 Man City – Buteur, Mahrez réalise sa meilleure saison

Affrontant la formation de Championship de Peterborough, Manchester City s’est imposée sur le score de 2 à 0 en 1/8 de finale de la FA Cup, grâce à des réalisations de Mahrez et de Grealish, tous deux servis par Foden. Il aura fallu attendre l’heure de jeu pour voir Man City débloquer la situation sur une inspiration de Mahrez, qui aura une nouvelle fois marqué un but de toute beauté. Héritant d’un ballon pourtant difficile sur le cote, il s’est d’abord mis dans le sens du but tout en emmenant le défenseur puis le dérouter avec un passement de jambes, décaler juste ce qu’il faut le ballon pour capter le deuxième poteau a ras de terre et battre le gardien dans un ange pourtant pas évident, en comptant la foret de jambes qu’il pouvait y avoir. Bref, une spéciale Mahrez comme on aime le voir en faire.

En grande forme, l’internationale algérien qui aura contribué à 4 buts lors de ses 4 derniers matches, continue de réaliser d’excellentes statistiques cette saison. Joueur le plus efficace de son équipe avec son implication dans 26 buts en 22 titularisations pour 31 apparition, le n°26 de City, compte également cette saison 19 buts TCC, soit un but de plus que son record personnel réalisé avec Leicester lors de la saison 2015/2016 avec 18 buts au total. Réalisant sa meilleure saison du point de vu des performances et du rendement, c’est une pièce maîtresse aujourd’hui dans l’effectif de Guardiola et un joueur clé comme le démontrent ses chiffres. En forme en cette deuxième moitié de saison, c’est un grand Mahrez avec un moral au top qui rejoindra l’EN pour étaler toute sa classe face au Cameroun et emmener les Verts en Coupe du Monde.

CHAN 2023 : Le ministre évoque le lancement des travaux

Le ministre de la Jeunesse et des Sports Abderrazak Sebgag a affirmé hier au CIC d’Alger que les stades retenus pour abriter le CHAN-2023 (8-31 janvier) seront aménagés selon les normes exigées par la CAF et la FIFA.

«Il y a des normes de la CAF et de la FIFA concernant l'aspect technique des infrastructures sportives. Il y a des commissions techniques mixtes entre

la Fédération algérienne de football et le ministère de la Jeunesse et des Sports (MJS), dont l'objectif est de suivre l'application des critères exigés à travers l'ensemble des stades. Nos stades seront réceptionnés selon les normes internationales avant la fin de l'année», a indiqué le ministre lors de la Conférence nationale des cadres du MJS, tenue au Centre international  des conférences.

«Il y a des stades en prévision de ce rendez-vous continental qui sont concernés par des opérations de réhabilitation. Dernièrement, nous avons confié à une société nationale les travaux au niveau du stade d'Annaba, l'un des sites retenus pour abriter le CHAN-2023", a-t-il ajouté, sachant que la societé en question n’est autre que BATIMETAL.

Visite imminente des inspecteurs de la CAF

Les travaux de réhabilitation et de remise à niveau concernent la pelouse, les vestiaires, la zone mixte, ainsi que la salle des conférences. Il sera également question de la pose des chaises dans les gradins et le réaménagement de l'espace extérieur.

Les stades devant abriter les rencontres du CHAN-2023 seront dotés de panneaux publicitaires, en plus des portiques électroniques, ainsi que d'autres services modernes selon les normes mondiales.

Le premier responsable du MJS a évoqué le stade Tchaker, retenu lui aussi pour le CHAN, et qui sera le théâtre du match Algérie-Cameroun, le 29 mars. «Les travaux ont déjà commencé à Blida, alors que d'autres vont se poursuivre juste après la rencontre.»

Il est utile de rappeler que l’Algérie a postulé pour l’organisation du CHAN avec 4 stades à savoir Annaba, le 5- Juillet, le stade d’Oran et Baraki, Sebgag affirme qu’au cas où les travaux de réhabilitation ne seraient pas achevés à temps au niveau d’Annaba ou que le stade de Baraki n’est pas prêt, un plan B est prévu. «On a une commission technique de la CAF qui visitera l’Algérie début mars pour voir de près les stades, ces derniers sont en travaux d’ici la fin de l’année, et on a un plan B, on peut aller dans d’autres stades, soit à Alger, à Oran, à Sig ou à Blida, on a des infrastructures qui peuvent accueillir le CHAN», conclut-il.

S.M.A

 

 

 

 

 

 

 

Prochaine liste de l’EN : Ne pas se tromper de choix

Dans moins de trois semaines, Djamel Belmadi communiquera la liste des joueurs qui seront retenus pour la double confrontation avec le Cameroun (26 et 29 mars). M’opinion sportive en Algérie attend avec impatience de découvrir cette liste qui comprendra, c’est certain, quelques changements. En effet, après la piteuse participation de l’EN à la dernière CAN et l’élimination au 1er tour, afin de secouer son groupe, Djamel Belmadi serait amené, pour ne pas dire contraint, à procéder à quelques changements en apportant du sang neuf à sa sélection. Evidemment, il ne faut pas s’attendre à un chamboulement de l’effectif étant donné qu’il regroupera l’équipe juste avant le départ pour le Cameroun. Par conséquent, Djamel Belmadi ne peut pas procéder à des essais. Toutefois, pour augmenter ses chances de qualification au Mondial du Qatar, il devait prendre en considération la forme des joueurs.

 

Prendre les plus en forme

Après trois ans de bonheur procuré au peuple, notre sélection nationale connaît depuis quelques mois un coup d’arrêt et ce, bien avant la participation à la CAN 2021 où le coach national espérait une réaction de son équipe. Hélas, parmi l’effectif des champions d’Afrique en 2019, certains sont hors de forme depuis un bon moment, d’autres ne jouent que rarement avec leur club. D’où les spéculations sur la liste des joueurs qui seront convoqués pour les barrages. Djamel Belmadi, qui est resté fidèle à son  groupe pendant trois années, sera-t-il amené à faire des choix douloureux ? Possible, prévoient les observateurs, pour espérer faire tomber le Cameroun et arracher le ticket qualificatif, des changements sont impératifs. On pense notamment à la défense qui a perdu de sa solidité. Le Cameroun, qui possède de sérieux atouts offensifs, plus particulièrement le duo Aboubakar - Toko Ekambi, pour les neutraliser, notre sélection doit se reposer sur une défense de fer, notamment lors du match aller à Japoma dans l’objectif de ne pas encaisser de buts afin de prendre une sérieuse option pour la qualification.

