En vacances dés mardi
En raison de la pression terrible exercée sur lui ces derniers jours, le président Hannachi partira en vacances ce mardi afin de se reposer un peu avant de reprendre du service. En son absence, c’est Azlef et Chioukh qui devraient assurer l’intérim. Le président Hannachi se réunira sûrement avec son entraîneur avant le match face au MOB.
Hannachi-Izri lundi devant le juge
Si Hannachi a décidé de reporter ses vacances jusqu’à mardi, c’est à cause d’une audience au tribunal ce lundi. En effet, le président de la JSK sera face à face avec Izri et devant le juge dans l’affaire de diffamation.
Absent à la reprise
Pas du tout satisfait des résultats enregistrés lors des matches amicaux joués en Tunisie, le président Hannachi ne s’est pas rendu hier matin au stade pour suivre l’entraînement. Son absence a intrigué plus d’un surtout qu’il n’a pas vu ses joueurs depuis bien longtemps.
N. Boumali
Karouf ne démissionnera finalement pas
Menaçant de claquer la porte au retour de l’équipe à Tizi Ouzou, l’entraîneur Mourad Karouf a repris hier son travail le plus normalement du monde. Le manager Karim Doudane a mis à exécution sa menace de se retirer de son poste, alors que Karouf et son adjoint Lamine Kebir et l’entraîneur des gardiens Omar Hamenad se sont présentés à la séance d’hier comme si de rien n’était. Pourtant, la veille, ils avaient laissé supposer qu’ils pourraient emboîter le pas à Doudane. Karouf que nous avons sollicité à plusieurs reprises n’a pas daigné répondre à nos appels. D’après un proche du club, celui-ci ne démissionnera pas de son poste. «J’y suis, j’y reste. Jusqu’à preuve du contraire, je suis toujours l’entraîneur en chef», a rappelé Karouf à ce proche du club. En dépit des rumeurs colportées çà et là laissant présager un changement à la barre technique dans les jours à venir, Karouf semble imperturbable. Il a eu une discussion avec Azlef, mais il n’a pas été invité à s’expliquer sur le stage effectué à Gammarth. Habitué à la pression, Karouf aurait ajouté au proche du club qu’il sait comment faire face à la pression. «La saison dernière il y avait une terrible pression lorsque l’équipe était menacée par la relégation.»
Objectif
Sachant qu’il est attendu au tournant, l’entraîneur Karouf mise sur un bon départ en championnat pour faire taire ses détracteurs. Son objectif est de glaner 9 points lors des 5 premières journées du championnat. Sur les 15 points qui seront mis en jeu, il veut avoir plus du double. Pour assurer une belle entame de saison, il espère que les supporters seront derrière leur équipe. seul bémol, Hannachi pourrait ne pas lui donner le temps de réaliser tout ça.
N. Boumali
Diawara souffrant
L’attaquant Banou Diawara n’a pas participé à la séance d’hier matin. Et pour cause, il aurait eu mal au ventre, ce qui ne lui a pas permis de reprendre avec le reste du groupe.
Seddiki en solo
Souffrant d’une blessure à l’épaule, le milieu Ilyès Seddiki ne reprendra avec ses équipiers que la semaine prochaine. Il est toujours soumis à un travail spécifique et il est officiellement out pour la rencontre face au CSC.
Les joueurs aux Deux Palmiers
Arraivés très tard dans la nuit d’avant-hier, le gardien Azzeddine Doukha, Gaâga et Boulaouidate ont été logés hier à l’hôtel les Deux Palmiers. Le nouveau membre du conseil d’administration Malik Azlef fait le maximum pour que leurs appartements soient prêts le plus vite possible.
