L’EN, qui a quitté l’aéroport Charles-de-Gaulle hier soir vers 23h30, a survolé l’Afrique dans sa longueur pour arriver à destination, à savoir l’aéroport Oliver-Reginald-Tambo de Johannesburg, la capitale économique de l’Afrique du Sud.
Dès son arrivée, l’EN sera accueillie par Walid Sadi, le manager des Verts dépêché il y a deux jours ici en Afrique du Sud, c’est lui qui fera en sorte que la sortie des joueurs et des autres membres de la délégation se fasse dans les meilleures conditions pour aller ensuite rejoindre le bus qui transportera l’EN vers Pretoria, soit quelque 60 kilomètres à parcourir et un maximum de 45 minutes de route.
Une fois à Pretoria, les Verts rejoindront directement leurs quartiers généraux, sis au luxueux hôtel Sheraton Pretoria, c’est dans cet hôtel déjà visité par les Verts en 2009, que Gourcuff et ses capés seront hébergés tout au long de ce séjour, et c’est là qu’ils devront récupérer de la fatigue du voyage, puisque Gourcuff avait insisté sur la nécessité d’effectuer ce mini-stage juste pour permettre à ses joueurs de récupérer de la fatigue d’un long et harassant voyage.
Décrassage l’aprem’
Aussitôt arrivés et juste après que les joueurs auront accès à leurs chambres, ces derniers prendront leur déjeuner qu’ils trouveront déjà prêt, Farid le cuisinier ayant été du voyage samedi passé avec Sadi et les agents de sécurité. Ces derniers d’ailleurs seront divisés entre l’hôtel et l’aéroport.
Après le déjeuner, les joueurs auront droit à un petit repos, histoire de récupérer mais surtout de digérer, avant d’enfiler leurs souliers et d’aller effectuer une légère séance de décrassage, probablement dans l’espace vert jouxtant leur luxueuse résidence, une séance qui ne durera pas plus d’une heure, puisque c’est demain que commencera le début du travail technique et la préparation tactique attendue du match du Lesotho.
Gourcuff, qui a encensé cette sélection du Lesotho, laquelle peut être dangereuse surtout sur son terrain, fera en sorte de préparer son groupe à affronter une équipe accrocheuse et qui ne se laisse pas faire facilement sur son sol, synthétiquement gazonné. Cela risque d’être dur pour des joueurs évoluant habituellement sur de belles pelouses en Europe.
S. M. A.
Pretoria, la ville la plus calme du pays, mais…
Près d’un million d’habitants
Un mélange entre Noirs et Blancs, telle est la composante de la ville de Pretoria qui se fait le plaisir d’accueillir les Verts pour la 3e fois en 6 ans.
L’EN a en effet déjà séjourné dans cette ville en 2009, où elle a préparé les éliminatoires de la Coupe du monde, et plus précisément, le match de la 3e journée contre la Zambie qui s’est joué le 20 juin de la même année, le hasard a voulu que les Verts retrouvent cette ville un an plus tard pour y rencontrer les USA pour le compte de la 3e et dernière journée de la phase de poules de la Coupe du monde 2010.
L’EN ne sera pas sur terre inconnue, sauf que la plupart des joueurs ont changé, il ne reste en effet de l’ancienne équipe (en plus de Mansouri le coach adjoint), que Boudebouz, il est le rescapé du dernier voyage effectué en Coupe du monde, ici même à Pretoria. Il est donc le seul à savoir que dans cette ville l’Etat a fait en sorte que les citoyens des deux couleurs y soient d’un nombre égal, le million de citoyens est divisé entre Blancs et Noirs, mais cela n’empêche pas quelques actes isolés entre les deux camps, des rixes de moins en moins fréquents, nous dit-on, par rapport aux autres villes, notamment la capitale économique, Johannesburg.
Des agents pour assurer la sécurité des joueurs
Comme d’habitude, la FAF a tout préparé en prévision de ce déplacement en Afsud.
Comme révélé par nos soins il y a quelques jours, il y aura 7 agents de sécurité qui accompagneront l’EN dans ce stage à l’autre bout du continent, ils ont même été les premiers à arriver sur les lieux dimanche matin pour s’assurer que tout soit prêt dès l’arrivée de l’équipe mardi.