 

On veut voir le Mahrez de City

Pour espérer se qualifier, l’EN devrait compter sur tous ses joueurs, pas uniquement les défenseurs, lesquels devront assurer leur tâche qui consiste à stopper toutes les velléités offensives adverses. En revanche, à l’instar des autres sélections, tous les espoirs reposent sur les épaules de Ryad Mahrez capable, par son génie, de renverser les cours d’un match comme il le fait souvent avec son club Manchester City avec ses incroyables et impressionnantes statistiques dans des compétitions très relevées que sont la Premier League et la Ligue des champions. En revanche, avec la sélection nationale, Ryad Mahrez n’affiche plus, depuis un moment, le même visage. Pour les observateurs les plus avertis, à Manchester City, Mahrez joue aux côtés de joueurs de qualité, ce qui lui permet de se mettre en évidence. Ainsi, pour pouvoir profiter de son talent en EN, il faut l’entourer de joueurs qui lui permettront de briller et d’apporter un plus que tous les Algériens attendent face au Cameroun afin de se qualifier à la prochaine Coupe du monde.

  1. S.

 

Belaili dans le dur

Depuis qu’il a rejoint le Stade brestois, il y a un mois, Youcef Belaili est toujours à la recherche de son match référence. Alors qu’il misait sur le derby breton pour faire taire les critiques dont il fait l’objet en France, en fin de compte, Belaili n’a pas eu l’opportunité de montrer tout son talent bien qu’il fût titularisé par son entraîneur Michel Der Zakarian qui continue à lui faire confiance malgré ses prestations mitigées depuis qu’il porte le maillot brestois. 

Il est remplacé à la 32’

Youcef Belaili, qui promettait à son entourage avant le derby face à Lorient ce dimanche de casser la baraque, n’était finalement resté sur le terrain qu’une petite demi-heure, la faute au défenseur Brendan Chardonnet qui commit l’impardonnable erreur d’accrocher par-derrière un attaquant adverse. La sentence est lourde : l’arbitre l’expulse sur-le-champ (32’). Ce qui contraint le coach brestois à sacrifier un attaquant afin de garder l’équilibre défensif. Le choix de Der Zakarian est porté sur Youcef Belaili qui peinait à entrer dans le match, il faut l’avouer. Dans un championnat français réputé par l’intensité et l’engagement physique, l’attaquant vedette de l’EN n’a toujours pas sorti un bon match depuis qu’il a rejoint la L1. Certes, quand on se rend compte que Léo Messi a mis 6 mois pour enfin briller samedi soir contre Saint Etienne sous le maillot parisien, on s’attendait un peu à ces difficultés. Mais contrairement à la légende argentine, notre compatriote a paraphé un contrat de 6 mois. Or, s’il n’élève pas son niveau, on redoute que son aventure à Brest soit des plus éphémères et rappellera son passage raté à Anger.

 

Espérons que ça ne l’affectera pas

Il est connu que Youcef Belaili est un type qui fonctionne au feeling, mais qui est surtout très sensible. Bien que sa sortie, hier lors du derby, obéisse à des considérations purement tactiques, son entraîneur a déclaré après la défaite : « Déjà à onze contre onze, on ne maîtrisait pas bien la rencontre alors à dix !’’ Il a reconnu que le FC Lorient était plus présent dans ce match que son équipe, d’où sa décision de sacrifier un attaquant. Belaili tel qu’on le connaît aura sûrement pris mal la décision de son coach. Espérons que d’ici la future échéance qui l’attend avec l’EN, les choses s’arrangeront pour lui et qu’il retrouvera la forme physique et mentale.

  1. S.
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Le coach lance un appel au public de Tchaker : «Je veux que ça ressemble à la Bombonera»

En prévision du match retour du 29 mars

Le coach lance un appel au public de Tchaker :

«Je veux que ça ressemble à la Bombonera »

Sollicité par un confrère de Blida pour évoquer les conditions dans lesquelles le match retour va se jouer, Belmadi s’est lâché en réclamant un stade chaud bouillant. Il a déclaré savoir à quoi ça va ressembler et demandé à ce que ça ressemble au célèbre stade de Boca Juniors en Argentine : « On sait que le public de Blida nous attend, je veux que le stade soit comme la Bombonera de Boca Juniors, et on sait que ça sera la même chose.»

«On respecte le Cameroun, mais chez nous, la qualif ne peut pas nous échapper»

«On respecte le Cameroun, mais dans notre pays, la qualification ne peut pas nous échapper. On a mérité de jouer ce match à domicile. Imaginez si l’on devait jouer le retour à Japoma. On veut fêter ça avec notre public, on espère que ça sera plus grand que la CAN-2019.»

  1. M. A.

 

Cameroun-Algérie à Japoma :

«Aucun problème, donnez-nous juste une bonne pelouse»

Le Cameroun et la FIFA ont attendu le dernier moment pour annoncer les lieux et les dates des barrages ; le pays d’Eto’o a opté pour Japoma.

Pour les Algériens, c’était prévisible, Belmadi aussi s’y attendait. Il pense d’ailleurs que c’est fait exprès afin de jouer sur le moral des troupes.

Pour revenir aux stats, le Cameroun a joué 4 matches durant ces éliminatoires, dont la moitié, c'est-à-dire 2, ont eu lieu à Japoma. Mais le coach retient les deux premiers de Yaoundé. Il lance un message codé aux Camerounais pour dire qu’il n’est guère traumatisé par Douala. Seulement, il réitère ses critiques quant à la pelouse du fameux stade : «C’est ce que l’on nous a donné. Le Cameroun joue à Yaoundé d’une manière générale. Exceptionnellement, ils nous font jouer à Japoma. J’imagine les motivations pour lesquelles ils nous envoient dans ce stade-là. Pour eux, l’Algérie est une équipe traumatisée, qui a vécu un mauvais tournoi, une mauvaise expérience là-bas. On les ramène donc sur ce stade-là. Ce genre d’arguments n’existe pas dans le sport. Alors qu’ils ont l’habitude de jouer à Yaoundé, au lieu de nous emmener là-bas, ils nous emmènent à Japoma, il y a de la superstition.»

