JSK : Aoudia rassure Yarichène

Même si l’attaquant Mohamed-Amine Aoudia est reparti du bureau d’Yazid Yarichène sans signer quoi que ce soit, le président de la section football de la JSK est convaincu que si l’attaquant de l’ESS ne décroche pas un contrat professionnel à l’étranger, il signera à la JSK. Rien n’a filtré sur la réunion qui a eu lieu entre les deux hommes, mais d’après une source digne de foi, le président Yarichène serait prêt à offrir un salaire de 220 millions de centimes à Aoudia.

Les dirigeants du Mouloudia d’Alger lui ont fait une meilleure offre. On parle d’un salaire de 280 millions de centimes par mois. Mais Yarichène, qui s’entend bien avec lui, lui a promis de lui accorder d’autres primes, s’il accepte de revenir à la JSK. Aoudia lui a donné bien sûr son accord de principe en lui disant que s’il ne décroche pas un contrat juteux à l’étranger, il signera à la JSK. Les dirigeants kabyles se frottent déjà les mains, mais les supporters ne croient ni à leurs promesses ni à celle de Mohamed-Amine Aoudia qui a promis à tous les responsables avec lesquels il a négocié qu’il jouera pour eux. Les dirigeants de l’ESS ont décidé d’écarter définitivement sa piste. De ce fait, s’il ne part pas à l’étranger, il jouera soit au CSC, la JSK ou le MCA.

Mohamed A

 

Belkaroui tranchera sur son avenir après le match de l’EN A’

Le président de la section football Yazid Yarichène n’a pas rencontré hier Belkaroui. Il devait s’entretenir avec lui afin de le convaincre à opter pour la JSK avant qu’il ne rejoigne l’équipe nationale A’ à l’hôtel Dar Diaf. D’après une source digne de foi, le joueur ne tranchera sur son avenir qu’après le match de l’EN A’, c’est-à-dire, la semaine prochaine. Le président Hannachi devait appeler l’un des responsables de l’ASMO dans la soirée d’hier, alors que Laïb s’est rendu à Oran afin de tenter de récupérer la libération de Belkaroui.

M.A. 

Il n’a pas  encore rencontré les dirigeants

Bouaïcha inquiet pour sa situation

Le milieu de terrain Djamel Bouaïcha  est inquiet pour sa situation actuelle avec la JSK. En effet, le joueur ne sait pas s’il sera libéré ou non. En dépit du fait que les dirigeants lui ont fixé un rendez-vous depuis deux jours, cette réunion n’a pas eu lieu finalement. Pis encore, aucun dirigeant ne l’a appelé pour au moins le rassurer de sa situation ou de lui fixer un rendez-vous. Une situation qui a mis le joueur dans le flou total. Selon les dernières informations, Bouaïcha a chargé son manager de voir avec les dirigeants afin de savoir quoi faire pour son avenir. Trop marginalisé, le joueur a fait de rares apparitions en dépit de ses grandes qualités. Reste à savoir maintenant si les dirigeants le garderont pour la saison prochaine. C’est ce qu’on saura dans les tout prochains jours.

 

 Les joueurs ont perçu un mois de salaire

Par ailleurs, on croit savoir que les camarades de Remache ont perçu un mois de salaire payé par le président Hannachi. Les joueurs n’ont pas perçu 4 mensualités, et avec ce salaire, ils doivent encore trois mensualités au club. Ils souhaitent récupérer leur argent, vu que le championnat a pris fin le 21 mai dernier, et les équipes se préparent déjà pour la prochaine saison.

                                                           K. A.

Bien qu’il ait tout réglé avec Amoros

Hannachi hésite à officialiser avec lui

De l’entraîneur qu’il faut pour la JSK, Manuel Amoros est devenu l’entraîneur sans expérience, dont la JSK n’a pas besoin. La défaite concédée par le Bénin face aux Verts dissuade le président Hannachi à officialiser avec le sélectionneur du Bénin. Au-delà de la défaite, c’est son coaching qui a été remis en cause. Le président de la JSK, qui avait cru qu’il avait réalisé une belle affaire en s’entendant sur tout avec Amoros, a vite déchanté. La défaite du Bénin face à l’Algérie ne l’encourage pas à poursuivre les négociations avec lui. D’après certaines indiscrétions, le président Hannachi ne s’est renseigné sur Amoros que dans la soirée d’avant-hier. Les informations qu’il a recueillies sur le sélectionneur du Bénin ne l’ont pas rassuré. C’est vrai qu’il ne trouvera jamais un entraîneur à 7000 euros, mais sachant que les supporters ne lui pardonneront pas un autre échec, le président Hannachi hésite à concrétiser avec lui. Pourtant, il avait tout réglé avec lui la semaine dernière.

Il ne l’a pas appelé hier comme prévu      

Le président Hannachi devait joindre hier au téléphone Manuel Amoros pour voir quand est-ce qu’il pourra venir à Alger. Mais il ne l’a pas fait. Peut-être que le président Hannachi a décidé encore une fois d’abandonner la piste de cet entraîneur pour se tourner vers une autre piste. Si cela se confirme, ce ne sera pas une surprise, surtout lorsqu’on sait qu’il a fait venir Barreto du Portugal juste pour prendre un café avec lui à l’hôtel Ibis avant de le prier de rentrer chez lui. Les supporters de la JSK veulent un entraîneur de renom et non pas de quelqu’un qui viendra seulement pour gagner en confiance. Il faut dire que les dirigeants kabyles ne sont pas tous pour le recrutement de Manuel Amoros. Sa carte de visite est pratiquement vierge et c’est ce qui explique l’hésitation de certains pour officialiser avec lui. Mais la question que se pose tout un chacun, c’est de savoir pourquoi les dirigeants ont attendu la défaite du Bénin pour se renseigner sur Amoros, alors qu’il leur suffisait de jeter un coup d’œil sur internet pour avoir toutes les informations le concernant ?

Il a travaillé pendant une courte période comme coordinateur de l’équipe des Comores, avant que l’ambassade de France au Bénin ne l’aide à avoir le poste du sélectionneur du Bénin. Contacté par nos soins dans la journée d’hier, Amoros nous a confié que le président de la JSK ne l’a pas relancé après la défaite de son équipe face à l’Algérie. «Le président Hannachi ne m’a pas appelé. Pour le moment, je pense seulement au prochain match face au Mali», a-t-il déclaré.

Mohamed A. 

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