Azlef et Chioukh répondent à Doudane
«Si on avait déposé son contrat à la Ligue, il n’aurait pas démissionné de son poste»
La sortie médiatique de l’ex-manager général Karim Doudane continue à faire des vagues. Si le président Hannachi se mure toujours dans le silence, deux des membres du conseil d’administration, à savoir Malik Azlef et Khelifa Chioukh ont réagi aux déclarations de Doudane. Les deux affirment que si la direction avait déposé le contrat de Doudane au niveau de la Ligue de football professionnel celui-ci n’aurait jamais jeté l’éponge. «Si on avait déposé son contrat à la Ligue de football professionnel il n’aurait pas démissionné de son poste. Il n’arrêtait pas d’appeler un responsable de cette structure pour voir si on avait transmis son dossier», ont expliqué Azlef et Chioukh.
«Il avait rédigé un contrat d’une durée de 3 ans sans même consulter Hannachi»
Au sujet du refus de la direction de déposer le contrat de Doudane à la Ligue de football professionnel, les deux membres du conseil d’administration affirment : «Vous savez, Doudane a rédigé lui-même le contrat qui devait le lier à la JSK sans même consulter le président Hannachi. Il n’avait négocié avec lui ni la durée ni le montant du salaire, mais il a inscrit sur le contrat la durée de 3 ans. Le président Hannachi lorsqu’il a vu le contrat a refusé de le signer et de le transmettre à la Ligue. Il ne fallait pas qu’il rédige lui-même le contrat.»
«Hannachi lui avait demandé de dire à Benmelouka de rembourser une partie des 300M qu’il a pris»
En plus du désaccord sur le contrat, Chioukh et Azlef ajoutent que l’affaire Benmelouka a envenimé les relations entre le président Hannachi et son désormais ancien manager général. «Doudane a recruté Benmelouka qui n’a pas le niveau de jouer à la JSK. Il a certes résilié son contrat avant la clôture du marché des transferts, mais le président Hannachi avait demandé à Doudane de dire à Benmelouka de rembourser une partie de l’argent qu’il avait pris à la signature du contrat. Il avait empoché 300 millions de centimes et il n’a remboursé aucun centimes», ont-ils indiqué.
«Il n’avait pas à payer les frais médicaux de Seddiki et Messaoudi»
La déclaration de Doudane dans laquelle il a affirmé qu’il a été obligé de payer les frais médicaux de Seddiki et Messaoudi n’a pas été du goût de la direction. «On ne lui a pas demandé de payer de sa poche. La JSK a largement les moyens de prendre en charge ses joueurs et fonctionnaires. Il n’avait pas à s’acquitter des frais médicaux de Seddiki et Messaoudi, car on avait passé un deal entre les responsables de l’hôtel pour que l’équipe ne manque de rien», poursuivent Chioukh et Azlef.
«C’est lui qui avait choisi la Tunisie»
Les collaborateurs du président Hannachi justifient l’organisation d’un stage en Tunisie par le choix de Doudane. «On lui avait demandé de choisir le pays où se déroulera le stage et il avait choisi la Tunisie. C’est lui-même qui avait porté son choix sur Gammarth. On avait mis tous les moyens à la disposition de l’équipe pour que celle-ci réussisse sa préparation. Il aurait pu choisir une autre destination, ou un autre hôtel, il avait toutes les clés en main. Il était le patron»
«Il avait carte blanche dans la gestion de l’équipe et le recrutement»
Alors que Doudane s’est plaint des conditions de travail, Chioukh et Azlef précisent : «Il avait carte blanche dans la gestion de l’équipe et dans le recrutement. On lui donnait de l’argent à chaque fois qu’il le demandait à la direction. Doudane est un travailleur, un fils de bonne famille, mais il n’aurait pas dû dire des choses qui n’existent pas. Il a travesti la vérité.»