«Ce qui m’a traumatisé, ce n’est pas Japoma, mais plutôt sa pelouse »

 « On m’a appris que quand on tombe du cheval, il faut très vite remonter dessus, sinon on n’y remontera plus jamais. Je n’ai pas de problèmes, j’ai envie de jouer sur une pelouse praticable, on est traumatisé par la pelouse. Ils peuvent dire ce qu’ils veulent, elle était catastrophique, mais le stade, la ville, je ne suis pas un touriste, je ne viens pas visiter Douala. Il n’y a pas de monstre là-bas, juste donnez-nous une bonne pelouse !»

  1. M. A.

 

Algérie-Cameroun : la FAF veut un stade plein

La demande n’a pas encore été envoyée à la CAF

Algérie-Cameroun : la FAF veut un stade plein

La préparation du stage de mars bat son plein côté algérien, avec la présence de Djamel Belmadi en Algérie depuis mercredi passé, le coach national est arrivé pour peaufiner la préparation et mettre en place le plan de travail en coordination avec les autorités compétentes. Si le début du stage a de fortes chances d’avoir lieu en Afrique subsaharienne conformément au vœu formulé par Belmadi, le retour de l’équipe prévu le soir du 25 mars, soit après la partie à Japoma, enclenchera les préparatifs du match retour, ce dernier bénéficie de l’intérêt des autorités algériennes, notamment le MJS et la FAF, qui ont effectué une visite il y a quelques jours a Tchaker en se réunissant aussi avec le wali de Blida. Le célèbre stade de Blida a fait peau neuve, avec beaucoup de travaux effectués dans les tribunes, dans les vestiaires, au niveau de l’éclairage alors que la pelouse est en train d’être bichonnée par les jardiniers, tout est mis en œuvre pour que le match se déroule dans de bonnes conditions.

26 000 places

Cela est en train de se faire au moment où la Fédération algérienne de football n’a pas encore saisi les autorités footballistiques continentales et mondiales concernant l’autorisation d’accès aux supporters algériens le jour du match, on sait tous que cela est devenu inévitable depuis que la Covid-19 a pris place dans nos vies, et a perturbé le déroulement des compétitions dans le monde entier, on se souvient tous qu’au mois de novembre dernier, le public algérien a enfin pu revenir au stade Tchaker, 13000 tickets seulement ont été vendus, et les équipiers de Mahrez ont pu enfin rejouer devant leurs supporters, le retour a été fêté par une qualification au dernier tour qualificatif à la Coupe du monde, une qualification qui a eu lieu dans la douleur. D’ailleurs, les gens se sont demandés si le score aurait été le même si le stade était archicomble ce jour-là, on connaît tous la pression exercée par le public de l’EN et son rôle dans les résultats réalisés par les Verts depuis des années, c’est pour cette raison que la FAF compte jouer cette carte pleinement, certes aucun écrit n’a encore été envoyé aux instances, mais selon des indiscrétions, la fédération voudrait réclamer une jauge maximale, soit près de 26 000 places. Selon une source proche de la DJS de Blida, le nombre de places assises au stade de Blida avoisinerait ce chiffre, et la FAF veut les exploiter, il faut dire que la situation sanitaire dans le pays s’est nettement améliorée ces derniers jours, la Covid-19 ne fait plus peur, du moins pas comme avant, et la fédération pense pouvoir convaincre les autorités sanitaires du pays à accorder le feu vert pour utiliser l’intégralité des sièges du stade, car la CAF et la FIFA exigent d’abord le feu vert des autorités compétentes de chaque pays, avant de donner ou pas leur feu vert. Le choix du stade de Japoma par les Camerounais est une preuve tangible que l’adversaire veut jouer toutes ses cartes contre l’EN, en optant pour le tombeau de Belmadi et de son équipe, ils ont confirmé la tendance, ils ne lésineront pas sur les moyens pour infliger une défaite amère à l’EN avant le match retour, le public de Douala sera d’ailleurs nombreux et pressera de tout son poids pour faire tomber les Verts, et c’est la même chose que la FAF veut faire à Blida, un moyen de pression efficace capable même de renverser la vapeur, car dans son nouveau match à Douala l’EN encoure les mêmes risques qu’en janvier, sauf que cette fois, ça ne sera qu’une seule manche sur deux, dont la dernière aura lieu à Blida, en Algérie devant un public surchauffé, un climat que la FAF veut faire subir aux Camerounais. Pour provoquer quelque chose, la galerie algérienne sera là et en grand nombre, à elle de faire la différence.

S.M.A

 

Le Real se positionne pour Bennacer

Arrivé l’été 2019 avec un statut de champion d’Afrique en titre, l’international algérien, qui a vécu une première partie de saison un peu compliquée en raison de blessures musculaires récurrentes, garde, malgré tout, la cote, comme le témoigne l’intérêt du Real Madrid qui serait sur ses traces et pourrait passer à l’offensive à la fin de la saison. Avec un contrat qui court jusqu’en 2024, Ismail Bennacer a envie, d’après son entourage, de connaître d’autres sensations. Le club madrilène serait une destination privilégiée pour ce grand bosseur au milieu du terrain. D’après nos informations, le Real Madrid se serait déjà positionné sur le dossier. On croit savoir que, déçu par le niveau de son équipe, le président Florentino Perez envisage de rajeunir l’effectif. Après avoir pratiquement bouclé le dossier Kylian M’Bappé, le boss des Merengues a chargé récemment l’un de ses collaborateurs de prendre la température auprès de  Moussa Sissoko qui est, rappelons-le, l’agent d’Ismail Bennacer et de l’international français du FC Barcelone Ousmane Dembélé. Le représentant du milieu récupérateur de Milan AC aurait accueilli favorablement cette idée, croit-on savoir lors de sa rencontre avec l’émissaire du président madrilène. Il faut dire qu’avec une clause libératoire de 50 millions d’euros à payer, tout en sachant que Bennacer n’a que 24 ans, il présente la formule qualité/prix. Ce qui encourage les décideurs du grand club espagnol à l’enrôler cet été.

