«Au lieu de travailler et d’essayer de trouver les solutions, Sandjak a accordé trois jours de repos aux joueurs et sans oublier les joueurs qui n’étaient pas concernés par le match du CSC.

Ces derniers ont pris donc une semaine de repos, je n’ai jamais vu ça en football, un joueur qui reste une semaine sans entraînement et sans compétition», avait déclaré Hannachi à ses proches au lendemain du match de son équipe devant le CSC. Comme Sandjak qui a prolongé la suspension de Maïza et Belakhdar, Hannachi a annoncé, une nouvelle fois, la guerre à son entraîneur. Certes, après plusieurs jours de guerre, Sandjak et Hannachi ont cessé le feu, surtout que les résultats jouaient en faveur de l’entraîneur. Toutefois, après le semi-échec de mardi dernier, le premier responsable du club kabyle est sorti de sont silence pour contester la méthode de travail de son entraîneur. Pour Hannachi, il est anormal que des joueurs comme Khelili, Maroci, Belakhdar, Mekkaoui ou Maïza, qui n’étaient pas été concernés par le match de mardi dernier et qui ne sont pas entraînés depuis samedi dernier, restent une semaine sans entraînement alors que l’entraîneur en chef de l’équipe touche un salaire de 220 millions par mois. Pour le numéro un des Jaune et Vert, mêmes les autres joueurs ne devaient pas prendre trois jours de repos alors que l’équipe sera appelée à jouer ses chances à fond en cette fin de saison afin de décrocher une place honorable au classement général. Bref, non seulement le courant ne passe plus entre Sandjak et Hannachi, ce dernier ne rate pas la moindre occasion pour tirer sur son entraîneur.  

M. A.

Il n’a plus droit à un autre faux pas

Une fin de saison très difficile pour Sandjak

Même si l’entraîneur en chef des Jaune et Vert est protégé par un contrat en béton, Sandjak pourrait ne pas terminer la saison avec la JSK et sauter à n’importe quel moment. Après le semi-échec de mardi dernier, les responsables de la formation du Djurdjura n’ont pas hésité à tirer sur Sandjak. Pis encore, ce dernier n’aura pas droit à l’erreur lors des prochaines sorties de l’équipe en championnat alors que la JSK sera appelée à jouer trois matchs à domicile et trois matchs à l’extérieur. Le moins que l’on puisse dire est qu’une fin de saison très difficile attend Nacer Sandjak.

Le CABBA, l’USMBA et le MCEE, des équipes qui luttent pour le maintien à domicile

La formation du Djurdjura recevra deux fois de suite sur son terrain, toutefois, les deux équipes que jouera la JSK dans son jardin n’ont pas encore assuré leur maintien. En plus du CABBA, l’USMBA aussi lutte pour le maintien. Même le MCEE est encore menacé par la relégation. Sandjak est condamné à battre ces trois équipes menacées par la relégation. Personne ne souhaite être à la place de l’ex- sélectionneur national.

Le MCA et l’ESS, deux équipes qui jouent pour le titre et la seconde place, à l’extérieur

Pour les matchs restant à la JSK à l’extérieur, il y aura deux chocs pour Sandjak. D’abord, le clasico devant le MCA au 5-Juillet et la rencontre devant l’ESS à Sétif. Deux matchs très, très difficiles pour Sandjak, lui qui sera aussi appelé à ramener des résultats positifs de ces deux déplacements. Pour le match du CAB, les choses seront plus faciles pour l’entraîneur kabyle, toutefois, Sandjak doit d’abord garder sa place avant cette rencontre.

M. A.