«On avait offert 30 millions comme frais de mission»
Bien que les joueurs n’aient bénéficié que de 100 dinars tunisiens comme frais de mission durant les deux stages, les deux membres du conseil d’administration estiment que la direction a mis les moyens à la disposition du groupe. «On avait offert 30 millions de centimes aux joueurs comme frais de mission. Le médecin n’était pas du déplacement, car il était retenu par son travail. La JSK dispose d’une direction forte qui fait tout pour mettre les joueurs dans les meilleures conditions», ont-ils précisé avant que Khelifa Chioukh n’ajoute : «Avant, la JSk assurait les stages avec seulement Guillou comme kiné. Tout se passait très bien. Le Thalasso Carthage est un hôtel luxueux qui prodigue des soins à ses clients. On avait payé pour une prise en charge totale, donc…»
N. Boumali
Afin de définir les tâches de chacun d’eux
Hannachi devait les rencontrer hier soir
Alors que Malik Azlef affirme que c’est lui qui assure l’intérim en l’absence de Hannachi, Khelifa Chioukh, de son côté, déclare lui aussi qu’il est le président par intérim. Cette situation burlesque devait prendre fin hier soir. Le président Hannachi devait en effet se réunir avec Chioukh et Azlef pour définir les tâches de chacun d’eux.
Le président Hannachi a déjà chargé Azlef de s’occuper de la gestion des joueurs et des membres du staff technique, alors que Chioukh devrait s’occuper d’autres tâches aussi importantes que celle d’Azlef. Malgré ça, il y a une mésentente sur le rôle de chacun d’eux.
N. Boumali
La démission de Doudane fausse les calculs de Hannachi
Alors que le club vit des moments cruciaux
Hannachi, ce silence, pourquoi ?
Que cache le silence du président de la JS Kabylie, Mohand-Cherif Hannachi ? Est-ce une éclipse pour des considérations stratégiques ? Songe-t-il à un coup de tonnerre ? En a-t-il marre du brouhaha incessant ? Beaucoup de questions que se posent les observateurs, mais surtout les milliers de supporters de la JSK qui ne savent plus dans quelle direction se dirige leur cher club. La situation est, faut-il l’avouer, loin d’être rassurante. Outre les difficultés rencontrées par l’équipe pendant la préparation estivale marquée par une série de matches sans victoire et un compartiment offensif qui laisse émettre l’odeur de l’échec, la JSK n’arrive pas à assurer sa stabilité sur le plan technique. La démission de Doudane (manager général) a suscité moult interrogations surtout après les motifs invoqués par l’intéressé. Des bruits ont suivi quant à un éventuel départ des autres membres de la composante technique. Le comité de sauvetage de son côté n’a pas enterré sa hache de guerre. Il compte reprendre de plus belle ses actions en vue de conduite l’actuel président à quitter le club. En d’autres termes, la JSK n’inspire plus confiance à ses supporters à la veille de l’entame du championnat qui verra ce samedi les coéquipiers de Rial croiser le fer à Tizi Ouzou avec une grosse cylindrée, le CS Constantine, en l’occurrence.
Les supporters veulent des explications
Les supporters, en quête d’assurances, attendent désormais la moindre réaction du président Mohand-Cherif Hannachi. Ce dernier ne branche pas. Il s’éclipse d’une manière le moins que l’on puisse dire intrigante. Les joueurs, de leur côté, s’inquiètent. Ils sont étonnés par l’attitude de leur président qui ne leur a pas rendu visite lors du stage tunisien, ne les a pas accueillis à leur retour à Alger et, pis encore, il n’a pas assisté à la séance de la reprise. Les joueurs veulent absolument voir leur président (absent). Habituellement et pendant cette phase sensible avant le démarrage de la compétition officielle, Hannachi est pratiquement présent dans toutes les tribunes médiatiques pour expliquer sa stratégie, ses
objectifs et surtout donner des assurances à sa galerie. Ce n’est pas le cas cette saison. Son retrait ne fait, en réalité, qu’aggraver la situation. Il ouvre grandes les portes aux perturbateurs et surtout aux amateurs de la nage dans les eaux troubles.