 

Maldini lui a promis un bon de sortie

Alors que, du côté de Milan, on pense que l’international algérien va prolonger son contrat, rien n’a été fait jusqu’à présent. Ce qui donne des espoirs à ses courtisans. Le problème pour Milan est cette clause libératoire qui a été fixée, lors de la signature de son contrat en 2019, à 50 millions. Pour les responsables du club lombard, l’idée est de le prolonger immédiatement en incluant dans son contrat une clause libératoire plus élevée. Or, d’après nos sources, Ismail Bennacer, qui a failli rejoindre l’été dernier Manchester City, était finalement resté au club après que le directeur sportif Paolo Maldini lui a demandé de faire la campagne en Ligue des champions avec le club. En contrepartie, il lui a promis un bon sortie en été 2022. Maldini est donc contraint de respecter ce deal si demain le Real Madrid se présente avec un chèque de 50 millions d’euros pour racheter le contrat de Bennacer. Ce dernier sait très bien qu’il gagnerait beaucoup en rejoignant ce club mythique sur le plan financier, mais également sportif, car le club merengue gagne chaque saison un ou des titres.

  1. S.

 

A 23 jours de la fenêtre FIFA : Cameroun-Algérie, ça se complique en défense

L’entraîneur national Djamel Belmadi rencontrera demain les représentants des médias nationaux et internationaux dans une conférence de presse, afin d’évoquer les préparatifs du prochain choc aller et retour contre le Cameroun.

23 jours nous séparent du coup d’envoi du stage et une semaine seulement de la date limite de l’envoi des convocations aux clubs des joueurs sélectionnés. Ce qui fait des prochains jours des moments décisifs pour les joueurs suivis de près par les membres du staff de Belmadi.

D’une manière générale, on sait déjà que le groupe ne sera pas très différent de celui qui a fait la dernière CAN au Cameroun, malgré des échos évoquant le possible retour de certains éléments ou la convocation d’autres joueurs qui étaient dans la liste élargie, mais pas forcément utilisés. L’inquiétude réside dans la forme des joueurs évoluant en défense, notamment dans l’axe.

En effet, les blessures ont joué jusque-là un mauvais tour à Atal, victime d’une fracture de la clavicule et qui n’a pas beaucoup de chances de revenir. Bedrane est, lui aussi, blessé et ne joue plus avec l’EST. Son retour est attendu, mais il risque de ne pas être prêt à 100% pour le stage. Deux absences auxquelles on peut ajouter celle de Mandi, le plus triste des joueurs de l’EN avec ses stats négatives avec son club de Villareal. L’ancien du Bétis ne joue plus, et cela va sans le moindre doute inciter Belmadi à l’écarter au moins de son onze de départ.

Ayant bénéficié d’une chance inattendue lors de la CAN, en prenant part aux matchs comme titulaire, Mandi sait qu’il risque d’être lâché par son coach, d’autant qu’à Japoma, il n’était pas exempt de tout reproche. Il n’a pas été bon et ne sera probablement pas reconduit. Ce qui oblige Belmadi à revoir ses calculs. Certes, la blessure de Bedrane rend l’éviction définitive de Mandi quasi impossible, mais Belmadi ne prendra pas de risques.

La menace Aboubakar

Qui composera l’axe de la défense des Verts face au Cameroun ? Telle est la question qui s’impose. Les plus optimistes imaginent déjà un duo Tougai-Benlamri. Certes, ils n’ont pas souvent joué ensemble, mais ils présentent des garanties athlétiques et même techniques qui leur permettent de tenir tête à un rouleau compresseur comme Aboubakar ou encore Toko Ekambi, deux éléments qui se basent essentiellement sur leur gabarit impressionnant en faisant preuve d’une efficacité incroyable. Les fans du foot n’oublieront pas de sitôt leur remontada lors du match de classement face au Burkina. Une défaite 3-0 qui devient une victoire, avec notamment un doublé d’Aboubakar, sacré meilleur buteur des Lions avec ses 8 buts lors de cette CAN.

La bataille dans la surface de réparation de l’EN s’annonce délicate. Même si le duo semble avoir assez d’atouts pour convaincre Belmadi de miser sur lui, d’autres joueurs pourraient aussi montrer leurs qualités et postuler pour ce challenge. On parle notamment de Tahrat, qui joue régulièrement avec Gharrafa. En attendant de savoir qui renforcera les rangs de la sélection, Touba se présente comme la meilleure option pour le moment. Le retour du pensionnaire du championnat néerlandais paraît inévitable.

En tout cas, l’absence d’Atal laissera la place au duo Benayada-Halaimia pour continuer à jouer avec le groupe. Le premier est même sûr de revenir, Halaimia, non utilisé lors de la CAN, est mis en concurrence avec d’autres éléments, à l’image de Zedadka, dont le nom est évoqué du côté de la sélection depuis déjà 5 mois.

A gauche de la défense, c’est plus stable en présence d’un Bensebaini assez régulier et sa nouvelle doublure Chetti. En résumé, le choix des défenseurs risque d’être le plus dur, notamment dans l’axe. L’envoi des convocations pourrait ne pas suffire pour connaître les réelles intentions du coach Belmadi. Il faudra attendre la parution de la liste des 23 pour en savoir plus.

  1. M. A.

 

Delort : «Je n’ai pas mis une croix sur l’EN»

Invité à une émission de radio RMC, Andy Delort a déclaré qu’il n’écarterait pas l’idée d’un retour en sélection nationale. Critiqué publiquement en novembre dernier par Djamel Belmadi après qu’il a décidé de mettre en parenthèses sa carrière internationale pour se consacrer à son nouveau club l’OGCN, Andy Delort est revenu lors de cette émission sur cet épisode. « Cela m’a fait énormément de mal sur le moment sur tout ce qui a été dit. J’ai toujours respecté et respecterai la sélection et les Algériens. C’était un moment compliqué. Je venais de partir de Montpellier, il y avait de la concurrence à Nice, maintenant, on verra ce qui se passera. Je remercie tous les Algériens qui me soutiennent au quotidien. Non, bien sûr, je n’ai pas fait une croix sur la sélection ! » a déclaré Andy Delort qui a disputé 11 matches avec l’Algérie.

