«Au départ, j’étais favorable pour une solution à l’amiable. Mais le président Hannachi tentait à chaque fois de gagner du temps. Si la FIFA n’a pas condamné la JSK à me payer 210 000 euros, c’est à cause du retard que j’ai mis pour la saisir. Je ne pouvais pas en arriver là, car j’ai toujours du respect pour ce club et notamment pour ses supporters. Malheureusement, Hannachi ne m’avait pas laissé le choix. Il finira bel et bien par me payer», a-t-il confié, avant de poursuivre : «J’ai entendu dire que les dirigeants de la JSK cherchent des failles dans mon contrat pour ne pas me payer. Mais ils ne trouveront rien, car j’avais rempli mon contrat jusqu’au bout et c’est avec l’accord du président que j’avais rejoint Le Havre.»
M. A.
Hannachi prochainement en France
Selon une source proche de la direction, le président Hannachi se rendra prochainement en France. Notre source n’a pas souhaité nous informer davantage sur le futur voyage du président de la JSK en France.
Guedjali : «On demandera des dommages et intérêts à Hannachi»
Abdelhamid Guedjali, le manager de Cheikh Oumar Dabo, déclare qu’une fois que le TAS aura rendu sa décision finale, il engagera d’autres poursuites à l’encontre du président Hannachi pour demander des dommages et intérêts. «On a engagé deux avocats et on compte demander des dommages et intérêts une fois que le TAS aura rendu sa décision finale. La FIFA nous a donné gain de cause et on attend le verdict final pour qu’on réclame à la direction de la JSK de payer les frais engagés par nos soins dans cette affaire. Ce sera au président de la JSK de payer les frais de nos avocats. Moi, je ne suis pas un bricoleur. Certains présidents en Algérie profitent de leurs postes pour servir leurs intérêts et non pas ceux de leurs clubs. Je n’ai pas voulu manger avec quelques-uns d’entre eux et c’est pour cela qu’ils se sont retournés contre moi. Le seul club avec lequel je n’ai pas eu de problème, c’était l’ESS», a affirmé Guedjali.
M. A.