Connue pour ses problèmes sécuritaires fréquents, notamment les agressions à main armée, l’Afrique du Sud reste un pays où il est préférable d’être vigilant malgré la nette amélioration qu’a connue le pays ces dernières années, mais la FAF n’a rien laissé au hasard d’où ces policiers qui veilleront à ce que le séjour dans le pays de feu Madiba se passe dans de bonnes conditions, idem pour le court déplacement au Royaume du Lesotho.
S. M. A.
C’était aussi le QG des fans des Verts en 2013
C’est dans la ville de Pretoria que les agences de voyages qui avaient organisé en 2013 le déplacement des férus de l’EN avaient choisi de les installer.
Ils étaient un peu plus de 1000 fans à arriver dans cette ville à partir du 12 janvier 2013, soit 5 jours avant le match de la Tunisie joué à Rustenburg, ils effectuaient le voyage en aller retour (240 kilomètres) chaque jour de match pour encourager les Fennecs, ces derniers n’auront pas un tel soutien au Lesotho, mais auront tout de même deux de leurs fideles fans qui ont tenu à être présents, à savoir âammi Abdelkader de Frenda et Ramdane Tazeka, l’enfant d’Azeffoun qui a tenu à effectuer le fatigant voyage du Canada pour accompagner les Verts en Afsud et s’adonner à son plaisir de toujours, donner de la voix pour que l’EN gagne.
Des températures entre 9 et 28 degrés à Pretoria comme à Maseru
Une fraîcheur qui dissipe les craintes liées à l’altitude
Nichée entre des massifs rocheux, dans le nord-est du pays, Tshwane/Pretoria se situe dans la zone de transition entre la savane tropicale (Bushveld) et le plateau Hiveld, une région connue également par un climat sec en hiver avec des températures moyennes de 20°C le jour et de 5°C la nuit, alors que la saison de l’été est caractérisée par des épisodes orageux et des températures moyennes oscillant entre 25°C et 30°C le jour.
Ce qui faut savoir, c’est qu’actuellement à Pretoria, le mercure ne dépasse pas les 8-9 degrés la nuit, pour cause le pays est encore en hiver, cette période dans la région de l’extrême sud d’Afrique est équivalente au début mars dans notre pays où il fait encore parfois très froidù surtout la nuit, alors que les températures atteignent le matin les 30°, donnant déjà un avant-goût du printemps.
Beaucoup moins d’humidité qu’à Alger
L’humidité du côté de Pretoria ne dépasse pas les 55%, en plus il ne fait pas du tout chaud, loin du taux actuel d’humidité à Alger qui frôle presque chaque jour les 90%, rendant la vie délicate à ceux qui font des efforts physiques.
Des pluies annoncées pour jeudi et vendredi
Les Verts bénéficieront durant le début de leur stage en Afrique du Sud de températures assez supportables puisque le mercure affichera quelques 28° lors des séances d’entraînement programmées l’après-midi à l’heure du match.
Ceci dit, et dès jeudi, le ciel de Pretoria se couvrira de nuages qui donneront quelques pluies, notamment jeudi matin et la journée de vendredi, surtout la matinée qui verra les Verts s’exercer en prévision de leur départ, l’après-midi, vers Maseru. Il s’agit là de prévisions météo assez fiables, en attendant bien sûr de les vivre.
Parfait pour jouer en altitude
Ainsi donc et comme le Lesotho n’est qu’une enclave située à l’intérieur du territoire sud-africain, et qu’on y retrouve le même climat identique ou presque à Pretoria avec un peu plus d’Altitude, d’où le choix de Gourcuff de préparer la sortie ici même, l’EN sera dans les même conditions à peu près, et le froid qui caractérise les soirées est une bonne chose, certes durant la journée le mercure monte pour atteindre parfois un pic de 28 à 30° mais l’air est encore tout aussi frais, cela met l’EN dans de bonnes conditions pour se préparer, d’autant que tout le monde sait que l’altitude, chaleur et football ne font pas bon ménage, à cause du manque d’oxygène qui empêche l’athlète à être au top de sa forme, cela nous amène à penser que l’EN n’en souffrira pas, d’autant qu’en 2013 déjà à Rustenburg, l’EN avait bien travaillé en plein été, et parfois dans une chaleur élevée, autrement dit, l’altitude n’est qu’un faux problème, le match se jouera sur une pelouse, et celui qui commettra le moins de fautes sortira gagnant.