 

Des déclarations pas fortuites

S’étant muré dans un silence, Andy Delort, qui n’a jamais réagi aux critiques émises à son encontre par Djamel Belmadi, a préféré laisser son entraîneur Christophe Galtier le faire à sa place. Quand cette polémique a éclaté, des proches de l’attaquant niçois ont laissé entendre que « Andy répondra sur le terrain à Belmadi et pas dans la presse », rétorqueront-ils. En faisant son mea-culpa, Andy Delort a-t-il choisi le bon moment pour le faire ? A l’approche du très important rendez-vous avec le Cameroun pour la qualification au Mondial 2022, le sélectionneur national ne doit surtout pas se tromper de choix. La prochaine liste connaîtra des changements, c’est certain. Déçu par le rendement à la dernière CAN de plusieurs cadres, Djamel Belmadi, pour secouer son groupe, est dans l’obligation de procéder à quelques changements. Comme ses deux avants-centres à savoir, Baghdad Bounedjah et Islam Slimani ne sont pas au top de leur forme, Andy Delort chercherait à se frayer une place au soleil. Djamel Belmadi passera-t- il l’éponge en lui donnant une nouvelle chance ? Pour ceux qui connaissent bien le coach national, un retour d’Andy Delort relèverait quasiment de… l’utopie. Ce n’est pas parce qu’il sort d’un échec cuisant à la CAN 2021 que Djamel Belmadi irait à l’encontre de ses principes, mais sait-on jamais. Didier Deschamps, que Karim Benzema avait critiqué publiquement en l’accusant d’avoir cédé à des parties racistes pour l’écarter de l’équipe de France, avait juré que tant qu’il est en poste chez les Bleus, il ne convoquerait plus l’attaquant du Real Madrid. Finalement, ce dernier a été rappelé avant l’Euro. A la décharge d’Andy Delort, il n’a jamais répondu publiquement aux critiques de Belmadi ; ce qui lui laisse une petite lueur d’espoir pour réintégrer les Verts.

 

Réaction attendue de Belmadi demain

Demain matin, Djamel Belmadi animera une conférence de presse, la première après l’humiliante participation de l’EN à la CAN 2021. La question étant inévitable, nul doute qu’il régira à la dernière déclaration  d’Andy Delort. Le coach national va-t-il rouvrir la porte à l’attaquant niçois ou la refermer à double tour ?

  1. S.

Le saut pas comme les autres de Belmadi à Alger

Il a débarqué hier pour préparer le stage de mars

Le saut pas comme les autres de Belmadi à Alger

 

Hier, peu avant 13h, le sélectionneur national Djamel Belmadi est arrivé en Algérie en provenance de son lieu de résidence à Doha. Comme annoncé par nos soins, le coach des Verts arrive prématurément, et ce, pour peaufiner la préparation du stage du mois prochain. Un stage qui verra l’EN jouer les deux matchs les plus importants des Verts depuis août 2018, date de la signature du contrat entre la FAF et Djamel Belmadi.

En effet, Belmadi est arrivé il y a moins de 4 ans avec l’objectif de monter une équipe et aller au Mondial Qatar 2022. Comme il l’a déclaré aux médias français et même ici en Algérie, pour lui, c’était un rêve d’aller à la tête des Verts à une coupe du monde, l’épreuve suprême des sélections dans le monde du football.

Sur son chemin, Belmadi a rencontré beaucoup de belles choses, entre autres le titre africain offert au pays en 2019 et le record d’invincibilité de 23 matchs, battant de 9 matches l’ancien record détenu par la Côte d’Ivoire avec 26 rencontres.

 

Ça pourrait être le dernier stage 

L’objectif sera donc d’aller au Qatar, et cela passe par cette double confrontation attendue ce mois de mars contre le Cameroun. Et qui dit Cameroun dit bête noire, étant donné que l’EN n’a jamais réussi à battre cet adversaire. C’est dire la complexité de cette mission et surtout de ce prochain stage qui, mine de rien, pourrait être le dernier. La signature d’un contrat d’objectifs veut dire que, dans le cas où l’EN enregistrerait un mauvais résultat qui compromettrait la qualif, le contrat prend fin de facto. Ce qui veut dire que dès le 29 mars, Belmadi pourrait ne pas être le sélectionneur algérien. Certes, on n’en est pas encore là, et on ne le souhaite pas comme la grosse majorité des 45 millions d’Algériens. Mais lorsqu’on sait que le football n’obéit pas aux sentiments et que Belmadi n’a donné aucune assurance de prolongation de bail, cela explique son saut très spécial hier à Alger, car en plus de tout cela, l’échec camerounais de janvier dernier a provoqué une secousse puissante qui a permis un changement qui s’imposait. Labdi a été demis de ses fonctions pour avoir commis une faute professionnelle grave, et Djahid Zefzef est arrivé. Cette visite de Belmadi permettra d’ailleurs aux deux hommes, dès aujourd’hui, d’ouvrir le dossier du match Cameroun-Algérie de Japoma et du stage d’avant-match, puisque le coach devra trancher quant à la nécessité ou pas d’aller en Guinée équatoriale préparer le retour à Douala. Tout sera connu au terme de cette réunion, avant que Belmadi ne vienne dire à la presse, en début de semaine, ce qu’il a sur le cœur et les dernières nouvelles de ce voyage prévu le 21 mars prochain.

  1. M. A.

 

Feghouli : Galatasaray met à nouveau la pression

A quelques semaines de la fin de son contrat avec Galatasaray (30 juin 2022), Sofiane Feghouli est de nouveau dans le collimateur de son employeur qui exerce une grosse pression sur lui pour prolonger son contrat. Mais l’international algérien refuse les conditions salariales que le club turc lui propose, et ne peut lui offrir le salaire qu’il perçoit depuis son transfert au club en 2017 en provenance de West Ham United. La crise sanitaire a eu des effets dévastateurs sur les finances de Galatasaray qui, en plus, est en train d’accomplir sa pire saison. Depuis longtemps, la 13e de la Super-Lig turque, le club stambouliote n’a pas assuré encore son maintien définitif, faut-il le préciser.

