Un mot sur votre premier adversaire qui est l’Algérie ?
En toute sincérité, je ne connais pas du tout l’équipe algérienne. Je connais bien l’entraîneur Vahid Halilhodzic, mais je ne connais pas du tout l’équipe. D’ailleurs, juste à la fin du tirage au sort, j’ai tout de suite demandé à Sabri Lamouchi qui, lui avait rencontré l’Algérie lors de la dernière Coupe d’Afrique des Nations, de me donner quelques informations. Là, on va prendre tout notre temps pour regarder les derniers matchs que vous avez joués, bien les étudier comme on le fait avec chaque adversaire.
Commencer avec l’Algérie, une bonne chose pour votre équipe ?
Les premiers matchs c’est toujours du 50-50. Je dis toujours que lors du premier tour d’une Coupe du monde, on joue trois finales. J’en ai fait quatre Coupes du monde et je sais pertinemment que la grosse difficulté, c’est de sortir de ce premier tour, car les trois équipes sont très fraîches et sont préparées de la meilleure des manières pour ce tournoi. Donc, la vérité, il y en a qu’une, et c’est celle du terrain.
Quel est l’objectif de la Belgique lors de ce tournoi ?
Passer le premier tour et arriver en huitième de finale. A partir des huitièmes, tout devient possible.
Allez-vous affronter une équipe maghrébine lors de vos matchs amicaux pour préparer l’Algérie ?
J’ai déjà la Côte d’Ivoire pour le mois de mars prochain, maintenant, on vient juste de connaître le tirage et on verra qu’est-ce qu’on pourra programmer d’ici le mois de juin prochain.
Un mot sur la Russie et la Corée du Sud ?
La Russie, je connais bien les joueurs ainsi que l’entraîneur. Je peux vous dire que c’est un gros calibre. La Corée du Sud, on a déjà eu à jouer le Japon par le passé et c’est le même style. La Corée du Sud est une équipe très collective et c’est ce qui fait sa grande force. C’est pour vous dire qu’il n’y aura pas d’équipe facile.
Asma H. A.