Changement de stratégie de communication, ou …
Hannachi a-t-il changé sa stratégie de communication ? A-t-il opté pour le mutisme afin d’éviter d’alimenter toute éventuelle polémique nocive pour la stabilité de l’équipe ? Soit. Mais le moment est très mal choisi. Force est de constater que la JSK est sujette à des perturbations, l’intervention du premier responsable devient plus qu’une nécessité. Voire décisive. Seul le président Hannachi a désormais cette capacité de tranquilliser les supporters (qui n’exigent pas son départ) dans cette phase cruciale jamais connue par le club depuis de longues années.
En congé dès mardi !
Aucun indice n’est apparu laissant croire à une éventuelle sortie médiatique salutaire du président de la JSK. Son silence devrait s’inscrire dans la durée. Il ne brisera certainement pas le silence. Et pour cause, Hannachi se prépare à partir en congé pour se reposer après des mois fatigants. C’est du moins ce que nous avons appris de sources crédibles selon lesquelles Hannachi sera au repos à partir de mardi prochain. Ce qui confirme un peu plus la thèse selon laquelle il souhaiterait préserver son silence malgré le bruit incessant. D’ailleurs, à en croire les mêmes sources, il a chargé deux membres de son conseil d’administration (Azlef et Chioukh) de veiller sur le club jusqu’à son retour des vacances. Il leur a même signé des documents pour pouvoir accomplir leur mission. Une preuve supplémentaire quant à la volonté de Hannachi de rester muet. Qui en profitera ? Pas forcément la JSK.
Mohamed Fayçal
Doudane : «Hannachi a signé mon contrat »
A la suite des déclarations de Chioukh et Azlef dans lesquelles ils affirment que Karim Doudane a démissionné à cause de son contrat non déposé à la ligue et que le président Hannachi a refusé de signer à cause de la durée et du salaire que l’ex-manger général a décidé tout seul, nous avons pris attache avec ce dernier qui nous dira : «Mon contrat est chez moi à la maison. Il est signé par Hannachi lui-même. On y voit le cachet du club et la légalisation par les services compétents de l’APC. Celui qui dit le contraire est un menteur. Je peux aller exiger mon dû, mais je ne le ferai pas, parce que l’argent ne me motive pas. Je suis parti, j’ai expliqué pourquoi car le public de la JSK avait besoin de connaître la vérité. Je lui devais des explications. Aujourd’hui, je suis un supporter de la JSK à laquelle je souhaite bonne chance face au CSC.»
Hannachi s’est déplacé au Hilton hier
Nous avons appris, de source crédible, que le président de la JSK s’est déplacé hier au Hilton dans le but de rencontrer Hadj Rahim. Au grand dam du boss kabyle, le patron d’Arcofina était en voyage en Espagne où il est allé passer le week-end.
Hamenad : «Pour les mêmes raisons que Karim je démissionne»
L’entraîneur des gardiens de but de la JSK, Omar Hamenad, a démissionné hier de son poste. Il met lui aussi sa menace à exécution suivant ainsi Karim Doudane. «Je vous annonce ma démission. C’est une décision irrévocable. Je ne peux plus cautionner le mal. Aucune considération de la part des dirigeants, il y a plusieurs choses qui ne tournent pas rond. Je ne peux plus travailler dans de telles conditions. On a tenu le coup en Tunisie pour le bien de la JSK, aujourd’hui ça y est, j’en peux plus. Je suis un enfant du club, un ancien international. Je suis prêt à servir encore mon club, mais pas comme ça », nous dira-t-il.
«Ça prend effet aujourd’hui»
Omar Hamenad, exactement comme l’a été Doudane avant-hier quand il nous a accordé l’interview, semblait triste et remonté en même temps. Nous lui avons demandé s’il allait continuer au moins jusqu’au match contre le CSC, il nous dira : «Non, ma démission prend effet à partir d’aujourd’hui. L’équipe est prête, j’estime avoir rempli ma mission. Je quitte la JSK avec un pincement au cœur. C’est malheureux, mais c’est comme ça. la JSK mérite mieux que ça, ses supporters valent plus que ça. » Cette décision était dans l’air. Il ne reste dans le camp de Hannachi que Karouf.