 

Zéro minute

Ne pouvant supporter de payer son gros salaire, la direction de Galatasaray veut le prolonger afin de récupérer l’argent en le vendant après. Or, Feghouli, qui n’est pas à son premier contrat professionnel, refuse catégoriquement de prolonger, car il a des soupçons sur les véritables intentions de son employeur. Comme il le fait depuis un certain temps en guise de représailles, on brandit la menace de le priver de compétition. Une menace mise à exécution ce lundi lors du déplacement chez un autre mal classé Gotzepe. Sofiane Feghouli, malgré l’enjeu important de la rencontre, a été laissé sur le banc de touche pendant les 90 minutes. Sans lui, Galatasaray a gagné la partie (2/3). De quoi conforter les choix de son entraîneur l’Espagnol Domenec Torrent Font, qui a fait comme son prédécesseur Fatih Terim, qui recevait l’ordre de laisser sur le banc Feghouli dans le but d’infléchir sa position par rapport à son refus de revoir à la baisse son salaire. Mais l’international algérien continue à tenir tête à son employeur.

 

Besoin de jouer avant les barrages

En le laissant sur le banc lundi, comme on dit dans le jargon du football, on ne change pas une équipe qui gagne, le coach espagnol continuera-t-il à se passer des services de Feghouli ? Réponse dimanche quand Galatasaray recevra sur son terrain Rizepsor, une équipe menacée par la relégation. En tout cas, pour les supporters algériens, plus particulièrement Djamel Belmadi, ils aimeraient bien que l’ancien joueur du FC Valence enchaîne les matches afin d’être prêt pour la double confrontation contre le Cameroun. N’ayant pas gardé de lui, à l’instar de toute l’équipe, un bon souvenir de la dernière participation à la CAN 2021, ils espèrent le voir dans sa meilleure forme physique pour les deux matches contre les Lions indomptables.

 

  1. S.

 

Belmadi-Zefizef : réunion décisive d’ici le week-end

Le stage en Guinée équatoriale et autres détails à planifier

Le manager général de la sélection algérienne Djahid Zefizef est rentré en début de semaine au pays, après un séjour de plus d’une semaine entre le Cameroun et la Guinée équatoriale.

Zefizef a effectué le voyage d’abord pour tenter de trouver un compromis avec les gens de la Fecafoot, notamment en ce qui concerne la date et le lieu du déroulement du match aller. Le choix a été fait par le  Cameroun et la FIFA a fait le reste, en décidant de faire jouer toutes les rencontres aller le 25 du mois prochain.

Dès l’annonce du programme complet le week-end dernier, Zefizef a pu finaliser les réservations et autres pré-réservations, que ce soit à Douala ou à Malabo, capitale équato-guinéenne qui abritera le mois prochain un mini-stage de préparation pour le match prévu à Japoma le 25 mars à 18h. Des pré-réservations ont été faites, car du côté de la FAF, on préfère laisser le champ ouvert à de possibles remaniements. Il faut dire qu’il reste beaucoup de temps avant le match, et Belmadi peut changer de plan. D’ailleurs, son arrivée, attendu au pays au plus tard demain, lui permettra de voir de près ce qui a été fait jusque-là par l’émissaire de la FAF, le nouveau venu que le coach n’a pas encore rencontré. Zefizef a, certes, discuté avec le sélectionneur national au téléphone, échangeant sur plusieurs points, sur cette arrivée inattendue, le retour dans l’organigramme de la FAF et surtout à cette prochaine sortie cruciale au Cameroun.

Confirmer ou annuler le stage de Malabo

Zefizef rédigera un rapport pour résumer tout ce qui a été fait. Belmadi découvrira alors le savoir-faire de l’ancien. Il n’a rien laissé au hasard, que ce soit ici pour la nouvelle organisation préparée au tour de l’EN ou même ce qui a été fait pour que l’EN soit dans d’excellentes conditions lors de son voyage au Cameroun. Ce n’est qu’à ce moment-là que Belmadi pourra discuter, voire contester certains points, car du côté de la Fédération, on a laissé la place à l’éventuelle manoeuvre du coach. Il faut dire que pour un entraîneur comme Belmadi, plusieurs paramètres peuvent intervenir et inverser la tendance. D’ailleurs, on croit savoir que le stage de la Guinée équatoriale sera soumis à une décision du coach. Certes, c’est lui-même qui a voté pour cette option, ce déplacement direct de Paris vers un pays proche du Cameroun, afin de se préparer dans les mêmes conditions climatiques et se déplacer au tout dernier moment à Douala sans avoir à fatiguer les joueurs, ni à rallonger leur séjour sur place.

En résumé, d’ici le week-end prochain, on saura un peu plus sur les détails de ce stage. Le coach, qui animera au début de la semaine prochaine une conférence de presse au CTN de Sidi Moussa, devrait en parler. Certes, ce ne sera pas le point le plus attrayant de cette rencontre palpitante avec la presse, étant donné qu’il y aura le sujet de l’échec de la dernière CAN à débattre. Mais la suite s’annonce chaude, car l’avenir d’une sélection et du coach national en dépendra. Le stage de mars sera au centre d’un débat ; on en saura davantage prochainement.

  1. M. A.

Prolongation de contrat de Mahrez : Manchester City est confiant

Manchester City espère prolonger le contrat de Ryad Mahrez, ainsi que ses deux coéquipiers en attaque, Gabriel Jésus et Raheem Sterling, avant la fin de la saison. D’après le site 90 minutes, qui tient des sources à l’intérieur du club, les trois attaquants se verront proposer une prolongation de contrat avec une revalorisation salariale. Mais des trois attaquants, Ryad Mahrez est le plus enthousiaste pour prolonger son bail à Manchester City qui a payé 60 millions de livres sterling en 2018 pour racheter son contrat de Leicester City. Reconnaissant envers le club qui a fait un gros effort pour le recruter, Mahrez se plaît bien en Angleterre et il ne l’a jamais caché lors de ses sorties médiatiques. « J’aimerais finir ma carrière ici en Angleterre, voire à Manchester City », a-t-il déclaré il y a quelques semaines. Ce qui devrait faciliter les négociations avec le club pour prolonger le contrat à moins de 18 mois de son expiration.

