Le milieu Salim Kerkar n’a toujours pas pris une décision concernant son avenir. Emballé au départ à l’idée de rejoindre le club kabyle, l’ex-pensionnaire de Charlton semble hésitant maintenant.

La raison de son hésitation à signer à la JSK reste inconnue pour le moment, mais il paraît que l’offre qui lui a été faite par un club ukrainien est pour beaucoup. D’ailleurs, il se trouve depuis quelques jours en Ukraine pour négocier son éventuel transfert dans ce pays.

Annoncé d’une manière quasi-officielle à la JSK au début de semaine, Kerkar semble s’éloigner de jour en jour. Il était prévu qu’il finalise avec les responsables kabyles cette semaine, non seulement il n’a pas poursuivi ses négociations avec eux, mais il n’a pas aussi rencontré le président Hannachi à Paris. Malgré ça, sa piste n’est pas définitivement écartée, car en cas d’échec de son transfert en Ukraine ou vers un autre club européen, il pourrait finir par accepter de s’engager avec les Canaris. L’annonce de l’imminente arrivée de l’ex-pensionnaire de Glasgow Rangers et de Charlton a fait rêver les supporters des Jaune et Verts, mais ces derniers commencent à déchanter déjà. Ils savent que tant que son transfert traîne, cela n’est pas un bon signe. Les dirigeants de la JSK se murent dans le silence concernant leurs contacts avec Kerkar. L’entraîneur Azzedine Aït Djoudi l’a recommandé à son président, en lui assurant qu’avec un joueur de la trempe de Kerkar dans son effectif, il jouera aisément le titre. Il s’est renseigné sur lui auprès du capitaine des Verts Madjid Bougherra, son ex-partenaire à Glasgow Rangers. Il pensait que ce milieu au pied gauche magique était acquis, mais il s’est avéré finalement que ce joueur privilégie la piste d’un contrat professionnel en Europe. A 26 ans, après plusieurs mois d’inactivité, il ne désespère pas de retrouver le haut niveau. Mais les dirigeants kabyles gardent toujours l’espoir de le recruter au prochain mercato hivernal.

Mohamed A.