L\'entraîneur en chef mouloudéen est connu pour son grand appétit quand il s\'agit des points à récolter. Etant donné que le MCA vivra son second déplacement consécutif, samedi, où il disputera le clasico contre les Canaris, le coach a tenu à mettre en garde ses capés. Dans son discours, Djamel Menad a déclaré : «Il faut savoir qu\'avec moi, il n\'y a pas de titulaire affirmé. Celui qui se montre à la hauteur aura son mot à dire avec moi.» Une façon de remuer le cocotier, car certains titulaires n\'ont pas fait bonne figure lors du rendez-vous contre le MCO. Raison pour laquelle, Menad a fait savoir à ses joueurs qu\'il n\'hésitera pas à faire des changements dans son équipe type, s\'il le faut. Ensuite, le coach a évoqué devant ses joueurs le match de samedi en déclarant : «Samedi, on affrontera une équipe qui joue bien au football. Il faut être vigilants et bien concentrés sur l\'adversaire du jour. Si on veut rentrer à la maison avec un bon résultat, il faut mettre le turbo. Celui qui fautera le regrettera.» Djamel Menad veut battre les Canaris dans leur nid, mais, pour ce faire, il ne faut pas se contenter de parler seulement, il faut bien préparer cette confrontation qui s\'annonce très disputée entre deux équipes qui veulent la gagne. Les joueurs ont compris le message et sont plus que jamais décidés à faire ce qu\'il faut pour réussir. Avant de clore son discours, le coach a ajouté une autre couche pour ce qui est du clasico de samedi : «Face à la JSK, il faut être prêts sur tous les plans. Alors, je veux voir la concurrence battre son plein.» Une fois le discours fini, Djamel Menad attaque le travail et ne va pas être tendre, puisque le groupe a travaillé jusqu\'à 12h30 et le physique était au menu.A. Z.
MCA : Le coach prévient ses joueurs : «Celui qui fautera le regrettera»
Dans la matinée d\'hier, les Vert et Rouge se sont rencontrés au 5-Juillet pour poursuivre la préparation de la rencontre de samedi contre la JSK. Avant d\'entamer le travail, Djamel Menad a réuni ses poulains et a mis les points sur les i.