S. M. A.
Au Sheraton comme en 2009
Les bons souvenirs de 2009 ont poussé l’EN a reproduire à la lettre leur séjour de l’époque pour cette fois dans la même ville.
En plus des entraînements qui auront lieu au petit Caledonian Stadium que Gourcuff a choisi pour abriter les entraînements de son équipe, l’hôtel sera aussi le même, à savoir le Sheraton Pretoria situé dans un quartier chic, Arcadia en l’occurrence, et qui offre le confort nécessaire et des services qui aideront les joueurs à évacuer la fatigue accumulée après une harassante journée de championnat, suivie d’un voyage d’une demi-journée.
Le stade de Maseru est couvert d’un gazon synthetique
Le coach se contentera-t-il du gazon du Caledonian Stadium ?
Alors qu’on croyait qu’il allait réclamer des entraînements dans un grand stade, à l’image du Loftus Versfeld Stadium, Gourcuff devrait se contenter de séances sur le petit Caledinian Stadium.
Situé à un carrefour séparant le quartier d’Arcadia du centre-ville et
à 1,3 kilomètre à l’ouest du Sheraton, c’est sur la pelouse de ce petit stade que l’EN effectuera ses entraînements jusqu’au jour du départ à Maseru.
Le choix de Gourcuff, qui avait visité cette ville en marge de son voyage il y a quelques mois pour suivre la COSAFA, s’était porté sur cette enceinte pourtant très petite, et qui avait été difficilement acceptée en 2009 par Saâdane (les stades étaient indisponibles à cause de la Coupe des confédérations).
Reste à savoir si le coach ne réclamera pas des séances sur une pelouse synthétique étant donné que le stade de Maseru est couvert de tapis, à l’image de celui de Blantyre où l’EN avait disposé du Malawi en octobre dernier.
A noter que le Caledonian Stadium est le terrain officiel d’un club d’un quartier de Pretoria, à savoir les Arcadia Shepherds FC évoluant dans la SAFA Second Division, appelée précédemment la Vodacom League. La ville de Pretoria dispose d’un terrain en synthétiqu,e il s’agit du Tuks Stadium, celui du club de l’université de Pretoria.
S. M. A.
Mansouri y reviendra en tant que coach
Nos compatriotes en Afsud attendent les Verts avec impatience
L’Afsud, cet autre pays qui fait rêver les Algériens
Le constat avait déjà été fait en 2009, puis en 2010, et encore une fois en 2013, et à chaque fois, le nombre d’Algériens a doublé, voire triplé. Il n’est donc un secret pour personne, que nos compatriotes aiment bien ce pays, autrefois jumeau, grâce notamment à des relations qui ont toujours été au beau fixe, les liens consolidés grâce à une complicité entre les deux Etats. Feu Madiba, lui, a permis aux Algériens d’être considérés comme des citoyens sud-africains à part entière.
Ils sont donc de plus en plus nombreux à affluer vers ce pays, tous les moyens sont bons pour y accéder, surtout depuis que les procédures sont devenues inaccessibles avec une caution exigée au niveau de l’ambassade de ce pays à Alger pour accéder sur le solde leur pays, décidément, ça change chaque année et certains habitués du trajet Alger-Johannesburg auxquels on a pu parler, lors de notre passage à l’ambassade pour l’obtention du visa, nous ont confirmé que c’est de plus en plus fermé, car nos compatriotes y vont souvent pour ne plus revenir, et cela on a pu le vérifier à nos dépens, puisque la dizaine de journalistes algériens ayant demandé ce visa de cette même ambassade ont eu le malheur de constater le complexité du dossier et le nombre de garanties réclamés avant le dépôt du dossier.
Le Mozambique, l’inévitable tremplin
Pour revenir aux Algériens vivant en Afrique du Sud, on avait fait le surprenant constat en 2013 où le nombre avait explosé, grâce notamment à des fugues à la fin du Mondial de 2010.
