Eddir Loungar, un Franco-Algérien spécialiste dans les sociétés de sécurité, voulait investir au Mouloudia d’Alger, mais ce grand club a été repris par la Sonatrach. Cependant, ce nom a animé les discussions ces derniers temps. Même dans la villa de Chéraga, ça parlait de lui. Ce n’était pas bien sûr pour venir investir au MCA, mais plutôt il y a eu une folle rumeur qui donnait ce monsieur comme un réel escroc. Cette information erronée a été démentie par le concerné avec preuves à l’appui.

«Moi, Eddir Loungar, en garde à vue ? C’est du pipo !» nous a laissé entendre le concerné. C’est que, lors d’un contrôle URSSAF, une lettre d’observation a été envoyée à Loungar le sommant de redresser la barre en payant, pénalités incluses, la somme de 160 843 euros, alors que la somme versée par Bodygard à l’URSSAF est de 35 000 000 euros. Même si le montant exigé par l’URSSAF est dérisoire par rapport à la somme versée, Eddir Loungar a saisi le tribunal français pour contester. La première audience a eu lieu le 12/3/2013, mais l’URSSAF a demandé le report qui n’a pas encore été fixé pour le moment. En clair, une affaire qui ne remet en aucun cas en cause la crédibilité d’Eddir Loungar, mais des questions s’imposent : pourquoi suit-on de près les affaires de Loungar, qui n’a aucune relation avec le MCA ni de près ni de loin ? Est-ce que faire douter de la crédibilité de Loungar arrange certaines parties qui veulent se montrer plus crédibles aux dépens des uns et des autres ? En tous les cas, Eddir Loungar ne compte pas rester sans bouger devant ses nouvelles attaques. Car, pour lui, il est très loin des affaires mouloudéennes, et il n’accepte pas que son nom soit utilisé pour servir les intérêts de X et de Y. Eddir Loungar nous a envoyé tous les documents qui montrent qu’il est propre. On a reçu des documents qui montrent que l’employeur participe au financement de la mutuelle et tout ce qui assure que la société de Bodyguard n’a rien à cacher. En somme, les parties qui veulent salir le nom de Loungar devront ramener des preuves à l’appui, comme l’a fait le concerné…

M. Z.