Alors que selon le chargé à la communication du club, il lui reste un mois et 17 jours d'impayés. Selon le chargé de la communication du club, Zahir Hamour, la direction du club répondrait en détail à la CRL sur le cas de ce joueur. La CRL aurait aussi demandé à la direction du club de répondre au cas de ce joueur, au risque de prendre le dossier au sérieux. Ce que la direction a fait et selon le chargé à la communication du club, un rapport détaillé a été élaboré et ou il y avait même des justifications de versement par chèques. Alors va-t-on vers un bras de fer entre la direction du club et le joueur en question, dont on dit que son manager l’aurait déjà placé à l’ES Sétif. Mais ledit joueur doit d’abord négocier sa lettre de libération, autrement dit racheter son contrat, sinon, il ne pourra point signer dans le club de son choix.
Il ne compte pas revenir
Après la sortie de Farès Amrane, l’ex-joueur du CAB, qui a atterri au MOB durant la saison estivale de 2012, lui qui avait signé un contrat de deux ans, et où ledit joueur avait signé, pour rappel, un contrat de deux ans au profit des Crabes, il exige un salaire de 180 millions de centimes. Mais depuis qu’il avait trouvé une résistance de la direction du Mouloudia, qui lui a signifié que le club n’a pas les moyens de lui payer un salaire pareil et que s’il doit partir, il n’a qu’à payer sa lettre de libération, ou à la limite ramener le club qui pourrait négocier ce fameux document, qui lui permettrait de signer à l’ESS, où il a donné son accord de principe. «Ledit joueur ne compte pas revenir au MOB, et pour preuve, il a déposé son dossiers au niveau de la chambre de résolution des litiges (CRL) pour réclamer quatre mois de salaires, alors que tout le monde sait qu’auparavant, les joueurs n’ont que deux mois de salaires impayés plus les 25 jours de congés. En tous les cas, le joueur a montré son vœu de changer d’air», diront quelques fans qui n’ont pas digéré la manière avec laquelle cet élément voudrait quitter le MOB, soit le club qui lui a permis de donner une autre dimension à sa carrière.
R. M.