Face à la difficulté d’avoir accès à ce pays depuis quelque temps, les Algériens ont trouvé une astuce originale, l’accès en tant que clandestins, via le territoire du Mozambique, pays ami avec l’Algérie lequel est accessible sans visa. Ce pays, situé au sud-est du continent noir, a de grandes frontières avec l’Afrique du Sud. Et c’est partir de là que plusieurs Algériens ont choisi de faire irruption à l’intérieur du territoire sud-africain. Cela nous renseigne donc sur les conditions de vie dans ce pays, qui poussent de plus en plus d’Algériens à y venir, de toutes parts. L’Europe n’est donc pas le seul eldorado qui fait rêver, les connaisseurs ont trouvé autre chose, au point où certains ont même laissé la vie parisienne pour venir s’installer à Johannesburg, à Pretoria ou encore à Rustenburg.
Draâ El Mizan, Boghni encore et toujours
Nos précédentes visites avec l’EN à ce pays, nous ont permis de constater que la plupart des Algériens vivant ici sont originaires de la grande Kabylie, plus précisément de deux dairas du sud de la wilaya de Tizi-Ouzou, à savoir Boghni et Draâ El Mizan, c’est de ces deux endroits que les gens affluent vers ce pays, où ils ont trouvé leur compte, ils ont pris le risque d’aller si loin, même très loin de la famille et les amis pour faire leur vie, l’astuce qu’ils ont trouvée pour éviter le dépaysement c’est de faciliter, une fois bien installés, l’arrivée des cousins et des voisins, et c’est cela qui a fait des deux régions de Tizi les plus représentées dans ces régions sud-africaines.
Les Verts comme chez eux à Pretoria
Même si la plupart n’accordent pas d’importance au football, c’est avec une grande joie que les Algériens de Pretoria, Johannesburg et ses environs ont accueilli l’info de l’organisation du stage au Sheraton de la capitale, il s’agit d’un des symboles de leur pays, et attendent son arrivée avec impatience pour lui exprimer encore une fois leur soutien indéfectible.
Ainsi, les entraînements de l’EN au Caledonian Stadium n’auront sûrement pas lieu dans le silence, il y aura forcément les cris et les chants que les Verts apprécient tant. Certes, l’EN est accompagnée comme toujours par ses deux fidèles supporters, aâmmi Abdelkader, dit Kouider, de Frenda et Ramdane Tazeka «le Canadien» qui ont pris la peine d’effectuer ce long déplacement, mais ici à Pretoria il y aura aussi un renfort de choix, des fans qui ont le mal du pays et qui se feront un plaisir de suivre le stage de l’EN et peut-être même le match de Maseru de dimanche prochain pour les personnes vivant en Afsud en situation régulière.
S. M. A.
Aâmmi Abdelkader, le vétéran des fous des Verts déjà à Pretoria
«One two three, viva l’Algérie, Frenda mon amour»
Fidèle aux habitudes, le plus âgé des fans des Verts, à savoir aâmmi Abdelkader Abdeldjabar, dit Kouider, a encore une fois décidé d’accompagner les Verts dans leur périple africain. Il est même arrivé avant l’équipe puisqu’il a choisi un autre itinéraire et un autre plan de vol qui lui a permis d’arriver en premier sur le sol sud-africain, à savoir hier vers midi.
Ce chauvin de plus de 70 ans ne cesse de faire parler de lui, et c’est encore une fois en Afrique du Sud qu’il a choisi de poser sa valise qu’il déplace à chaque fois que l’EN joue à l’extérieur. Cette fois, il a été le seul fan autorisé par l’ambassadeur d’Afsud à accompagner l’EN dans son nouveau périple, il a même récupéré son visa avant les journalistes. «Vous avez vu, je l’ai eu avant vous, et la cerise sur le gâteau, c’est que monsieur l’ambassadeur de ce pays est devenu un ami, il m’a offert des cadeaux, et je l’en remercie au passage», nous lancera-t-il hier à l’aéroport d’Alger au moment où il s’apprêtait à embarquer vers Dubaï puis vers Johannesburg.