 

Guardiola a validé

En Angleterre, les entraîneurs des équipes de la Premier League font office de manager et ce sont eux qui dirigent l’opération recrutement. A cet effet, d’après 90 minutes, Pep Guardiola a validé la prolongation de contrat de Mahrez, qui est son principal atout offensif cette saison avec 18 buts marqués, toutes compétitions confondues. Selon le site en question, Guardiola aurait même demandé à son employeur de ne pas laisser traîner ce dossier bien qu’il reste confiant quant à un dénouement heureux, après que le formidable gaucher algérien a affiché ses envies de rester au club pour encore une longue période. Ryad Mahrez, qui vient d’avoir 31 ans ce lundi, a encore quelques belles années devant lui. Le rusé Pep Guardiola le sait parfaitement bien. Raison pour laquelle il a chargé la direction du club d’engager les discussions dès maintenant afin d’éviter que la surenchère avec d’autres clubs surtout s’il réédite le même parcours que l’année dernière en Ligue des champions. Alors, autant pour le rusé coach catalan mettre les barbelés autour de lui dès les prochaines semaines.

  1. S.

CAN-2022 dames/Algérie-Afrique du Sud: "remontada" Algérienne

 L'équipe nationale de football (dames), dos au mur, est appelée à relever la tête pour espère arracher sa qualification à la phase finale de la Coupe d'Afrique des nations CAN-2022 au Maroc, à l'occasion de la réception de l'Afrique du Sud, mercredi au stade Omar-Hamadi (18h00), pour le compte du 2e et dernier tour qualificatif.

La FAF apporte son soutien à Belaïli, victime de propos xénophobes

La Fédération algérienne de football (FAF) a apporté mardi son "soutien indéfectible" à l'ailier international algérien du Stade brestois 29 Youcef Belaïli, victime dimanche de propos xénophobes, lors du match en déplacement de son équipe face au Stade de Reims (1-1), pour le compte de la 25e journée de la Ligue 1 française de football.

CHAN 2022 : le report, le miracle ou l’échec

L’organisation du CHAN 2022 peut enfin commencer. L’installation du COCHAN hier lance définitivement les grandes œuvres de cet énorme chantier qui aurait dû commencer il y a déjà des mois. Attribuée à l'Algérie en septembre 2018, la 7e édition du CHAN devrait se jouer dans quatre stades : le 5-Juillet-1962 d'Alger, le stade olympique d'Oran, le 19-Mai-1956 d'Annaba et le stade Chahid-Hamlaoui de Constantine, c’est du moins c’est ce qu’on laisse entendre du côté des responsables du secteur, d’ailleurs dans son interview hier à la Radio nationale le MJS Sebgag a fait savoir que les infrastructures prévues devraient être prêtes, évoquant la possibilité de recourir a un ‘’plan B’’ si jamais un retard est enregistré. Il faut dire que les travaux au stade d’Annaba n’ont pas commencé, le premier avis d’appel d’offres a été infructueux, tandis que le second n’a pas encore révélé ses secrets. En résumé, à 10 mois du coup d’envoi du CHAN ce stade est encore dans un état lamentable, que ce soit dans les gradins ou sur la pauvre pelouse complètement abimée.

Alors qu’il devait faire partie des stades de cette compétition, Baraki, encore en chantier, a, semble-t-il, jeté l’éponge, incapable d’être au rendez-vous, et sauver la mise, celle de présenter au moins un stade neuf aux invités de l’Algérie.

En résumé, l’Algérie aura à peine 10 mois pour se mettre à niveau des attentes, pas sur du tout que cela puisse se faire, au moment où on évoque déjà la possibilité d’un report de la compétition d’au moins 4 à 5 mois. Du côté algérien on croise les doigts et on prie Dieu pour que le scénario soit réel, c’est la seule solution qui pourrait sauver le COCHAN d’un possible échec, car ce dernier n’est pas à écarter, on a tous vu comment le Cameroun a peiné durant la dernière CAN. Le pays de Paul Biya a dû mentir et utiliser des manières extra-sportives pour bâcler le travail et offrir la pire CAN des 14 dernières années, certes pour le CHAN ça sera moins pénible étant donné que la compétition est animée par 16 équipes au lieu des 24 de la CAN, mais l’Algérie n’a pas encore le savoir-faire dans ce genre d’organisation, les JM à Oran seront d’ailleurs une occasion en or pour se préparer à vivre des situations délicates, à improviser des solutions, et pourquoi pas réaliser l’exploit, un miracle. Le COCHAN se lance dans son aventure, et suivra de près ce qui se passe du côté de la CAF, où l’on se murmure déjà la possibilité que des glissements aient lieu. Si la CAN ivoirienne est reportée à 2024, le CHAN algérien pourrait lui aussi être retardé.

  1. M. A.

 

Brahimi de retour en Europe ?

Libre en juin prochain

Brahimi de retour en Europe ?

Son contrat à Al Rayane expire en juin 2022. Yacine Brahimi suscite, d’après le site Foot-mercato ce lundi, la convoitise de plusieurs clubs européens. Après trois années au club de Doha, Yacine Brahimi a marqué 21 buts et délivré 7 passes décisives en 51 apparitions en championnat. Suffisant pour lui valoir l’intérêt de plusieurs clubs du Vieux Continent. Ce sont ses anciens clubs en France et en Espagne (Rennes, Clermont et Granada) qui se sont positionnés sur son dossier vu qu’ils  pourraient  le recruter gratuitement. Depuis son retour en sélection nationale avec laquelle il a pris part à la CAN du Cameroun et surtout après avoir remporté le titre de meilleur joueur de la Coupe arabe des nations FIFA, Brahimi a vu sa cote augmenter sensiblement, en plus, bien entendu, de sa situation contractuelle à Al Rayane (libre). Soit autant de raisons qui poussent les clubs européens à s’intéresser à lui.

 

Un deal avec Al Rayane

Bien considéré par le club qatari, Yacine Brahimi, qui perçoit un salaire mensuel avoisine 450.000 euros, sera-t-il tenté de retourner en Europe ? Toujours est il que, d’après nos informations, étant quelqu’un de très pieux, au Qatar, il concilie religion et football.. Cela semble bien lui convenir. Par ailleurs, d’après ce qui se dit, Brahimi a fait un deal avec la direction d’Al Rayane de renouveler son contrat une fois expiré, avec l’idée de finir même sa carrière au club avec en prime la promesse d’une reconversion une fois qu’il accrochera les crampons. De quoi appâter l’ex-joueur de Porto.