A.B.
Réclamant 3 mois de salaire
Berchiche attend toujours son argent
A la JS Kabylie le problème financier est loin d’être résolu. Au moment où des responsables du club jurent par tous les saints être à jour avec leurs joueurs, il semble que certains éléments n’ont pas encore touché le moindre sou. C’est le cas de la nouvelle recrue et néanmoins enfant du club, Kouceïla Berchiche. Le défenseur en question attend toujours ses arriérés qui représentent trois mois de salaire. C’est du moins ce que nous avons appris hier de sources dignes de foi selon lesquelles l’ancien défenseur du Mouloudia d’Alger a été surpris de ne trouver aucun sou dans son compte au moment où il s’est présenté à la banque pour faire une demande d’avoir. Le joueur est désormais inquiet pour son dû, et ce, à quelques encablures de l’entame du championnat professionnel de Ligue 1 Mobilis. Chose qui risque de se répercuter négativement sur le moral de Berchiche lequel défenseur, à ce moment précis, a besoin d’un grand réconfort psychologique pour qu’il puisse être à la hauteur ce samedi à l’occasion de la réception du Chabab de Constantine en match de la première journée de la Ligue 1 Mobilis. Berchiche avait montré une grande compréhension à l’égard des dirigeants au moment de sa signature pendant le marché estival. En raison de l’absence de liquidité chez les dirigeants, il a accepté de patienter pour que les autres nouvelles recrues perçoivent des avances. Selon nos sources, Berchiche leur aurait dit texto au moment de la signature de son contrat : «Ne vous inquiétez pas pour moi, je suis un enfant du club, je peux patienter un peu. Il faudra régler les autres nouvelles recrues venues, elles, d’ailleurs. L’essentiel que vous me réglerez une avance de trois mois de salaire avant le début de la saison.» Berchiche a accordé beaucoup de temps aux dirigeants convenant au paiement de ses avances après le deuxième stage de Tunisie qui a pris fin mercredi dernier. Mais rien n’a été fait entre-temps. Ce qui suscite désormais les appréhensions de Berchiche qui tient absolument à percevoir ses trois mois de salaire avant le début de la saison. Une affaire à suivre.
A. B.
La (vraie) fausse information Benzekri
Dans l’entourage de la JSK, les nouvelles sont distillées à tort et à travers. Après la démission du manager général (Doudane) et ses critiques contre l’actuelle direction, l’on a parlé d’un éventuel départ des membres de la barre technique. Cela a créé un terrain fertile pour les rumeurs. La ville de Tizi Ouzou a vibré, en tout cas, sous l’effet de certaines rumeurs selon lesquelles des dirigeants auraient pris attache avec Nour Benzekri pour prendre les destinées de l’équipe en prévision de l’entame de la saison. Les instigateurs de cette (vraie) fausse information ont parlé même de Hocine Yahi comme adjoint dans l’équipe de la JSK. Finalement, il n’en fut rien. D’ailleurs, les joueurs ont essayé de confirmer, selon des sources sûres, cette rumeur auprès de leurs propres connaissances, mais la réponse est toujours la même : c’est un mensonge. Des sources crédibles nous ont indiqué également qu’il n’a jamais été question de faire appel aux services de Nour Benzekri qui avait, rappelle-t-on, dirigé par le passé les Canaris du Djurdjura. La conclusion est celle-ci : il n’y aura pas de Benzekri à la JSK. Mourad Karouf est toujours en place en sa qualité d’entraîneur en chef. L’ancien défenseur latéral kabyle a dirigé toute la préparation d’intersaison avec les deux regroupements effectués en Tunisie. A moins d’un impondérable de dernière minute, la JSK sera dirigée par Karouf contre le CSC.
A. B.