«Ça sera un 2-0 ou 3-0, pour nous bien sûr»
Originaire de Frenda dans la wilaya de Tiaret, celui qu’on surnomme dans sa région «Kouider» est plus qu’optimiste pour la suite des événements en sélection, pour lui peu importe qui joue l’essentiel, c’est que l’équipe gagne. Cette fois d’ailleurs, il mise sur une victoire des Verts sur le sol du Lesotho. «Je pense que les Fennecs vont s’imposer 3-0. Allez, je ne vais pas forcer, je dirai 2-0. Pour nous, l’EN ne peut que gagner, c’est nous les meilleurs», nous lancera cet ancien militaire au sein de l’ANP, connu par son slogan qui exprime son amour pour son pays et sa ville natale : «One, two, three, viva l’Algérie, Frenda mon amour»
Aâmmi Abdelkader sera à la tête des fans qui viendront accueillir l’EN à l’aéroport de Johannesburg ce matin.
S. M. A.
L’ambassade d’Afrique du Sud à Alger n’a accordé qu’un seul visa pour un supporter
L’ambassade d’Afrique du Sud à Alger a refusé catégoriquement aux fans des Verts l’ayant sollicité pour un visa d’entrée dans leur pays, de le leur accorder.
Cette décision a mis en colère les férus des Fennecs qui se sont rués depuis près de 20 jours à Hydra avec leurs dossiers, mais ils ont été tous rejetés, sauf celui d’aâmmi Abdelkader qui présente les garanties nécessaires, selon l’ambassadeur qui s’est même lié d’amitié avec ce retraité de l’ANP.
Du coup l’EN n’aura à ses côtés que aâmmi Abdelkader ainsi que Ramdane qui arrivera ce matin avec l’EN en provenance de Montréal via Paris, et qui, grâce à son passeport canadien, n’aura aucun obstacle devant lui.
Il est utile de préciser que même la dizaine de journalistes ayant accompagné l’EN dans ce périple africain ont trouvé toutes les difficultés à avoir le visa. Il a fallu l’intervention du ministère des Affaires étrangères pour résoudre le problème.
S. M. A.
Il est de Sousse et travaille pour Qatar Airways
Un Tunisien fou de Bounedjah
Les exploits et les buts de l’attaquant de l’ES Sahel, Baghdad Bounedjah, n’ont laissé personne indifférent, même Gourcuff qui est connu pour être un coach très exigeant et qui avait écarté dans un passé très proche le joueur, n’est pas resté insensible à la montée en puissance de l’enfant d’Oran.
Hier, lors de notre passage de l’aéroport Hamad de Doha, nous y avons rencontré un steward de la compagnie Qatar Airways, ce fan de foot n’est en fait qu’un Tunisien de Sousse supporter acharné de l’équipe de la Perle. En apprenant la nationalité de ses interlocuteurs et surtout leur fonction, il n’a pas cessé d’encenser l’ex-centre-avant du RCGO. Il a remercié Dieu de leur avoir donné un tel cadeau. Il a même tenu à envoyer aux joueurs ses salutations et ses remerciements à travers ses interlocuteurs. Cela nous donne un petit aperçu sur tout ce que cet attaquant est en train de rendre comme services au club tunisien. Il est plus que certain que ce fan expatrié préférerait plutôt suivre les buts de l’ancien harrachi de loin à travers la télé tunisienne que de le voir passer sous son nez à l’aéroport Hamad, lorsque son transfert à Al-Sadd sera effectif.
S. M. A.
BeIN Sports couvrira les préparatifs des Verts
Le bouquet satellitaire qatari beIN Sports a décidé de couvrir les activités de l’EN lors de ce stage en Afsud et au Lesotho avant de retransmettre la rencontre dimanche prochain.
Détenteur des droits de retransmission des rencontres des compétitions de la CAF dont les éliminatoires de la CAN, le bouquet crypté dépêchera même un journaliste algérien sur les lieux pour être plus proche de l’EN, à savoir Nassim Rebika, qui a déjà couvert la CAN 2013 sur place.
Super Sport assurera la réalisation et la diffusion
Comme c’est souvent le cas pour les matches se déroulant sur la partie sud-ouest du continent noir, et face à la difficulté de déplacer le gros matériel très loin pour un simple match comptant pour des éliminatoires, beIN Sports comptera sur les moyens de leurs homologues et géants sud-africains Super Sport pour assurer la réalisation de la rencontre, c’est eux aussi qui partageront le signal de la rencontre à partir du territoire du Lesotho le jour J.
S. M. A.