  1. S.

 

FAF : Cameroun-Algérie, un match classé à haut risque

Les Verts ne rallieront Douala que la veille du match

FAF : Cameroun-Algérie, un match classé à haut risque

Comme rapporté vendredi passé, la FAF a actionné le plan de préparation du stage des Verts en prévision de la double confrontation contre le Cameroun.

Après que la FIFA a confirmé la date du 25 mars et le stade de Japoma pour jouer le match, le manager de la sélection s’est aussitôt attelé à confirmer les réservations, notamment celle du côté de Malabo où aura lieu le mini-stage de préparation pour le match du 25.

En contact permanent avec le sélectionneur national Djamel Belmadi, Zefizef a tout préparé en attendant une prochaine visite, à quelques jours de l’entame de ce mini-stage. Par ailleurs, on croit savoir que parmi les directives du coach national, le voyage à Douala la veille de la rencontre.

En effet, alors que l’EN a rejoint d’habitude le lieu de la rencontre 48 heures avant le match, cette fois, Belmadi a retardé l’échéance. Il a décidé de se déplacer la veille de la partie. Ce qui veut dire que le séjour en Guinée équatoriale s’étalera du 21 mars, date de l’ouverture de la fenêtre FIFA, jusqu’au 24 mars. Le coach national trouve que son groupe connaît déjà assez bien l’environnement où ils vont atterrir, la ville, le stade, le chemin à parcourir pour arriver, tout. Pour éviter d’éventuels contretemps et surtout des scènes qui pourraient jouer sur le moral des joueurs avant le choc aller, il n’y a pas mieux que de raccourcir le séjour qui passe donc de 2 nuits à une seule seulement à Douala.

Du côté de la sélection, on ne laisse rien au hasard. Belmadi sait que le match qui sera livré au Cameroun pourrait être déterminant. Les locaux ne lésineront pas sur les moyens pour parvenir à leur objectif. On a tous vu comment Eto’o a fait le forcing pour faire passer le choix de Japoma. Malgré les réticences de la FIFA, il a atteint son objectif comme il l’avait atteint fin décembre quand il a fait plier Infantino et la CAF pour valider leur CAN et les dates initialement prévues. Plus tard d’ailleurs, on apprendra que des sommes faramineuses ont été déboursées pour convaincre les décideurs de la nécessité de maintenir la CAN. Ce qui a eu lieu.

 

Prudence

L’arrivée 24 heures avant le match à Douala est une mesure de précaution, une décision qui reflète la prudence avec laquelle l’EN est en train de préparer ce match. On n’écarte aucun scénario, car le Cameroun d’Eto’o est capable de tout pour atteindre le Mondial et éviter de le rater une 2e fois de suite. Déjà dans les 4 autres matchs, notamment entre le Sénégal et l’Egypte, on assiste à la même guerre psychologique au point que les Sénégalais sont en train de mettre en place un plan pour éviter d’éventuelles intimidations au match aller. Ils songent même à prendre avec eux leur nourriture du Sénégal pour éviter de possibles intoxications.

C’est dans ce contexte et dans ce climat électrique que se joueront les barrages le mois prochain. Belmadi a choisi d’aller à Malabo ; ce n’est sans doute pas pour faire du tourisme à Sipopo. Ça fera gagner 24 heures ailleurs qu’à Douala aux Verts, mais surtout, ça réduira le déplacement à une petite heure, avant d’arriver à destination. Reste à savoir maintenant si l’EN va arriver tôt à Douala pour le traditionnel galop d’entraînement d’avant-match à Japoma, ou pas. Après y avoir passé 12 jours en janvier et beaucoup de séances et de matchs sur les lieux, on ne s’étonnera pas si la partie algérienne décide de rallier Douala le soir du 24 mars.

  1. M. A.   

 

Guardiola sévèrement critiqué à cause de Mahrez

La défaite inattendue de Manchester City samedi face à Tottenham (2/3) n’a pas été digérée par les supporters de l’équipe. Ils imputent ce revers à Pep Guardiola, coupable, selon eux, d’avoir laissé au coup d’envoi de la rencontre Ryad Mahrez, qui n’est entré sur le terrain qu’après l’heure de jeu (67’). Pour les fans de City, cette décision est d’autant incompréhensible que Ryad Mahrez est resté sur une prestation stratosphérique quelques jours auparavant en Ligue des champions, lors du récital de leur équipe sur le terrain de Lisbonne (Sporting- Manchester City 0/5). Le laisser sur le banc samedi était une décision injuste du coach catalan qui n’est pas à sa première. Avec 17 buts inscrits et 7 passes décisives, toutes compétitions confondues, Ryad Mahrez présente les meilleures statistiques par rapport aux autres attaquants titularisés contre Tottenham. En tout cas, si par malheur Manchester City perd le titre de champion d’Angleterre, Pep Guardiola en aura pour son grade. Déjà, les supporters du club ne lui ont jamais pardonné ses erreurs de coaching en finale de la Ligue des champions au printemps 2021 (défaite contre Chelsea 1/0), en considérant que, ce soir-là, Pep Guardiola, en changeant son équipe-type et un système de jeu qui avait bien fonctionné les tours précédents, a été à l’origine de cette défaite en finale.

Le philosophe est prévenu

 Pour la course au titre de champion, Liverpool et Manchester City vont se livrer une bataille haletante. Déjà, si les Reds remportent leur match en retard ce mercredi contre Leeds, ils réduiront l’écart avec Manchester City de 3 points. Avant le camouflet de samedi, les Skys Blues disposaient d’une marge sécurisante. D’après Manchester City Evening News ce dimanche, les supporters ont prévenu Pep Guardiola qu’il est hors de question de laisser la prochaine fois Mahrez sur le banc, se basant sur les qualités de l’attaquant algérien qui, par sa façon de jouer, anime parfaitement bien le secteur offensif de l’équipe qui rendra visite au deuxième club de Liverpool, à savoir Everton samedi. Nul doute que cette dernière aura à cœur d’aider son voisin dans sa course au titre en damant le pion à Manchester City.